l'ébullition de l'eau est un phénomène physique donc inutile d'utiliser des principes de chimie pour l'expliquer.
Grave, au collège ma mère m'a expliqué le principe des équations en remplaçant les nombres par des fleurs et des coeurs, c'est beaucoup plus parlant@MedusaQueen
Je vote pour des cours à base de smileys. C'est efficace
C'est vrai que concernant les flux d'énergie rayonnée, ce n'est intuitivement pas évident. Il y a des explications dans le livre dont j'ai parlé par ailleurs.@Noulune oui le rayonnement est un flux mais pas un flux de chaleur au sens que le rayonnement ne transporte pas de la chaleur avec lui vu que c'est une onde (contrairement aux flux de chaleurs conductifs et convectifs). Donc le rayonnement émis par les particules de l'atmosphère serait "annulé" ou autre chose pour ne pas impacter la surface parce que l'atmosphère est plus froide que la Terre? Et au pôle Sud où il fait jusqu'à -90°C ça se passe comment?
Et pour les équilibres et les aquariums... En fait c'est mesuré hein que quand il y a un gros bloom phytoplanctonique il y a ensuite bcp de reminéralisation par les bactéries, et qu'il y a des zones d'anoxie qui se créent, et que l'habitat des poissons est réduit sur la verticale, et qu'ils migrent ou meurent. C'est pas de l'étude en aquarium dont on parle, où bien sur le volume est trop petit pour voir quoi que ce soit. Moi j'ai pas un pote qui s'y connait en aquarium, j'ai des collègues qui ont organisé des campagnes à la mer pour mesurer directement la vraie vie dans le vrai océan, les vrais blooms qui se produisent et qui sont vraiment mesurées en vrai lors de campagnes à la mer, des vrais prélèvements d'équilibres des ions carbonates, bicarbonates et du dioxyde de carbone aqueux, l'augmentation du pH, c'est pas des petites expériences en aquarium c'est des mesures faites sur plusieurs années pour voir l'évolution...
Le blablabla on sait pas comment les équilibres vont se faire / se maintenir / s'adapter, oui, on ne sait pas tout très exactement, on sait (on observe) que les changements vont trop vite pour que les espèces vivantes puissent s'adapter.