@RaccoonJesus
C'est très intéressant ce que tu dis car j'ai l'impression qu'on est de moins en moins tolérant côté travailleur sur les heures supp. La preuve en est que pas mal de patrons en restauration et hôtellerie revoient leurs modes de fonctionnement car ils ont du mal à trouver des gens.
Ma politique à moi, c'est que je prends toutes mes pauses (je ne fais aucune tâche), mes vacances... et même si ça fait gueuler, je m'en fiche. Et dieu sait que j'ai pu en avoir des pressions. Si personne n'est là pour me remplacer, mes chefs se démerdent. C'est leur boulot de trouver quelqu'un.
Quand je débutais dans le travail, j'ai remarqué que celle et ceux à qui les supérieurs en demandaient toujours plus étaient des gens qui bossaient beaucoup, faisaient des heures supp même le week-end quoi.
En gros dés qu'un travailleur commence à être conciliant, on lui en demandera toujours plus. Telle est la triste réalité.
J'ai la chance de ne pas travailler dans le domaine de la santé, et donc ce n'est pas une question de vie ou de mort. Mais soyons honnête, c'est une filière qui a du mal à recruter et de toute façon plus la fatigue est présente plus les chances de commettre une erreur grandissent.
C'est très intéressant ce que tu dis car j'ai l'impression qu'on est de moins en moins tolérant côté travailleur sur les heures supp. La preuve en est que pas mal de patrons en restauration et hôtellerie revoient leurs modes de fonctionnement car ils ont du mal à trouver des gens.
Ma politique à moi, c'est que je prends toutes mes pauses (je ne fais aucune tâche), mes vacances... et même si ça fait gueuler, je m'en fiche. Et dieu sait que j'ai pu en avoir des pressions. Si personne n'est là pour me remplacer, mes chefs se démerdent. C'est leur boulot de trouver quelqu'un.
Quand je débutais dans le travail, j'ai remarqué que celle et ceux à qui les supérieurs en demandaient toujours plus étaient des gens qui bossaient beaucoup, faisaient des heures supp même le week-end quoi.
En gros dés qu'un travailleur commence à être conciliant, on lui en demandera toujours plus. Telle est la triste réalité.
J'ai la chance de ne pas travailler dans le domaine de la santé, et donc ce n'est pas une question de vie ou de mort. Mais soyons honnête, c'est une filière qui a du mal à recruter et de toute façon plus la fatigue est présente plus les chances de commettre une erreur grandissent.