Sinon, à quand un monde de l'emploi empathique qui prend en considération les souffrances de ses salariés et cherche à améliorer leurs conditions de travail? Il serai tellement plus simple de pouvoir en discuter de se genre de problème avec son employeur pour chercher un arrangement à l'amiable.
Le problème n'est-il pas aussi la non reconnaissance de la douleur (de par les médecin, les employeurs, la société en général)?
Pour rappel la douleur est un ressenti émotionnel, psychologique et physique qu'il y ai ou non une explication physiologique. C'est pour cela que son appréciation doit, dans le meilleur des cas, être faite par la personne qui souffre. Et quand cette dernière ne peut pas s'exprimer il est bien compliqué de l'évaluer.
Le médecin (et tout personnel médical) qui reçois une personne douloureuse devrai se baser sur ses dires et non juger de la "légitimité" de sa douleur. Et je peut observer que (trop) souvent cela ne se fait pas.
Le problème n'est-il pas aussi la non reconnaissance de la douleur (de par les médecin, les employeurs, la société en général)?
Pour rappel la douleur est un ressenti émotionnel, psychologique et physique qu'il y ai ou non une explication physiologique. C'est pour cela que son appréciation doit, dans le meilleur des cas, être faite par la personne qui souffre. Et quand cette dernière ne peut pas s'exprimer il est bien compliqué de l'évaluer.
Le médecin (et tout personnel médical) qui reçois une personne douloureuse devrai se baser sur ses dires et non juger de la "légitimité" de sa douleur. Et je peut observer que (trop) souvent cela ne se fait pas.