@Anna Stesia Ah d'accord, j'avais pas vu ça comme ça en effet.
Évidemment c'est une condition absolue que de garder le droit à l'ivg dans tous les cas.
Par contre, je sais aussi qu'il y a des femmes qui sont contre le partage des responsabilités. J'ai pu parfois entendre certaines femmes dire qu'elles étaient contre le partage des responsabilités car elles considéraient que la contraception était un domaine féminin qui ne concernait pas les hommes, elles avaient l'impression aussi que ça leur retirait une possibilité d'avoir des enfants si les hommes pouvaient mieux contrôler leur fécondité. Certaines de ces femmes avaient d'ailleurs l'image de l'homme immature qu' "il faut absolument forcer pour qu'il accepte sa paternité une fois devant le fait accompli" (carrément...). D'autres avaient peur que des hommes prennent des contraceptifs "en douce" en leur faisant croire qu'ils voudraient des enfants.
Pour ma part, même si je peux comprendre la peur du dernier argument (qu'un homme mette une contraception en douce - même s'il ne faut pas rêver, la tendance est largement à ne pas en mettre, chez ces messieurs); je trouve ça assez grave de vouloir limiter les moyens de contraception alors qu'on en a un grand besoin, et surtout pour ces raisons-là, et j'avoue que c'est un discours qui m'a plutôt dégoutée et que je ne m'étais pas attendue à entendre de la part de femmes...
C'est pas déjà le cas, avec la cohorte de médecins et gynécos qui décident à notre place qu'il faut absolument la pilule même si on veut autre chose?
Évidemment c'est une condition absolue que de garder le droit à l'ivg dans tous les cas.
Par contre, je sais aussi qu'il y a des femmes qui sont contre le partage des responsabilités. J'ai pu parfois entendre certaines femmes dire qu'elles étaient contre le partage des responsabilités car elles considéraient que la contraception était un domaine féminin qui ne concernait pas les hommes, elles avaient l'impression aussi que ça leur retirait une possibilité d'avoir des enfants si les hommes pouvaient mieux contrôler leur fécondité. Certaines de ces femmes avaient d'ailleurs l'image de l'homme immature qu' "il faut absolument forcer pour qu'il accepte sa paternité une fois devant le fait accompli" (carrément...). D'autres avaient peur que des hommes prennent des contraceptifs "en douce" en leur faisant croire qu'ils voudraient des enfants.
Pour ma part, même si je peux comprendre la peur du dernier argument (qu'un homme mette une contraception en douce - même s'il ne faut pas rêver, la tendance est largement à ne pas en mettre, chez ces messieurs); je trouve ça assez grave de vouloir limiter les moyens de contraception alors qu'on en a un grand besoin, et surtout pour ces raisons-là, et j'avoue que c'est un discours qui m'a plutôt dégoutée et que je ne m'étais pas attendue à entendre de la part de femmes...
le partage de responsabilités que nous réclamons ne se transforme pas en contrôle de nos moyens de contraception.
C'est pas déjà le cas, avec la cohorte de médecins et gynécos qui décident à notre place qu'il faut absolument la pilule même si on veut autre chose?