Je crois que je suis dans l'acceptation du fait que je ne le verrai plus jamais.
J'ai d'abord été dans le déni en me disant qu'il éprouvait des choses pour moi, comment cela ne pouvait-il pas être réciproque?
Ensuite, j'ai été en colère après lui, pourquoi ne venait-il pas à Paris dans la minute?
J'ai essayé de négocié avec moi-même une sorte de relation à distance fantaisiste et utopique.
J'ai ensuite été très triste et lui ai écrit sur toute la douleur que je ressentais lorsque je suis loin de lui.
Là je commence à accepter, c'est un truc de vacances, forcément idéalisé, forcément positif...
On ne se reverra plus jamais, je ne lui courrerai pas dessus à l'aéroport, il n'y aura pas de retrouvailles parce qu'il ne viendra jamais.
Il n'y a que moi pour être assez conne pour crushé sur un mec de 38 balais qui vit à 6000km.
Une vraie gamine!