Je pense qu’elles sont maquillées, ce qui était pas le cas à l’époque pour la plupart, surtout que le collodion est connu pour marquer les traits.
@Bleu pastel
Mais bon fallait peut-être faire des photos quand la personne était vivante! Zéro logique les gens.
Les photos post mortem what the fuck? Et la rigidité cadavérique? Et l'odeur? La personne qui pèse un mort (...ok).
Pourtant, Google regorge de photographies, de tous les âges et de toutes les mises en scène pour une "presque légende". Sachant que, comme indiqué par les madz précédentes, c'était un processus très onéreux, qui demandait beaucoup de temps (dans l'article, ça parle d'un temps de pose de 10-20 sec mais au tout début du phénomène, à l'époque du daguerréotype, il fallait poser sans bouger jusqu'à 20-30min. Les morts étaient donc les silhouettes les plus nettes) et que, le temps faisant son oeuvre, les photographies ont du se perdre.il se trouve que les photos post-mortem sont extrêmement rares, voire presque une légende. Les seules personnes qui pouvaient être prises en photo mortes étaient les nourrissons et les enfants en très bas âge. Pas des adultes en tous cas les procédés étant assez complexes pour donner au mort l'apparence d'un vivant.
Gaspard Félix-Tournachon, plus connu sous le nom de Nadar avait fait du portrait après décès l'une de ses spécialités et reçu plusieurs lettres lui demandant de venir photographier des défunts. Vers 1840, la pratique se généralise et se banalise.
Exactement, d'ailleurs il existe un magnifique et très émouvant portrait de Victor Hugo sur son lit de mort, photographié par son ami Gaspard Félix Tournachon aka Nadar, que j'avais vu l'an dernier à la BNF, à l'exposition consacrée aux 3 frères Nadar .Je cite un article qui m'a l'air plutôt riche en infos et qui donne ses sources à la fin
Gaspard Félix-Tournachon, plus connu sous le nom de Nadar avait fait du portrait après décès l'une de ses spécialités et reçu plusieurs lettres lui demandant de venir photographier des défunts. Vers 1840, la pratique se généralise et se banalise.