Ah Callistar je suis vraiment très contente de lire ton commentaire ! J'ai lu les six premières pages de commentaires et j'ai vu beaucoup de messages de soutien ou de désaccord. Je suis évidemment contente pour la mad qui a témoigné que "tout est bien qui finit bien", mais je me suis beaucoup interrogée pendant la lecture de l'article sur le consentement du père.
Je veux dire, oui, le bébé qui va naître grandit à l'intérieur de notre corps, donc notre décision en tant que mère et en tant que femme est capitale. Mais peut-on imposer un enfant à un homme qui ne l'a pas choisi et surtout, qui n'en veut pas ? Le bébé a beau se développer à l'intérieur de nous, il a été formé par deux personnes, pas par une seule ! C'était une vraie angoisse pour mon précédent ex qui me disait qu'il avait très peur qu'un jour, quelqu'un lui fasse "un bébé dans le dos"...
Voilà, ce sont les interrogations qui me passaient par la tête.
Hello! Je me permet d'ajouter une petit pierre à ce débat du consentement du père.
Alors je pense qu'il ne faut pas minimiser l'impact et la peur que doit représenté pour un homme l'idée d'avoir un enfant sans le savoir/vouloir. Néanmoins, il est impossible pour une femme en France de forcer un père à reconnaître son enfant, alors oui le choix d'abandonner son enfant sachant qu'il va vivre est dur, mais c'est les conséquences qu'on doit assumer lorsque qu'on ne veux pas d'enfants et qu'on ne s'est pas bien protégés. Après des cas particuliers existent et des situations délirantes. Mais dans le cas d'un homme qui à choisi de ne pas se protéger et ne veux pas d'enfant, oui c'est dur, mais en aucun cas la femme ne lui impose quelque chose. Il se l'est imposé au moment ou il décider de coucher car sais que rapport=bébé, dans la mesure ou la maman hypothétique ne peux de toute façon pas lui imposer cet enfant, puisque le choix de reconnaître l'enfant ou non lui appartient. Donc conclusion personnel: on peux lui imposer un enfant dans le sens ou on ne lui "impose" pas, il a choisi lui même avant de prendre ce risque. finalement c'est lui se l'impose.
Voilà voilà, des bisous