@Mellys Oui, c'est dit. Rogue est très isolé. (et donc la proie idéale pour un embrigadement)
Concernant les blagues des Maraudeurs, on fait un parallèle avec Fred et Georges mais la façon de minimiser les dimensions humiliantes et/ou dangereuses des "blagues" des deux bandes m'a souvent fait tiquer de la part de l'autrice.
Je pense notamment à l'épisode avec Dudley et la praline longuelangue. C'est présenté comme comique et sur un personnage mauvais donc pas si grave dans la logique de l'autrice mais quand on regarde les faits, ils ont failli le tuer pour une blague et n'expriment aucun remords.
Si je me souviens, la langue ne se contentait pas de s'allonger, elle gonflait aussi, il serait mort étouffé rapidement sans l'intervention d'Arthur Weasley.
De même, quand Harry a une retenue et qu'il doit classer de vieux rapports où apparaissent son père et son parrain c'est pour des faits du type "ont lancé un maléfice à Bidule", "ont fait enfler la tête de Truc" donc des agressions physiques.
Une blague gentille, ce serait changer mon encre juste pour voir ma tête quand mon habituelle et austère encre noire serait rose à paillettes et dégagerait des papillons parfum sucre d'orge, pas m'envoyer à l'infirmerie.
En fait, je l'ai déjà dit mais on ne pourra jamais trancher sur Rogue et c'est ce qui en fait un bon personnage : il est complexe.
De même pour James et Sirus. On a de James une vision très fragmentée et polarisée, surtout qu'il est mort depuis longtemps et que le souvenir que nous gardons des gens tend à s'estomper. Remus et Sirius gardent le souvenir d'un homme qui était leur ami et de ce fait, lui passent sans doute ses defaults. Severus, qui était une de ses victimes, ne se rappelle plus de lui que comme son tourmenteur et peine à lui trouver une qualité.
Sirius aussi. D'un côté, il est loyal à ses amis, de l'autre c'est un crevard. Et il a deux phases. La phase "pré-Azkaban" où c'est un sale petit con et la phase "post-Azkaban" où il a urgemment besoin d'un psy.
Je n'appelle à la détestation d'aucun personnage (sauf Dumbledore mais parlons-en une autre fois ) mais je m'interroge sur ce qu'on pardonne ou reproche aux personnages selon notre amour pour eux et leur camp d'appartenance.
Et qu'un bon personnage est complexe et que aucun ne peux être louangé ou condamné en bloc.
édit parce que ça a posté alors que je n'avais pas fini (scrogneugneu)
Concernant les blagues des Maraudeurs, on fait un parallèle avec Fred et Georges mais la façon de minimiser les dimensions humiliantes et/ou dangereuses des "blagues" des deux bandes m'a souvent fait tiquer de la part de l'autrice.
Je pense notamment à l'épisode avec Dudley et la praline longuelangue. C'est présenté comme comique et sur un personnage mauvais donc pas si grave dans la logique de l'autrice mais quand on regarde les faits, ils ont failli le tuer pour une blague et n'expriment aucun remords.
Si je me souviens, la langue ne se contentait pas de s'allonger, elle gonflait aussi, il serait mort étouffé rapidement sans l'intervention d'Arthur Weasley.
De même, quand Harry a une retenue et qu'il doit classer de vieux rapports où apparaissent son père et son parrain c'est pour des faits du type "ont lancé un maléfice à Bidule", "ont fait enfler la tête de Truc" donc des agressions physiques.
Une blague gentille, ce serait changer mon encre juste pour voir ma tête quand mon habituelle et austère encre noire serait rose à paillettes et dégagerait des papillons parfum sucre d'orge, pas m'envoyer à l'infirmerie.
En fait, je l'ai déjà dit mais on ne pourra jamais trancher sur Rogue et c'est ce qui en fait un bon personnage : il est complexe.
De même pour James et Sirus. On a de James une vision très fragmentée et polarisée, surtout qu'il est mort depuis longtemps et que le souvenir que nous gardons des gens tend à s'estomper. Remus et Sirius gardent le souvenir d'un homme qui était leur ami et de ce fait, lui passent sans doute ses defaults. Severus, qui était une de ses victimes, ne se rappelle plus de lui que comme son tourmenteur et peine à lui trouver une qualité.
Sirius aussi. D'un côté, il est loyal à ses amis, de l'autre c'est un crevard. Et il a deux phases. La phase "pré-Azkaban" où c'est un sale petit con et la phase "post-Azkaban" où il a urgemment besoin d'un psy.
Je n'appelle à la détestation d'aucun personnage (sauf Dumbledore mais parlons-en une autre fois ) mais je m'interroge sur ce qu'on pardonne ou reproche aux personnages selon notre amour pour eux et leur camp d'appartenance.
Et qu'un bon personnage est complexe et que aucun ne peux être louangé ou condamné en bloc.
édit parce que ça a posté alors que je n'avais pas fini (scrogneugneu)