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ECM I : En ce moment, oui, là, maintenant, tout de suite, dis-nous tout !
- Initiateur de la discussion Hawley
- Date de début
-
- Mots-clés
- ecm les essentiels
- Statut
Bon je vais me doucher coucher bisous koeur courage, mangez des biscuit j'vous aimes plus que ma fesse gauche 
J'ai pas les images là mais je suis sûre qu'ils ont répété avec ce genre de photos tous les soirs de la semaine passée.
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- e suis légèrement trop claqué/un peu bourée pour te rattraper niveau kalitay de tes gifs splendides, je me contente donc d'aplaudir avec ls fesses, et merci pour tous ces gifs extrememnt beau putzain je t'
OUF que tu as abandonnée, je suis trop claquée et bourée pour continuer
je te félicite c'est toujours un plaisir de connaitre un fangirl de mads
J'ai une poussée d'eczéma.
Bon demain tant pis je vais racheter un sandwich libanais trop bon. Ouéjecé j'en ai déjà pris un jeudi. Rienàfout ! Et puis j'envoie plein de cartes postcrossing pleines d'amour tout partout.
@finch je partage avec toi ! on a bien prévu de partager cillian
"On fait un jeu à boire ? A chaque fois qu'ils disent amour dans la chanson on boit
-Tu bosses pas demain ?
-J'ai décidé que non. Deuil national"
"On fait un jeu à boire ? A chaque fois qu'ils disent amour dans la chanson on boit
-Tu bosses pas demain ?
-J'ai décidé que non. Deuil national"
Ne pas citer.
Voilà. Ca a encore clashé avec mes parents.
J'en peux plus. Je veux partir.
Soit disant que je peux leur dire quand ça va pas et ce qui va pas. Telle blague.
Je peux dire à ma mère que j'en ai ras le cul de la voir bourrée tous les soirs ?
Que ça fait 5 ans au moins que je traîne ma carcasse en espérant que ça ira mieux un jour ?
Que oui je pleure et que ça fait pas de moi un bébé et que j'aimerais qu'ils respectent ma putain de sensibilité ?
Que me dire d'arrêter de pleurer et me culpabiliser et me crier dessus dans ces moments ne sert à rien ?
Que j'aimerais qu'ils me demandent si ça va avant de me faire des reproches le matin ? En rentrant ?
Oh oui je peux leur dire. Histoire que ça parte encore plus en couille. Et je peux aussi aller me faire foutre.
Soit disant que je peux débattre avec eux, affirmer haut et fort mes opinions et que y'aura pas mort d'homme. Et bha non. Parce qu'on a pas les mêmes idées sur des trucs, pas les mêmes positions et que j'ai pas envie de m'en prendre plein la gueule pour finir la soirée en chialant. Enfin, là c'est réussi. Ils sont de gauche mais putain, franchement y'a des fois ça craint ce qu'ils disent. Sous couvert de blague et de "non au politiquement correct", vazi qu'on parle des pédés, des débiles mentaux et des gros lards. Ca me débecte. Et quand je le dis, c'est une atteinte à leur liberté d'expression.
Tu parles qu'ils sont ouverts d'esprit. Ils sont ouverts d'esprit mais j'y connais rien et je suis jeune et j'ai tort.
Donc là mon père m'a sermonnée 10mn pour un truc ridicule, je me suis cassée sous leurs "OUAIS BONNE NUIT ET A DEMAIN OU A DANS DEUX JOURS" et "LA PROCHAINE FOIS QUE TU VEUX PAS COMMUNIQUER, PAS LA PEINE DE VENIR MANGER"
Et là ma mère m'envoie un message:
"ma chérie je t'entends renifler, nous sommes peut-être hardos mais tu n'es pas simple non plus...
A demain bisous, je t'aime plus que tout est-ce que tu le sais, est-ce que tu en as conscience... j'en doute. Pense-y, à demain".
Et vous savez quoi ? Je leur pardonne. Encore. Sans excuses de leur part, jamais. Et ça va recommencer. Et ainsi de suite. Mais je suis toujours debout.
Voilà. Ca a encore clashé avec mes parents.
J'en peux plus. Je veux partir.
Soit disant que je peux leur dire quand ça va pas et ce qui va pas. Telle blague.
Je peux dire à ma mère que j'en ai ras le cul de la voir bourrée tous les soirs ?
Que ça fait 5 ans au moins que je traîne ma carcasse en espérant que ça ira mieux un jour ?
Que oui je pleure et que ça fait pas de moi un bébé et que j'aimerais qu'ils respectent ma putain de sensibilité ?
Que me dire d'arrêter de pleurer et me culpabiliser et me crier dessus dans ces moments ne sert à rien ?
Que j'aimerais qu'ils me demandent si ça va avant de me faire des reproches le matin ? En rentrant ?
Oh oui je peux leur dire. Histoire que ça parte encore plus en couille. Et je peux aussi aller me faire foutre.
Soit disant que je peux débattre avec eux, affirmer haut et fort mes opinions et que y'aura pas mort d'homme. Et bha non. Parce qu'on a pas les mêmes idées sur des trucs, pas les mêmes positions et que j'ai pas envie de m'en prendre plein la gueule pour finir la soirée en chialant. Enfin, là c'est réussi. Ils sont de gauche mais putain, franchement y'a des fois ça craint ce qu'ils disent. Sous couvert de blague et de "non au politiquement correct", vazi qu'on parle des pédés, des débiles mentaux et des gros lards. Ca me débecte. Et quand je le dis, c'est une atteinte à leur liberté d'expression.
Tu parles qu'ils sont ouverts d'esprit. Ils sont ouverts d'esprit mais j'y connais rien et je suis jeune et j'ai tort.
Donc là mon père m'a sermonnée 10mn pour un truc ridicule, je me suis cassée sous leurs "OUAIS BONNE NUIT ET A DEMAIN OU A DANS DEUX JOURS" et "LA PROCHAINE FOIS QUE TU VEUX PAS COMMUNIQUER, PAS LA PEINE DE VENIR MANGER"
Et là ma mère m'envoie un message:
"ma chérie je t'entends renifler, nous sommes peut-être hardos mais tu n'es pas simple non plus...
A demain bisous, je t'aime plus que tout est-ce que tu le sais, est-ce que tu en as conscience... j'en doute. Pense-y, à demain".
Et vous savez quoi ? Je leur pardonne. Encore. Sans excuses de leur part, jamais. Et ça va recommencer. Et ainsi de suite. Mais je suis toujours debout.
je rigole parce que je suis bourée``
je voulais dire , c'est dommage
tu as raté de me voir dans mon magnifique pyjama
- Statut
