J'ai jamais compris comment on pouvait porter des strings au quotidien. Payer pour avoir les sous-vêtements qui nous rentrent là où... enfin bref... non, vraiment, je pige pas

(bon, en vrai, je sais très bien qui en a qui aiment ça pour de bon et pas seulement pour faire plaisir à leur moitié, je trolle pour le plaisir là

)
Alors vive les culottes en coton anti-mycoses. Cela dit :
1) Désolée de vous casser le truc, chers journalistes du NYT, mais mon choix de sous-vêtement est purement dicté par le confort et la haine des mycoses sus-mentionnées. Je fais du combat féministe en causant avec les gens, en passant pour une grosse lourdingue et en me farcissant bravement les conversations qui fâchent avec Tonton Macho au repas de famille, pas juste en achetant des culottes !
2) Le prétendu "militantisme" à deux balles des vendeurs de petites culottes, on le voit venir à des kilomètres, les enfants... Moi aussi je peux faire passer ça pour du super combat féministe la prochaine fois que j'aurai un truc à vendre et un argument publicitaire à trouver. Les marques qui nous balancent du "empowering" à toutes les sauces pour nous vendre n'importe quoi, on commence à connaître. Va falloir trouver mieux.
3) Et si, par hasard, on rêve, hein... mais... et si on pouvait faire nos choix de sous-vêtements sans se coller une grosse étiquette "féministe" sur le derrière, ça ne serait pas bien ? Je suis féministe et fière de l'être, mais je n'ai pas besoin d'excuse pour porter les dessous que je veux.
Le confort de ma foufoune est la seule excuse dont j'ai besoin.