A toutes les femmes dont les compagnons refusent de prendre leur responsabilité dans la contraception, qui refuse la vasectomie ET les enfants, qui refusent d'arrêter le coït parce que "c'est trop bon"....
Pourquoi pas leur faire le coup du "chéri, je pense que j'ai du retard...."
Et faire durer le stress 2-3 jours
En général, je suis toujours pour la discussion, le dialogue, la pédagogie mais aux grands maux les grands remèdes, s'ils écoutent pas, autant les mettre face aux risques courus
Pour le cas du refus de la vasectomie, pourquoi ne pas dire "OK, très bien. Moi je refuse la pilule. On fait quoi du coup ?"
C'est difficile parce qu'on est conditionnées à gérer ce genre de question, mais il ne faut pas partir du principe que si l'autre refuse de prendre ses responsabilités, c'est à nous de le faire. Si eux peuvent se permettre de refuser un moyen de contraception, ben nous aussi. Et on a le droit de l'exprimer aussi platement qu'eux. Et puis on réfléchit à deux
En fait, ça me tue un peu cette contradiction chez les hommes entre le refus de gérer la contraception mais les plaintes sur le fait qu'ils n'auront pas le dernier mot concernant un éventuel avortement. J'en avais déjà parlé sur un autre sujet mais moi, j'ai déjà eu des potes qui m'ont exprimé leur peur de ne pas avoir leur mot à dire en cas de grossesse accidentelle et qui du coup parlent de ça avec leur compagnes, payent la moitié ds frais de contraception, rappelent à leurs copines de prendre la pilule, ajoutent au moyen de contraception de leur compagne le retrait ou le préservatif.
Je sais pas, ça me parait tellement logique comme attitude
Pourquoi pas leur faire le coup du "chéri, je pense que j'ai du retard...."

En général, je suis toujours pour la discussion, le dialogue, la pédagogie mais aux grands maux les grands remèdes, s'ils écoutent pas, autant les mettre face aux risques courus
Pour le cas du refus de la vasectomie, pourquoi ne pas dire "OK, très bien. Moi je refuse la pilule. On fait quoi du coup ?"
C'est difficile parce qu'on est conditionnées à gérer ce genre de question, mais il ne faut pas partir du principe que si l'autre refuse de prendre ses responsabilités, c'est à nous de le faire. Si eux peuvent se permettre de refuser un moyen de contraception, ben nous aussi. Et on a le droit de l'exprimer aussi platement qu'eux. Et puis on réfléchit à deux
En fait, ça me tue un peu cette contradiction chez les hommes entre le refus de gérer la contraception mais les plaintes sur le fait qu'ils n'auront pas le dernier mot concernant un éventuel avortement. J'en avais déjà parlé sur un autre sujet mais moi, j'ai déjà eu des potes qui m'ont exprimé leur peur de ne pas avoir leur mot à dire en cas de grossesse accidentelle et qui du coup parlent de ça avec leur compagnes, payent la moitié ds frais de contraception, rappelent à leurs copines de prendre la pilule, ajoutent au moyen de contraception de leur compagne le retrait ou le préservatif.
Je sais pas, ça me parait tellement logique comme attitude