@J_Serpentine
Moi je tombe plutôt sur des articles qui expliquent que les photos post-mortem d'adultes avec effet "je suis vivant" sont une légende urbaine :
Les squelettes de ferraille ne peuvent pas supporter le poids d'un humain et avec le rigor mortis il faudrait que la personne soit morte dans la position "idéale" pour la photo.
Les squelettes ou plutôt des sortes de tuteurs servaient pour les vivants, pour qu'ils maintiennent la position idéale pendant la photo.
Je ne doute pas que des photos de personnes dans leur cercueil aient bien existé, mais, dans leur cercueil effectivement c'est à dire mortes et représentées telles quelles.
Quand je parle de légende urbaine concernant les photos post-mortem je parle de photos d'adultes avec mise en scène.
Sinon, le temps d'exposition pour une photo portrait n'a jamais été de 20mn :
@Coco l'asticot
Je n'ai pas l'impression que la mort soit taboue de nos jours. C'est juste qu'on n'a plus les mêmes pratiques et qu'on a développé un sens du "macabre" qui fait qu'on n'est plus trop attirés par les rituels comme veiller les morts, garder une mèche de cheveux dans un médaillon, prendre en photo le cercueil etc.
C'est un peu comme si on disait qu'on ne jette plus le contenu de son pot de chambre par la fenêtre. Les mœurs évoluent et ce qui n'était pas forcément dégoûtant avant l'est aujourd'hui. (Désolée pour la comparaison, c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit).
Moi je tombe plutôt sur des articles qui expliquent que les photos post-mortem d'adultes avec effet "je suis vivant" sont une légende urbaine :
Clearing Up Some Myths About Victorian 'Postmortem' Photographs
Stories abound of dead people being propped up on stands to seem alive. The reality was different.
www.atlasobscura.com
Les squelettes ou plutôt des sortes de tuteurs servaient pour les vivants, pour qu'ils maintiennent la position idéale pendant la photo.
Je ne doute pas que des photos de personnes dans leur cercueil aient bien existé, mais, dans leur cercueil effectivement c'est à dire mortes et représentées telles quelles.
Quand je parle de légende urbaine concernant les photos post-mortem je parle de photos d'adultes avec mise en scène.
An intriguing thing about the spread of Victorian-era death myths is that we are not dealing with ancient history. The 1800s are not so far away; patent descriptions, images, illustrations, and catalog ads from that era can tell us everything from how Victorians actually cared for their dead to practices and inventions in photography. An avid photographer himself, Zohn researched Victorian records so that he could make his own ambrotypes and daguerreotypes. When it came to posing stands, “not a single bit of it mentions anything about dead people.”
Sinon, le temps d'exposition pour une photo portrait n'a jamais été de 20mn :
Initially, he explains, exposure time could be half an hour or an hour—but this was for landscapes, never for portraiture. By 1839, when the daguerreotype was invented, the longest exposures were a minute and a half. By the 1850s, they were three to eight seconds.
“When people talk about long exposure, it sounds like people had to wait for half an hour,” Zohn says. “They did not. But an exposure of even one second is long enough to allow for blurring. So they had posing stands.”
@Coco l'asticot
Je n'ai pas l'impression que la mort soit taboue de nos jours. C'est juste qu'on n'a plus les mêmes pratiques et qu'on a développé un sens du "macabre" qui fait qu'on n'est plus trop attirés par les rituels comme veiller les morts, garder une mèche de cheveux dans un médaillon, prendre en photo le cercueil etc.
C'est un peu comme si on disait qu'on ne jette plus le contenu de son pot de chambre par la fenêtre. Les mœurs évoluent et ce qui n'était pas forcément dégoûtant avant l'est aujourd'hui. (Désolée pour la comparaison, c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit).
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