J'avoue, on est intelligentes, capables de discernement, pourquoi ne pas nous informer? D'autant plus que les docs ont une obligation d'information (nous informer, CQFD) à défaut de résultat (nous guérir contre l'incurable et l'impossible). On ne peut attendre l'impossible de nos médecins car ils ne peuvent pas tout guérir. Ils ne sont qu'humains. Par contre, ils doivent nous informer, à mesure de leurs facultés à comprendre les maux dont nous sommes atteint(e)s sur les risques des interventions. Les médecins ne disposent que de leurs connaissances techniques (l'état actuel de leurs connaissances) On ne peut leur tenir rigueur des avancées de la science dont ni vous ni moi ni même le corps professoral n'a état.larcenette;4420492 a dit :J'en ai eu un il y a quelques années... Et à vrai dire, je n'avais aucune information, du coup, je suis allée sur les internets (ouh, l'erreur) et a part quelques informations issues de sites médicaux d'hopitaux, c'est un peu light, on n'y comprend rien...
Ce que j'en ai retenu c'est qu'il y a les bas grades et les haut grades...
Le mien était un bas lors du frottis et soit ça part tout seul, soit ça passe par la phase conisation (l'opération au laser)...
Comme au bout de 6 mois ça n'est pas passé, j'ai eu un rendez vous à la salpétrière, et je me suis retrouvée cul nu face au chirurgien, son assistante et... 6 internes...
HELLLOOOO TOUT LE MONDE
J'ai eu droit à une légère anesthésie locale, ça a senti le cochon grillé pendant quelques instants et c'était fini...
Je me suis retrouvée avec un bout de mon col de l'utérus dans un petit récipient pour examen (au cas ou ça serait cancéreux je pense)
et puis c'est tout...
Mais j'avoue que le truc le plus relou est clairement le manque d'informations : qu'est ce que c'est , comment ça se passe, quoi, ou, qui, rien de rien, et c'est hyper relou...
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