Voila mon premier texte que je publie, écrit aujourd'hui pour cause d'ennui, soyez indulgente :smile:
Il est 6 heures, et je erre toujours parmi les manèges. Il est 6h, et le soleil commence à me réchauffer. Ses rayons transpercent le malheur entourant cette fête foraine. La fameuse grande roue la domine comme toujours. Ce genre d?endroit est sensé représenter la joie pour la majorité des gens, jusqu?à hier j?en faisais partie.
Cette fameuse grande roue restera gravé dans mes souvenirs, à tout jamais.
Il était 21h, ma soirée avait bien commencé. J?avais rendez vous avec eux, j?étais heureuse, heureuse de les retrouver après ma longue absence.
Je me mis en route, j?étais déjà en retard. Je devais les rejoindre devant le stand de barbe à papa, symbole de ma gourmandise et de tant de bons moments.
J?apercevais maintenant la grande roue tournant lentement, comme le temps qui passe, ce long fils invisible qui nous lie tous.
J?étais à présent devant le stand, seule parmi eux. Je devais être heureuse pourtant de les revoir. Ce n?était plus le cas. Je me retrouvais complètement seule et pourtant je ne l?étais pas, physiquement du moins. Leurs discutions ne m?atteignaient plus. J?étais au milieu d?un grand brouhaha. Je ne pensais plus qu?a lui. Lui que personne ne connaissait plus parmi ce que je pensais être mes amis.
Je l?avais laissé il y a 6 mois, et aujourd?hui j?aurais aimé le retrouver. Je n?avais pas eu le courage de le contacter à mon retour. Ces 6 mois, loin de tout, loin de eux, m?ont changé à tout jamais. Je ne suis plus la même, et pourtant il m?attire irrémédiablement vers lui.
Un long cri qui me sorti de ma torpeur se fit entendre. Je regardais mon portable, il était déjà 23h00, l?heure du dernier tour de la roue, et ce jour là, la dernière heure de quelqu?un.
Je tentais de me rapprocher de la grande roue, vers laquelle tout le monde convergeait. Eux furent arrivés plus rapidement que moi. J?entendis Anne ma meilleure amie crier. Je ne comprenais pas. Xavier tenta de m?empêcher d?approcher, sans réussir. Ce n?était pas possible, ce ne pouvait pas être ça.
Lui qui était si fier, si solide, il avait sauter. Il est 23H30, la roue s?est arrêtée de tourner comme sa vie. Il a sauter la ou tout avait commencé. La où il m?avait annoncé qu?il m?aimait, mais la où funeste hasard j?avais appris mon départ il y a 8 mois que je lui avais annoncé aussi sec, la où il me quitta avant mon départ. Et lui, il avait décidé de mettre fin à sa vie à ce même endroit.
Je me mis à marcher, sans m?arrêter, sans penser, parmi les manèges, la grande roue veillant sur moi, alors qu'elle me l'avait pris.
Il est 6 heures, et je erre toujours parmi les manèges. Il est 6h, et le soleil commence à me réchauffer. Ses rayons transpercent le malheur entourant cette fête foraine. La fameuse grande roue la domine comme toujours. Ce genre d?endroit est sensé représenter la joie pour la majorité des gens, jusqu?à hier j?en faisais partie.
Cette fameuse grande roue restera gravé dans mes souvenirs, à tout jamais.
Il était 21h, ma soirée avait bien commencé. J?avais rendez vous avec eux, j?étais heureuse, heureuse de les retrouver après ma longue absence.
Je me mis en route, j?étais déjà en retard. Je devais les rejoindre devant le stand de barbe à papa, symbole de ma gourmandise et de tant de bons moments.
J?apercevais maintenant la grande roue tournant lentement, comme le temps qui passe, ce long fils invisible qui nous lie tous.
J?étais à présent devant le stand, seule parmi eux. Je devais être heureuse pourtant de les revoir. Ce n?était plus le cas. Je me retrouvais complètement seule et pourtant je ne l?étais pas, physiquement du moins. Leurs discutions ne m?atteignaient plus. J?étais au milieu d?un grand brouhaha. Je ne pensais plus qu?a lui. Lui que personne ne connaissait plus parmi ce que je pensais être mes amis.
Je l?avais laissé il y a 6 mois, et aujourd?hui j?aurais aimé le retrouver. Je n?avais pas eu le courage de le contacter à mon retour. Ces 6 mois, loin de tout, loin de eux, m?ont changé à tout jamais. Je ne suis plus la même, et pourtant il m?attire irrémédiablement vers lui.
Un long cri qui me sorti de ma torpeur se fit entendre. Je regardais mon portable, il était déjà 23h00, l?heure du dernier tour de la roue, et ce jour là, la dernière heure de quelqu?un.
Je tentais de me rapprocher de la grande roue, vers laquelle tout le monde convergeait. Eux furent arrivés plus rapidement que moi. J?entendis Anne ma meilleure amie crier. Je ne comprenais pas. Xavier tenta de m?empêcher d?approcher, sans réussir. Ce n?était pas possible, ce ne pouvait pas être ça.
Lui qui était si fier, si solide, il avait sauter. Il est 23H30, la roue s?est arrêtée de tourner comme sa vie. Il a sauter la ou tout avait commencé. La où il m?avait annoncé qu?il m?aimait, mais la où funeste hasard j?avais appris mon départ il y a 8 mois que je lui avais annoncé aussi sec, la où il me quitta avant mon départ. Et lui, il avait décidé de mettre fin à sa vie à ce même endroit.
Je me mis à marcher, sans m?arrêter, sans penser, parmi les manèges, la grande roue veillant sur moi, alors qu'elle me l'avait pris.