J'ai été vierge jusqu'à 22 ans
- Initiateur de la discussion Une madmoiZelle
- Date de début
J'ai embrassé un garçon pour la première fois quand j'étais en terminale, et j'ai rencontré mon premier copain à la fac.
On est donc sorti ensemble l'année de nos 18 ans, et on a fini par coucher ensemble au bout de 6 mois (on avait 19 ans), après un certain nombre d'essais infructueux : j'avais très mal à chaque fois qu'on essayait. Il a été super patient, et super gentil, il était vierge aussi.
Je suis plutôt une jolie fille (il parait), et je n'ai jamais au trop de mal à intéresser des garçons, par contre, aucun ne m'intéressait jamais.
Je suis contente d'avoir attendu, je garderai toujours un souvenir impérissable de mon premier. On est plus ensemble ajd, se séparer a été un déchirement pour nous deux. Mais on a vécu un truc génial, je ne changerai ça pour rien au monde
A toutes celles qui ont l'impression d'être anormales, ne précipitez pas les choses, parce que parfois ça en vaut la peine. L'une de mes meilleures amies est toujours vierge à 21 ans, elle est magnifique, mais elle se sent anormale... Il n'y a pas d'âge pour la première fois ! Et pas d'obligation, il n'y a aucune honte à avoir. Mais ne couchez pas avec le premier venu pour vous "débarrasser" de cette virginité qui vous embarrasse.
On est donc sorti ensemble l'année de nos 18 ans, et on a fini par coucher ensemble au bout de 6 mois (on avait 19 ans), après un certain nombre d'essais infructueux : j'avais très mal à chaque fois qu'on essayait. Il a été super patient, et super gentil, il était vierge aussi.
Je suis plutôt une jolie fille (il parait), et je n'ai jamais au trop de mal à intéresser des garçons, par contre, aucun ne m'intéressait jamais.
Je suis contente d'avoir attendu, je garderai toujours un souvenir impérissable de mon premier. On est plus ensemble ajd, se séparer a été un déchirement pour nous deux. Mais on a vécu un truc génial, je ne changerai ça pour rien au monde
A toutes celles qui ont l'impression d'être anormales, ne précipitez pas les choses, parce que parfois ça en vaut la peine. L'une de mes meilleures amies est toujours vierge à 21 ans, elle est magnifique, mais elle se sent anormale... Il n'y a pas d'âge pour la première fois ! Et pas d'obligation, il n'y a aucune honte à avoir. Mais ne couchez pas avec le premier venu pour vous "débarrasser" de cette virginité qui vous embarrasse.
Je vous bats toutes si je puis dire !
J'ai perdu ma virginité à....26 ans !
Nope, ici 30 ans et toujours vierge
L'âge et la maturité ne veulent rien dire. Tu peux très bien avoir 14 ans et avoir envie de te poser durablement comme 32 ans et avoir envie de prendre ton pied pour un soir avec un mec que tu connais pas. Et avoir envie de niquer sans lendemain, c'est pas un signe d'immaturité non plus. Tant que tu es en accord avec ton slip et que tu fais ce dont tu as envie, c'est tout ce qui compte !
Dernière édition :
@Eschile J'avoue que j'y ai déjà pensé, l'envie de me dire "Bon ça c'est fait".
Ce qui me fait le plus chier dans l'histoire, c'est pas d'être vierge mais plutôt de n'avoir aucune expérience. Et puis j'aimerais bien pouvoir m'envoyer en l'air sans réfléchir mais je sais pas faire.
Je me suis crue asexuelle jusqu'à 25 ans, rien, nada au niveau de ma culotte et de ma libido. Et puis tout d'un coup, paf, les hormones ont dû se réveiller et j'ai eu envie. Au final, c'est pas toujours évident à assumer, mais j'ai pas envie de prendre le premier mec qui passe, j'ai envie de complicité et d'un peu d'amour pour m'envoyer en l'air.
(Si ça se trouve la première fois que ça va vraiment m'arriver, je vais tellement kiffer que je vais avoir envie de bayzer toute la journée)
Ce qui me fait le plus chier dans l'histoire, c'est pas d'être vierge mais plutôt de n'avoir aucune expérience. Et puis j'aimerais bien pouvoir m'envoyer en l'air sans réfléchir mais je sais pas faire.
Je me suis crue asexuelle jusqu'à 25 ans, rien, nada au niveau de ma culotte et de ma libido. Et puis tout d'un coup, paf, les hormones ont dû se réveiller et j'ai eu envie. Au final, c'est pas toujours évident à assumer, mais j'ai pas envie de prendre le premier mec qui passe, j'ai envie de complicité et d'un peu d'amour pour m'envoyer en l'air.
(Si ça se trouve la première fois que ça va vraiment m'arriver, je vais tellement kiffer que je vais avoir envie de bayzer toute la journée
)23 ans, toujours vierge, ce n'est pas un choix lié à une conviction religieuse ou morale, c'est juste comme ça. La rencontre de deux corps n'est pas facile à appliquer pour tout le monde, l'idée du pénis me tétanise, quel gros machin (oui, je sais, réflexion digne d'une prépubère !) ! Je crois savoir que je suis hétéro car je ne suis pas dénuée de libido mais mon désir n'est pas assez fort pour passer à l'acte.
Je ne subis pas ma virginité, d'ailleurs je trouve ce mot ridicule, ça veut dire quoi être vierge, vierge de quoi ? Je n'aurais rien vécu ? Je n'aurais aucune expérience de vie ? À croire que l'acte sexuel est le seul et unique moyen de sortir de la candeur, de la naïveté, de la blancheur immaculée.. je ne me reconnais pas là dedans ! Au fond de moi je vis très bien avec cette absence de vie sexuelle, je ne me sens pas différente, je me sens juste moi.
Et pourtant au grand jour, je ne l'assume pas car je sais que le regard des autres sera bourré de préjugés. La pression sociale me bloque, à 18 ans, clairement je n'étais pas prête... aujourd'hui je n'ose pas annoncer à un potentiel partenaire que je n'ai pas d'expérience sexuelle, que je suis une novice, que ça me fait peur et qu'avec moi ça ne sera pas un bon coup mais un long apprentissage, (la seule pseudo expérience sexuelle que j'ai eu se résume à un beau moment de vaginisme). J'ai l'impression de vivre dans une culture du sexe, on se sexfriend avant de se connaitre, on est adepte du plan cul, des coups d'un soir, on démystifie totalement le sexe, et c'est tant mieux, mais comment aborder sa sexualité touuuuut doucement comme je le voudrais alors que le monde autour de moi semble si pressé de consommer.
J'aimerais vivre dans une société où on pourrait dire qu'on n'a jamais couché comme on dit qu'on n'a pas son permis ou qu'on n'a jamais prit l'avion. Je me sens dans l'impasse, j'ai besoin qu'on me laisse du temps pour appréhender la chose, et à 23 ans, c'est comme si j'avais raté le coche.
Je ne subis pas ma virginité, d'ailleurs je trouve ce mot ridicule, ça veut dire quoi être vierge, vierge de quoi ? Je n'aurais rien vécu ? Je n'aurais aucune expérience de vie ? À croire que l'acte sexuel est le seul et unique moyen de sortir de la candeur, de la naïveté, de la blancheur immaculée.. je ne me reconnais pas là dedans ! Au fond de moi je vis très bien avec cette absence de vie sexuelle, je ne me sens pas différente, je me sens juste moi.
Et pourtant au grand jour, je ne l'assume pas car je sais que le regard des autres sera bourré de préjugés. La pression sociale me bloque, à 18 ans, clairement je n'étais pas prête... aujourd'hui je n'ose pas annoncer à un potentiel partenaire que je n'ai pas d'expérience sexuelle, que je suis une novice, que ça me fait peur et qu'avec moi ça ne sera pas un bon coup mais un long apprentissage, (la seule pseudo expérience sexuelle que j'ai eu se résume à un beau moment de vaginisme). J'ai l'impression de vivre dans une culture du sexe, on se sexfriend avant de se connaitre, on est adepte du plan cul, des coups d'un soir, on démystifie totalement le sexe, et c'est tant mieux, mais comment aborder sa sexualité touuuuut doucement comme je le voudrais alors que le monde autour de moi semble si pressé de consommer.
J'aimerais vivre dans une société où on pourrait dire qu'on n'a jamais couché comme on dit qu'on n'a pas son permis ou qu'on n'a jamais prit l'avion. Je me sens dans l'impasse, j'ai besoin qu'on me laisse du temps pour appréhender la chose, et à 23 ans, c'est comme si j'avais raté le coche.
Ca n'a pas trop d'importance. J'ai des ami-es qui mentent sur leur âge de 1ère fois, d'autres qui l'ont fait à 16 ou 17 ans et qui n'ont pas couché pendant 3, 4 ou 5 ans et plus ensuite alors que les occasions n'ont pas forcément manqué, d'autres encore qui couchent à tout-va pour faire comme les autres mais pas pour eux-mêmes (ce qui est assez triste selon moi) et en général ce sont les plus malheureux (dans ceux que je connais, et les plus instables en couple). Les pseudo-experts du sexe c'est juste relou. Le c*l ce n'est ni sacré, ni une nécessité. D'ailleurs en couple, est-ce que les partenaires baisent tous les jours jusqu'à la fin de leur vie? Non, c'est donc qu'on accorde plus d'importance qu'il n'en faut à cela. Est-ce qu'un vagin ou un pénis sont les 2 seules qualités qui plaisent chez un individu? Heureusement que non. C'est juste dommage qu'il faille souvent attendre 22, 25, 30 ans ou + chez certain-es pour s'en rendre compte. En attendant, cela a bien pourri la vie de pas mal de personnes ou leurs relations au lieu de pouvoir profiter de beaucoup de supers qualités tout autres, mais on s'en remet vite.
@UneCactus L'avion c'est quand même cool pour faire de belles découvertes et rencontres, et créer des liens durables parfois!
@UneCactus L'avion c'est quand même cool pour faire de belles découvertes et rencontres, et créer des liens durables parfois!
Ahah, j'allais commenter un autre article et là je vois que mes anciens commentaires sont stockés, du coup, je relis ce que j'ai écrit et je tombe sur mon fameux témoignage.
Alors j'ai un update: ce garçon je l'avais rencontré sur un tournage en province il y a 10 ans, je n'ai aucun ami en commun avec lui et je n'habite plus la ville où nous nous sommes rencontrés, bref jamais entendu parler de lui depuis.
Il y a deux mois, je vais à une soirée chez des amis et ... le voilà qui débarque. On s'est reconnus tout de suite (après un bref bug), et je lui ai parlé de sa réaction il y a 10 ans et de la manière dont elle m'avait impactée.
Il a dit y avoir repensé souvent après et s'être senti con d'avoir eu une telle réaction. Avant d'entreprendre de me redraguer (non mais hé ho quoi!). Mais je suis contente qu'il n'aie pas oublié cette histoire et qu'il s'en soit un peu voulu.
J'ai aussi fait mon premier baiser "tardivement" (à 17 ans, et avec un mec qui l'a fait sans mon consentement, beurk) et j'ai fait ma première fois à l'âge de 21 ans. Comme beaucoup d'autres, j'avais vachement honte d'être toujours vierge à 18 ans passées, et encore pire après 20 ans. Et comme d'autres, j'ai caché que je l'étais parce que j'avais honte (comme je l'ai dit), mais aussi parce que les gens trouvaient ça bizarre (genre t'as forcément un mégaaaa gros "défaut": "mais tu serais pas lesbienne?"/"coincée?","nan mais le prince charmant ça exise pas tu sais...", "tu vas finir avec des toiles d'araignées entre les jambes ha ha", etc.) notamment les gars que ça faisaient fuir. J'ai du faire face aux même types de réactions que celles citées dans l'article (mais bordel c'est quoi le problème avec ça? Il faut vraiment démysthifier la virginité et la première fois!!). Et ce qui est vraiment débile, c'est que on est vierge, on a honte, les gars veulent pas coucher avec nous à cause de ça, donc on reste vierge, le temps passe et on a encore plus honte, et etc. Jusqu'à ce que la situation se débloque (par un moyen ou un autre). Personnellement, j'ai arrêté de culpabiliser. Parce que après avoir réfléchi, je me suis aperçue que ma virginté était un choix de ma part, et que les filles ayant fait leur première fois plus tôt n'avait pas forcément une vie sexuelle plus épanouie que la mienne. Et bordel de bordel (oui, c'est la deuxième fois que je dis cette grossièreté), c'est quoi le problème avec le fait d'être vierge?! Pourquoi on devrait avoir honte et se dépecher de coucher avec quelqu'un lorsqu'on n'en a pas envie et/ou qu'on ne se sent pas encore prête, juste pour faire comme tout le monde et rentrer dans les normes?
Bon bref, les filles, si vous êtes toujours vierges après 18 ans, no panic!
Au final, je suis très heureuse d'avoir résisté à la pression sociale et d'avoir attendu de me sentir prête et en confiance avec un partenaire pour sauter le pas, car ma première fois s'est très bien passée et j'en garde un bon souvenir! Si je peux vous donner (encore) un conseil, c'est de ne pas hésiter à parler de ce qui vous fait peur avec des personnes que vous estimez ouvertes d'esprit, avec qui vous vous sentez en confiance, qui ne vous jugeront pas 
Ou lisez des articles sur Madmoiizelle si vous n'osez pas parler! Cela va vous rassurer et aider à déstresser et à relativiser
Bon bref, les filles, si vous êtes toujours vierges après 18 ans, no panic!
Au final, je suis très heureuse d'avoir résisté à la pression sociale et d'avoir attendu de me sentir prête et en confiance avec un partenaire pour sauter le pas, car ma première fois s'est très bien passée et j'en garde un bon souvenir! Si je peux vous donner (encore) un conseil, c'est de ne pas hésiter à parler de ce qui vous fait peur avec des personnes que vous estimez ouvertes d'esprit, avec qui vous vous sentez en confiance, qui ne vous jugeront pas Ou lisez des articles sur Madmoiizelle si vous n'osez pas parler! Cela va vous rassurer et aider à déstresser et à relativiser Je ne sais pas si certaines suivent encore ce forum, mais étant très déprimée et connaissant la bienveillance des mademoizelles je vais raconter ma vie. J'ai besoins de vider mon sac, alors je le fait ici.
J'ai 21 ans et je suis toujours vierge.
Je ne compte plus le nombre de fois ou l'on répétée que l'âge n'était pas important, que c'était pas grave...Mais je n'arrive pas à m'en convaincre. Ça me pèse énormément, une petite boule dans le ventre qui apparait quand on parle de sexualité et qui grandit jusqu'à me faire mal, me faire pleurer et déprimer quand le sujet s'étale trop, que je ne me sens pas bien dans ma peau ou que l'on commence à me poser des questions.
Cet article je l'ai lu pour la première fois à 18 ans, je venais de me prend une remarque par un des camarades qui, le jour de mon anniversaire, m'avait demandé si à 18 ans j'étais "toujours" vierge avec un regard de dégout.
L'article m'avait rassuré et j'arrivait à bien le vivre malgrès un grand décalage entre mes désirs et ce qui se passait vraiment dans ma vie (autrement dit le néant question vie sentimentale) .
Les années passent, je rentre en médecine, 2 ans de PACES où je vais beaucoup travailler, peu propice à la rencontre donc. Depuis mes 18 ans à chaque fois que je souffle les bougies je pense automatiquement: "mon dieu une année de plus est tu es toujours vierge...".
Ce que je vit le plus mal c'est le décalage. D'une part le décalage avec ma personnalité : je suis quelqu'un de très extraverti, j'adore rencontrer de nouvelles personnes, amuser la galerie...bref je suis perçue comme quelqu'un d'absolument pas timide et décomplexée !
Il y a aussi le décalage avec mes désirs, je sais que j'ai eu du désir sexuel tôt, mais plus les années avencent, plus j'ai honte de mon inexpérience. Alors de peur que mon partenaire se rende compte de mon manque d'expérience, j'ai toujours acceptée me faire toucher mais jamais plus loin. Je n'ose rien faire aux garçon, rien faire de plus qui pourrait faire éclater la vérité. Je me sens complètement bloquée dans un cercle vicieux infernal.
De plus comme évoquée plus haut je suis en médecine, maintenant en 3ème annéeJ'aime l'ambiance carabine mais c'est un milieu très décomplexé ou "tout le monde couche avec tout le monde" ce qui en fait une honte encore plus importante pour moi, qui creuse le fossé entre moi et les autres, qui me donne l'impression de ne pas être normale.
Le pire c'est qu'avec ma personnalité tout le monde (à part quelques amies proches) ne se doute de rien... et le fait que la vérité pourrait alors éclater au grand jour me terrifie.
Au environ de mon 21ème anniversaire , je me suis rendue compte que j'vais une malformation vaginale, qui m'aurait dans tous les cas empêchée d'avoir le moindre rapport. Rien de grave, une petite opération et le problème était réglé. Mais ça a été psychologiquement très dur de me dire que sur ce point là même mon corps n'était pas normal.
Je ne sais absolument pas comment me débloquer de cette situation, j'ai retourné le problème dans tous les sens. La seule solution serait de le faire avec un parfait inconnu, sans aucun rapport avec mon cercle amical. Mais je me sens tellement honteuse, nulle et pitoyable de devoir en arriver là...Mais je commence sérieusement à en avoir marre de pleurer.
J'ai 21 ans et je suis toujours vierge.
Je ne compte plus le nombre de fois ou l'on répétée que l'âge n'était pas important, que c'était pas grave...Mais je n'arrive pas à m'en convaincre. Ça me pèse énormément, une petite boule dans le ventre qui apparait quand on parle de sexualité et qui grandit jusqu'à me faire mal, me faire pleurer et déprimer quand le sujet s'étale trop, que je ne me sens pas bien dans ma peau ou que l'on commence à me poser des questions.
Cet article je l'ai lu pour la première fois à 18 ans, je venais de me prend une remarque par un des camarades qui, le jour de mon anniversaire, m'avait demandé si à 18 ans j'étais "toujours" vierge avec un regard de dégout.
L'article m'avait rassuré et j'arrivait à bien le vivre malgrès un grand décalage entre mes désirs et ce qui se passait vraiment dans ma vie (autrement dit le néant question vie sentimentale) .
Les années passent, je rentre en médecine, 2 ans de PACES où je vais beaucoup travailler, peu propice à la rencontre donc. Depuis mes 18 ans à chaque fois que je souffle les bougies je pense automatiquement: "mon dieu une année de plus est tu es toujours vierge...".
Ce que je vit le plus mal c'est le décalage. D'une part le décalage avec ma personnalité : je suis quelqu'un de très extraverti, j'adore rencontrer de nouvelles personnes, amuser la galerie...bref je suis perçue comme quelqu'un d'absolument pas timide et décomplexée !
Il y a aussi le décalage avec mes désirs, je sais que j'ai eu du désir sexuel tôt, mais plus les années avencent, plus j'ai honte de mon inexpérience. Alors de peur que mon partenaire se rende compte de mon manque d'expérience, j'ai toujours acceptée me faire toucher mais jamais plus loin. Je n'ose rien faire aux garçon, rien faire de plus qui pourrait faire éclater la vérité. Je me sens complètement bloquée dans un cercle vicieux infernal.
De plus comme évoquée plus haut je suis en médecine, maintenant en 3ème annéeJ'aime l'ambiance carabine mais c'est un milieu très décomplexé ou "tout le monde couche avec tout le monde" ce qui en fait une honte encore plus importante pour moi, qui creuse le fossé entre moi et les autres, qui me donne l'impression de ne pas être normale.
Le pire c'est qu'avec ma personnalité tout le monde (à part quelques amies proches) ne se doute de rien... et le fait que la vérité pourrait alors éclater au grand jour me terrifie.
Au environ de mon 21ème anniversaire , je me suis rendue compte que j'vais une malformation vaginale, qui m'aurait dans tous les cas empêchée d'avoir le moindre rapport. Rien de grave, une petite opération et le problème était réglé. Mais ça a été psychologiquement très dur de me dire que sur ce point là même mon corps n'était pas normal.
Je ne sais absolument pas comment me débloquer de cette situation, j'ai retourné le problème dans tous les sens. La seule solution serait de le faire avec un parfait inconnu, sans aucun rapport avec mon cercle amical. Mais je me sens tellement honteuse, nulle et pitoyable de devoir en arriver là...Mais je commence sérieusement à en avoir marre de pleurer.
@plume31
Je pense que te mettre ainsi la pression est assez destructeur. Ton mal-être semble venir du regard des autres, de ce qu'ils pourraient penser de toi si jamais ils découvraient que tu n'avais jamais eu de rapport sexuel.
Autant te le dire, si des gens juge ta valeur par rapport à ta sexualité (ou ton absence de sexualité), ce sont probablement des personnes toxiques qu'il ne vaut mieux pas que tu ais dans ton entourage. Une personne ne peut pas être définie par sa virginité. Tu es plus que ça, tu fais médecine, tu as peut-être participé à des associations, tu es extravertie...Tu es une personne avec sa propre personnalité qui ne se définit pas par la sexualité.
Si tu penses des proches te jugeraient parce que tu es vierge, ce n'est pas à toi de te remettre en cause mais à eux. La virginité c'est juste à peine un détail de ton identité.
C'est compliqué de vivre dans une société hyper-sexualisée, mais je pense que dans un premier temps accorder moins d'importance au regard des autres serait un bon début.
Surtout ne te force pas, ce n'est pas une solution et tu pourrais te blesser (psychologiquement et peut-être physiquement). Fais-le lorsque tu en auras vraiment envie. Tu as également des raisons médicales.
Personnellement, je me suis aperçue que pour l'instant j'ai une absence totale de désir sexuel ou même d'être en couple. Ca a été aussi compliqué à accepter à cause de mon passé un peu traumatique mais maintenant je m'en fiche un peu des autres. J'ai environ trois amies qui doivent être au courant ainsi qu'un membre de ma famille. Le reste de mon entourage ne fait que des suppositions et limite me jugent dessus de toute façon (je connaissais un gars qui était persuadé que je n'avais que des aventures sans lendemain et qui m'avait jugé selon ces spéculations. Heureusement qu'il était le seul beauf de mon lieu de travail car ça aurait pu tourner très mal pour moi). Je ne dois rien à personne et je ne me pose plus de questions la-dessus.
Ne e préoccupe pas trop de l'avenir et je pense que ça serait mieux de se recentrer sur le présent. La question se posera seulement quand tu rencontreras vraiment quelqu'un que tu désires vraiment (physiquement ou sentimentalement, ça n'a pas d'importance). Si cette personne te juge sur ton absence d'expérience c'est qu'à mon avis, elle n'en valait pas la peine.
Dans l'ensemble une baisse des activités sexuelles a été constatée chez les jeunes en Occident, donc tu es loin d'être la seule:
http://www.slate.fr/story/172671/sexe-recession-vie-sexuelle-jeunes-masturbation-stress-numerique
Je pense que te mettre ainsi la pression est assez destructeur. Ton mal-être semble venir du regard des autres, de ce qu'ils pourraient penser de toi si jamais ils découvraient que tu n'avais jamais eu de rapport sexuel.
Autant te le dire, si des gens juge ta valeur par rapport à ta sexualité (ou ton absence de sexualité), ce sont probablement des personnes toxiques qu'il ne vaut mieux pas que tu ais dans ton entourage. Une personne ne peut pas être définie par sa virginité. Tu es plus que ça, tu fais médecine, tu as peut-être participé à des associations, tu es extravertie...Tu es une personne avec sa propre personnalité qui ne se définit pas par la sexualité.
Si tu penses des proches te jugeraient parce que tu es vierge, ce n'est pas à toi de te remettre en cause mais à eux. La virginité c'est juste à peine un détail de ton identité.
C'est compliqué de vivre dans une société hyper-sexualisée, mais je pense que dans un premier temps accorder moins d'importance au regard des autres serait un bon début.
Surtout ne te force pas, ce n'est pas une solution et tu pourrais te blesser (psychologiquement et peut-être physiquement). Fais-le lorsque tu en auras vraiment envie. Tu as également des raisons médicales.
Personnellement, je me suis aperçue que pour l'instant j'ai une absence totale de désir sexuel ou même d'être en couple. Ca a été aussi compliqué à accepter à cause de mon passé un peu traumatique mais maintenant je m'en fiche un peu des autres. J'ai environ trois amies qui doivent être au courant ainsi qu'un membre de ma famille. Le reste de mon entourage ne fait que des suppositions et limite me jugent dessus de toute façon (je connaissais un gars qui était persuadé que je n'avais que des aventures sans lendemain et qui m'avait jugé selon ces spéculations. Heureusement qu'il était le seul beauf de mon lieu de travail car ça aurait pu tourner très mal pour moi). Je ne dois rien à personne et je ne me pose plus de questions la-dessus.
Ne e préoccupe pas trop de l'avenir et je pense que ça serait mieux de se recentrer sur le présent. La question se posera seulement quand tu rencontreras vraiment quelqu'un que tu désires vraiment (physiquement ou sentimentalement, ça n'a pas d'importance). Si cette personne te juge sur ton absence d'expérience c'est qu'à mon avis, elle n'en valait pas la peine.
Dans l'ensemble une baisse des activités sexuelles a été constatée chez les jeunes en Occident, donc tu es loin d'être la seule:
http://www.slate.fr/story/172671/sexe-recession-vie-sexuelle-jeunes-masturbation-stress-numerique
Merci pour ton message, ça met du baume au coeur.
Je pense que tu as raison concernant le regard des autres. Mais ce qui est paradoxal c'est que mis à part ça je ne suis pas vraiment du genre à me soucier de regard des autres (dans ma façon de m'habiller, m'affirmer dans mes opinions ou autre).
Au fond je sais bien que tu as raison, que ça ne me définit pas, mais j'avoue avoir du mal à vraiment me le rentrer dans le tête.
J'ai rencontré pas mal de garçons ces dernières années, certains avec qui j'en avait envie. Mais à chaque fois ma peur qu'il découvre mon inexpérience prend le dessus et je préfère partir en courant
En tout cas je suis contente d'avoir pu avoir des réponses, moi qui pensait que personne ne lirait ça !
Merci pour la bienveillance
Je pense que tu as raison concernant le regard des autres. Mais ce qui est paradoxal c'est que mis à part ça je ne suis pas vraiment du genre à me soucier de regard des autres (dans ma façon de m'habiller, m'affirmer dans mes opinions ou autre).
Au fond je sais bien que tu as raison, que ça ne me définit pas, mais j'avoue avoir du mal à vraiment me le rentrer dans le tête.
J'ai rencontré pas mal de garçons ces dernières années, certains avec qui j'en avait envie. Mais à chaque fois ma peur qu'il découvre mon inexpérience prend le dessus et je préfère partir en courant
En tout cas je suis contente d'avoir pu avoir des réponses, moi qui pensait que personne ne lirait ça !
Merci pour la bienveillance
