J'adore.
Voilà, c'est tout.
Où est-ce qu'on donne des sous pour avoir la suite ?
Voilà, c'est tout.
Où est-ce qu'on donne des sous pour avoir la suite ?
Je ne remets pas en cause ta sincérité et je suis sûre que les sujets que tu évoques dans tes écrits te tiennent à cœur. Ceci dit, la forme est pour moi indissociable du fond et ici elle le dessert. Puisque tu parles de Voltaire, penses-tu qu'un Candide ou un Zadig auraient le même impact s'ils étaient écrits dans un style lourd qui nécessite plusieurs relectures ? Une association de lutte contre le VIH qui se contente d'une affiche conçue grossièrement sur Paint et truffée de fautes réussira-t-elle à sensibiliser son public-cible aussi bien que si elle avait fait l'effort de s'y intéresser sérieusement ?Je ne vise ni le prix Nobel de littérature, ni le Goncourt (Médicis, haha !), donc j'apporte effectivement beaucoup moins d'attention au style qu'au fond.
Sinon, de grands classique de SF ont déjà fait appel à des glossaires/explications concernant la langue, comme la fameuse Novlangue de 1984, ou comme le Nadsat parlé par Alex dans Orange Mécanique. Et en dernier recours, la note de bas de page est rapide, et aide le lecteur.
Merci, effectivement, je crois que c'était l'idée, d'où le "je ne pense pas que Clémence avait dans l'eau de retoucher son texte au fil de l'eau" (j'ai vraiment l'impression de ne pas être clair parfois)@Euki je crois que l'idée est qu'elle ne voulait pas retoucher le texte au fur et à mesure, mais, peut-être, tout publier dans un premier temps, et retravailler ensuite son texte en fonction des critiques reçues, pour un souci d'homogénéité du style. Enfin, c'est ce que j'ai compris.
Je n'en sais rien, faut qu'on en recause avec ClémSi ça reste comme ça (un extrait non retouché chaque semaine, et ensuite, un travail sur le texte complet), le texte final sera-t-il publié sur Madmoizelle ?