Comme d'autres Madz, j'aurais bien aimé que l'auteure développe davantage l'aspect nutritionnel, comment elle évite les carences.
Notamment de par l'absence de produits laitiers du régime alimentaire, je ne peux m'empêcher de me demander : quid des besoins en calcium ?
Personnellement, je suis plutôt omnivore, mais j'ai des tendances végétariennes. Je dis tendances, car lorsque je peux faire ma propre cuisine, je me rends compte que naturellement, je me passe de viande sans même avoir à y réfléchir.
Mais comme je n'ai pas toujours cette possibilité, et que je dois plutôt composer avec la cuisine d'autrui (et notamment des personnes qui n'envisagent pas un repas sans viande...), je me retrouve à manger de la viande plus souvent que je ne voudrais.
Par contre, autant l'aspect moral du végétarisme me parle, autant celui du végétalien, je le comprends moins. Car manger un œuf (non fécondé) ou consommer des produits laitiers, sur le principe*, ça ne tue pas ou ne blesse pas l'animal qui l'a fourni.
Et la domestication à but fermier a permis de sauvegarder et développer de nombreuses espèces qui sinon auraient disparu depuis longtemps.
(* exception faite des élevages intensifs où les animaux sont parqués dans des conditions atroces évidemment...).
Après, certes, le soucis peut être de connaitre l'origine réelle des produits que l'on consomme. Si on veut éviter tout doute sur la moralité de leur production, en effet, ne plus rien consommer est une solution radicalement efficace.
Notamment de par l'absence de produits laitiers du régime alimentaire, je ne peux m'empêcher de me demander : quid des besoins en calcium ?
Personnellement, je suis plutôt omnivore, mais j'ai des tendances végétariennes. Je dis tendances, car lorsque je peux faire ma propre cuisine, je me rends compte que naturellement, je me passe de viande sans même avoir à y réfléchir.
Mais comme je n'ai pas toujours cette possibilité, et que je dois plutôt composer avec la cuisine d'autrui (et notamment des personnes qui n'envisagent pas un repas sans viande...), je me retrouve à manger de la viande plus souvent que je ne voudrais.
Par contre, autant l'aspect moral du végétarisme me parle, autant celui du végétalien, je le comprends moins. Car manger un œuf (non fécondé) ou consommer des produits laitiers, sur le principe*, ça ne tue pas ou ne blesse pas l'animal qui l'a fourni.
Et la domestication à but fermier a permis de sauvegarder et développer de nombreuses espèces qui sinon auraient disparu depuis longtemps.
(* exception faite des élevages intensifs où les animaux sont parqués dans des conditions atroces évidemment...).
Après, certes, le soucis peut être de connaitre l'origine réelle des produits que l'on consomme. Si on veut éviter tout doute sur la moralité de leur production, en effet, ne plus rien consommer est une solution radicalement efficace.