Je trouve l'article (comme celui de Mediapart) un peu biaisé.
Ici, on est face à un homme qui souhaite divorcer et dont la femme a refusé. Le droit du mariage est ainsi fait en France que l'époux qui souhaite divorcer n'a pas d'autre choix que de demander un divorce pour faute devant le juge. L'époux a probablement cherché à démontrer qu'il ne s'entendait plus avec sa femme en argumentant qu'ils n'avaient plus de relations sexuelles. Par ailleurs, lors de l'évaluation du "devoir conjugal", les juges retiennent également le fait de faire chambre à part ou pas, pas juste le fait d'avoir des relations sexuelles.
A noter que le terme "divorce pour faute" a une connotation assez négative mais il ne préjuge en rien de la manière dont le partage des biens sera effectuée. Je trouve que le terme "sanction" est maladroit parce que le seul tort que subit la plaignante, c'est qu'on la force à divorcer alors qu'elle ne voulait pas, et j'ai vraiment du mal à accepter qu'on puisse forcer quelqu'un à ne pas divorcer.
Ici, on est face à un homme qui souhaite divorcer et dont la femme a refusé. Le droit du mariage est ainsi fait en France que l'époux qui souhaite divorcer n'a pas d'autre choix que de demander un divorce pour faute devant le juge. L'époux a probablement cherché à démontrer qu'il ne s'entendait plus avec sa femme en argumentant qu'ils n'avaient plus de relations sexuelles. Par ailleurs, lors de l'évaluation du "devoir conjugal", les juges retiennent également le fait de faire chambre à part ou pas, pas juste le fait d'avoir des relations sexuelles.
A noter que le terme "divorce pour faute" a une connotation assez négative mais il ne préjuge en rien de la manière dont le partage des biens sera effectuée. Je trouve que le terme "sanction" est maladroit parce que le seul tort que subit la plaignante, c'est qu'on la force à divorcer alors qu'elle ne voulait pas, et j'ai vraiment du mal à accepter qu'on puisse forcer quelqu'un à ne pas divorcer.