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Des fois j'hésite à prendre ce genre de choses, c'est compliqué comme choix mais des fois la difficulté de gestion de ce symptôme est tel que je me dis que j'obtiendrai quand même un repos grâce à ça...Pas que je conseille ça à qui que ce soit tellement ces médocs sont un véritable enfer, mais pour une fois que ça pourrait être réellement utile : quid des antidépresseurs sérotoninergiques ? Ce genre de médocs détruit complètement toute sensation sexuelle, et même envie sexuelle, alors c'est vraiment pas cool, mais si la personne en est au point d'avoir envie d'uriner toutes les 5 minutes et ne plus pouvoir rien faire parce qu'elle doit se toucher tout le temps, une utilisation judicieuse de ce genre de médocs aiderait probablement.
C'est horrible de devoir recourir à ce genre de médicament, honnêtement en temps normal je les conseillerais même pas à mon pire ennemi, mais en l’occurrence ça me semble approprié pour ça.
Pour moi c'est pareil, l'abstinence à plus tendance à accroître mon désir qu'à le minimiser . Le sexe est un besoin physique, il doit être comblé comme un autre mais lorsque l'on a vécu des trauma c'est difficile d'en avoir envie... on lutte contre sa propre nature j'ai l'impression. En plus même quand je pratique, j'arrive pas à être comblée.. trop blasant. Je suis désolée de parler de ma vie comme ça, ça fait du bien de pouvoir parler de ça, c'est chouette. Pardon aussi au fait, je sais pas faire les "SPOILER" -.-'Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
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Le nom est inconnu mais la chose est vraiment mal vue, mon ex me traitait tout le temps de "nymphomane", je subis souvent du mépris...Très bon article effectivement sur ce syndrôme que je ne connaissais pas.
Je remarque d'ailleurs à quel point il est terrible de constater que beaucoup de gens connaissent le priapisme, le pendant masculin du SEGP, mais que presque personne ne connaisse le SEGP (sans compter tous les préjugés liés à cette méconnaissance et que les victimes se prennent de plein fouet).
Merci pour ta réponse!Si tu en ressens le besoin et si ça te pourrit la vie au quotidien, n'hésite évidemment pas à en parler avec un gynécologue ou un médecin en qui tu as confiance, en lui parlant du syndrome. Je doute qu'il ou elle aura beaucoup de réponses à t'apporter puisqu'il n'y a, comme l'indique l'article, pas de traitement vraiment efficace et que peu de médecins connaissent le syndrome, mais ça pourra au moins participer à le faire reconnaître !
Je te souhaite beaucoup de courage, et je suis ravie que cet article aie pu au moins te permettre de te rendre compte que tu n'es pas seule et qu'il y a une vraie explication à ce que tu vis
@NickyminajCe contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.