@Gytha-Ogg Oh non
comment tu peux dire ça ?!
- La mort de Voldemort : c'est Harry qui se refuse à tuer. C'est le refus de la violence en réponse à la violence.
- La cape d'invisibilité : les autres sont moins efficaces et n'ont pas la même durée dans le temps. Elles sont issues de magiciens qui ont tenté de reproduire les effets de l'originelle : elles sont moins efficaces car produites par envie.
- Les morts : déjà ils sont loin d'être si aléatoirement choisis (Remus et Tonk, pour avoir un orphelin) et surtout : c'est la guerre quoi ! On ne choisit pas qui vit, qui meurt.
- Ron : mais on le sait depuis le début qu'il a pleins de défauts humains (c'est ce qui le rend attachant d'ailleurs) : il n'a pas la même résistance à l'Horcruxe que Hermione ou Harry. C'est cohérent avec son tempérament. Il est râleur, jaloux et impulsif, ce dont se "nourrit" le médaillon. Mais il revient, parce qu'il a pris du recul. Il équilibre le trio.
- L'histoire de Dumbledore est racontée par un personnage qui a lui-même sa propre opinion sur le personnage, opinion partagée par d'autres sorciers. Cela contrebalance la vision d'Harry : il n'était pas si parfait que ça, il a fait (beaucoup) d'erreurs. Cela lui permet, comme avec son père "imparfait", de grandir et de s'émanciper de l'image idéalisée de l'Adulte et du père.
Le seul truc où j'ai eu un peu de mal dans le 7 : c'est la scène de fin avec Dumbledore. Je trouve que cette scène tranche complètement avec l'univers créé par J. K. Rowling : comme si ça n'obéissait plus aux mêmes règles. A la relecture, ça m'a moins choqué, mais j'ai toujours un peu de mal.
EDIT : J'ai adoré la "lenteur" du bouquin (bien rendue aussi dans le film 7.1) : ils galèrent grave. Ils n'ont pas le début d'une réponse, ils ont hérité de babioles dont ils ne captent pas l'utilité, ils sont en fuite permanente et doivent se cacher. Cette première partie n'est pas haletante, elle installe bien la problématique : comment vaincre le plus grand sorcier noir de tous les temps quand on a 17 ans ? Ils n'ont pas étudié ça à l'école. Bref, c'est la merde monsieur le président !

- La mort de Voldemort : c'est Harry qui se refuse à tuer. C'est le refus de la violence en réponse à la violence.
- La cape d'invisibilité : les autres sont moins efficaces et n'ont pas la même durée dans le temps. Elles sont issues de magiciens qui ont tenté de reproduire les effets de l'originelle : elles sont moins efficaces car produites par envie.
- Les morts : déjà ils sont loin d'être si aléatoirement choisis (Remus et Tonk, pour avoir un orphelin) et surtout : c'est la guerre quoi ! On ne choisit pas qui vit, qui meurt.
- Ron : mais on le sait depuis le début qu'il a pleins de défauts humains (c'est ce qui le rend attachant d'ailleurs) : il n'a pas la même résistance à l'Horcruxe que Hermione ou Harry. C'est cohérent avec son tempérament. Il est râleur, jaloux et impulsif, ce dont se "nourrit" le médaillon. Mais il revient, parce qu'il a pris du recul. Il équilibre le trio.
- L'histoire de Dumbledore est racontée par un personnage qui a lui-même sa propre opinion sur le personnage, opinion partagée par d'autres sorciers. Cela contrebalance la vision d'Harry : il n'était pas si parfait que ça, il a fait (beaucoup) d'erreurs. Cela lui permet, comme avec son père "imparfait", de grandir et de s'émanciper de l'image idéalisée de l'Adulte et du père.
Le seul truc où j'ai eu un peu de mal dans le 7 : c'est la scène de fin avec Dumbledore. Je trouve que cette scène tranche complètement avec l'univers créé par J. K. Rowling : comme si ça n'obéissait plus aux mêmes règles. A la relecture, ça m'a moins choqué, mais j'ai toujours un peu de mal.
EDIT : J'ai adoré la "lenteur" du bouquin (bien rendue aussi dans le film 7.1) : ils galèrent grave. Ils n'ont pas le début d'une réponse, ils ont hérité de babioles dont ils ne captent pas l'utilité, ils sont en fuite permanente et doivent se cacher. Cette première partie n'est pas haletante, elle installe bien la problématique : comment vaincre le plus grand sorcier noir de tous les temps quand on a 17 ans ? Ils n'ont pas étudié ça à l'école. Bref, c'est la merde monsieur le président !
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