Je suis d'accord que c'est méga lourd de dire "respectez les femmes parce que ça pourrait être votre copine". Genre le troisième gars qui dit "Tu es la fille de quelqu'un, la sœur de quelqu'un....je suis sur quelqu'un ferait ça à l'une des leurs, leur mère ou leur cousine, ils n'apprécieraient pas". MAIS WTF STOP, on est pas la fille, la soeur ou la mère de quelqu'un. On EST quelqu'un. Est-ce que c'est si compliqué à comprendre !? Je trouve que les mecs qui disent "je t'insulte pas parce que t'es la fille de quelqu'un" me manquent tout autant de respect et dévalorisent autant ma personne que ceux qui m'insultent. Je déteste quand les mecs disent ça et que les meufs acquiescent joyeusement. On n'appartient pas à quelqu'un et on a le droit d'être respecté de par notre simple statut d'humain (voir d'être vivant) pas de femme appartenant à un homme.
Pfiouuu ça fait du bien de se lâcher comme ça de temps en temps![]()
Je suis d'accord avec toi, mais si cette prise de conscience permet aux hommes de dire à leurs potes à leurs proches et à eux-mêmes que non, le harcèlement c'est pas cool, c'est déjà un progrès. Après, c'est la fin qui est servie, même si les moyens ne sont pas parfaits du tout.

. Ce que je prends comme harcèlement, ce sont les insultes, les sifflements et les remarques déplacées. Je te jure que ces gars là sont tous blancs de chez blanc et ça va du jeune homme au quinquagénaire
. J'imagine que pour une femme blanche ça peut être totalement l'inverse et c'est vrai que dans le cercle privé, ça sera encore que des blancs. Mes amis racisés ont réellement plus de respect pour moi et notre conversation me laisse penser qu'il y a une espèce de classification des femmes que les hommes respectent plus ou moins selon la race ou classe à laquelle ils appartiennent. Pour les blancs, j'ai l'impression que je serai toujours une sorte de putain.
) et des trucs bien lourds et bien chiants.
Les deux seuls hommes noirs qui m'ont draguée ouvertement étaient super polis...A tel point qu'il a fallu que mon copain me signale que je me faisais draguer à un moment parce que j'avais rien grillé.

