J'ai testé pour vous... le sodomite

[margooow]

"Cambriolé du cul"

Je me rends compte que j'ai eu de la "chance" si on peut dire, car je n'ai jamais eu de copain obsédé par ça... et comme c'est vraiment pas mon truc... Mon copain actuel aime bien, mais si on fait pas, ça ne lui manque pas...

de toute façon j'ai trouvé la parade: si il y fait allusion, je lui dis ok, mais je te le fais aussi (avec accessoire bien sûr )... Après tout, on est plus ou moins fait pareil de ce côté là non? En plus il paraît que le point G des hommes se situerait au niveau de la prostate... Et comme je l'aime et que je voudrais lui donner beaucoup de plaisir... En général il change de conversation bien vite

 

[Baby-Pop]

Oh mais quel trou du cul. (Pardon.)

Une femme a récemment porté plainte contre son maris parce qu'une nuit elle s'est réveillé et le doigt du monsieur était allé dire bonjour à son cucul.
C'est pas tellement différent...

 

[Apprentie-Diva]

Moi je dis ça mérite une petite revanche, façon gode ceinture et à quatre pattes le monsieur !

Pourquoi les gens ne prennent pas "NON" comme une réponse claire ? Je veux dire, c'est un mot clair, concis, à une syllable, tellement porteur de sens.
Depuis quand "NON" = Chais pas, faut voir ?

 

[Membre supprimé 85466]

Je devrais faire lire ça à mon mec...

Parce que ça commence à bien faire. Il me soule en ce moment avec ça et si j'ai dit que "oui je le tenterais" j'ai pas dit que ce serait ce soir non plus.
Il tente le coup comme s'il s'imaginait que je m'en rendais pas compte en plus l'abruti!

Le mien était pareil pendant un bon moment mais une bonne discussion (engueulade ?) sur le sujet et il s'est calmé du jour au lendemain. Et comme c'est si bien dit dans l'article : "Jusqu’aux dernières nouvelles, il s’agit de MON cul."

 

[Theaceae]

"Cambriolée du cul" : j'ai subi ce traumatisme aussi Josée, merci de me faire me sentir moins seule !

 

[Fab]

Fous-y un doigt dans l'péteux ! ::

 

[Princesse Microbe]

Merci, j'ai vraiment beaucoup ri.

Par contre, j'avoue ne pas avoir été si choquée/surprise que ça par le cambriolage.
Le début, le contexte, les réflexions immondes préparaient déjà le terrain du Connard. Résultat, je m'attendais même à pire.

En fait, ce qui m'a le plus choqué, c'est que tu le balances pas plus tôt. Pour moi, si un "copain comme cochon" n'est pas bonne ambiance et un tantinet "respectueux" c'est même pas la peine. Autant se taper un hentaï avec Monsieur Bunny.

 

[aichabada]

l'intitulé "j'ai testé la sodomite" ne va pas avec l'article ...ya pas du tout de test là , ya même pas l'envie de testé ...

 

[Fab]

l'intitulé "j'ai testé la sodomite" ne va pas avec l'article ...ya pas du tout de test là , ya même pas l'envie de testé ...

Le sodomite (une personne qui pratique la sodomie), pas la sodoMIE (euh... enfin tu vois l'idée)

 

[Ziggie]

Moi je suis mitigée sur cet article très drôle, et je comprends bien ta surprise et ta souffrance mais vous en aviez parlé avant ?

Je veux dire pour certaines personnes, la sodomie n'est pas un truc plus intime ou plus problématique qu'une pénétration vaginale, donc il a peut-être fait ça sans offense, sans penser une seconde que ça allait te traumatiser...
Pour lui c'est sans doute une pratique aussi naturelle que la pénétration standard, donc il n'a pas vu le problème.

Les limites de chacun et chacune sont parfois floues alors dans le cadre d'une relation sexuelle, ça n'est pas évident à la fois de se lâcher et de ne pas aller à l'encontre des barrières de l'autre.

 

[QueenMab]

Le gars décrit dans l'article me rappelle désagréablement mon ex :S

Fixette totale sur la sodomie, tentatives multiples en lousdé pendant la partie de chocapic (genre, lui aussi pensait que je m'en rendrait pas compte, genre "oups, je suis sorti et je me suis trompé de trou, zut alors, bon ben on continue comme ça, hin ?") J'en pouvais plus, surtout que la sodomie, ça me dégoûte ^^; (j'ai essayé une seule fois, pour lui faire plaisir, avec comme limite "si jamais j'ai mal, on arrête tout", ben ça a pas loupé, en 2 minutes c'était terminé parce qu'il forçait trop !)

Je vivais tellement dans la terreur de me faire violer le cul (parce que bon, à ce stade, c'était ça), que j'ai fini par accepter....de le sodomiser lui, avec un gode == Effectivement, j'ai eu la paix, mais mon vagin était pas franchement heureux de cette situation ==

(dieu merci, je suis plus avec lui -diantre, comment ai-je pu supporter un tel connard pendant 3 ans ? Oo Il était nul au lit, en plus ! -, mais hélas, le mal est fait : je suis dégoûtée du sexe ==)

 

[Thon]

La sodomie, c'est du bonheur et j'adore ça, mais seulement quand j'ai envie, MOI, et que j'ai le cul motivé.
Ouais par ce que je trouve qu'il y à "une humeur sodomie", autant ya des jours ou j'ai envie et ou ça me fait jouir comme une perdue, autant yen à d'autres ou j'aurais juste l'impression de me faire déchiqueter le côlon.

Du coup, la moindre des choses, c'est quand même de s'assurer que la nana est d'accord et à l'anus open avant d'y fourrer quoi que ce soit.

Jsuis sortie avec un mec, le genre emotionellement pleins de problème qui me prenait en photo pdt que je dormais façon stalker voyeur, et qui avait entre autre cette putain d'obsession de la sodomie. Le problème, c'est qu'il était incapable de comprendre que parfois, c'était oui, et parfois c'était non, et ce malgrè mes explications repetées..
Il m'en parlait constamment, me faisait culpabiliser quand je refusais, un homme charmant. Le "je me suis trompé de trou", j'y ai eu droit. Le "mon doigt s'égare" aussi. Le "oh dis donc, si j'alternais entre ta chatte et tes fesses" également.
Et comme si ça ne suffisait pas, il était insatiable et j'avais droit à de la baise 5, 6 fois par jour. Et si je l'avais laissé faire, je me serais donc faite enculer une fois toutes les 2 heures, tout les jours. Joie et bonheur pour mon anus.
En temps normal, j'aime bien baiser souvent, mais là je me retrouvais complétement sur mes gardes, à crisper des fesses tant que je pouvais et à la jouer biche aux abois au moindre de ses fremissements tellement je crevais de trouille d'y avoir ENCORE droit.
Et puis un jour il m'a "coincée" pdt la baise un peu plus fort que d'habitude et à essayé de m'y coller un doigt, c'était la fois de trop, je l'ai giflé violemment, je l'ai frappé, au lieu de l'arrêter et de lui faire comprendre qu'il y avait un problème, ça l'a fait jouir.
Je l'ai quitté.

Et pourtant, le château de Princesse (comme le dit @Elisabeth Bathory - j'adore la comparaison) , il l'avait eu, et il aurait pu l'avoir encore, mais seulement aux heures ouvrables bordel!


Le junkie de la sodomie, j'ai testé aussi, je suis très, très loin d'approuver.