bluefairy;4388387 a dit :Quant à la polémique je trouve qu'on s'enflamme un peu vite est-ce qu'on va aller s'en prendre à tous les dresseurs de cinéma, cirques, conducteurs de calèches (si il y en a),clubs d'équitation, zoos et propriétaires d'animaux sous prétexte que leur place à tous est dans la nature? Tous les animaux sont à la base des animaux sauvages!
Les pubs adopte un mec avec des serpents on en parle non parce que peut être que le serpent a aussi une conscience et pas envie de se frotter à un corps huilé! allons lui demander son avis! "je suis un boa moi monsieur j'ai une image d'animal viril et badass je refuse d'onduler sur Bertrand! je ne travaille pas dans ces conditions! appelez mon agent on renégocie le contrat!"
Comparer çà à de l'esclavage ! il faudrait voir à pas comparer l'incomparable!
Ce n'est pas qu'un problème de "place". C'est aussi un problème éthique: retirer un animal non domestiqué comme un tigre, par exemple, de son milieu naturel pour l'utiliser... C'est pas très éthiquement recevable. Le placer derrière des grilles pour que des gens viennent le regarder, ça n'a quasi aucun intérêt.
Après, il y a d'autres problèmes, comme ceux que posent des conditions de vie qui sont la plupart du temps horribles. Certes, le dresseur en fait son métier, mais comment le fait-il, et dans quel but?
Je ne comprends pas trop l'ironie de ton message. Parce qu'un animal n'a pas le même langage q'un humain, il ne doit pas être compris? A ce moment-là, si on veut rire et qu'on ne veut pas lui demander son avis, qu'on n'en fasse rien. Bien que les animaux DOMESTIQUES soient traités comme des objets (même dans le code pénal), ça ne veut pas dire que ce sont des biens qu'on peut s'amuser à traiter n'importe comment. Alors encore moins avec des animaux non domestiques, bien qu'apprivoisés par je ne sais quelles méthodes.
Pour la comparaison avec l'esclavage, on parle tout de même de "propriété exploitable comme un bien matériel", et donc forcément, on parle aussi de supériorité... L'homme ne prouve rien en le faisant.