Arrête moi si tu peux, parce qu'en ce moment je me mate tous les films de Leo DiCaprio 
Il est pas mal, mais j'ai vu mieux ma foi, je l'ai trouvé un peu long.
Il est pas mal, mais j'ai vu mieux ma foi, je l'ai trouvé un peu long.
Le dernier film que vous avez vu à la maison
- Initiateur de la discussion Creamm
- Date de début
Hier soir j'ai regardé Rapt avec mon chéri. Le film où Yvan Atal se fait enlever. On a vraiment beaucoup aimé. Yvan Atal est juste époustouflant ! Je vous le conseille les filles.
Les trois films que j'ai vus la semaine dernière (attention, gros spoilers inside, ne pas lire si vous voulez conserver certaines intrigues):
The Virgin Suicides: Bon, mon avis reste mitigé à propos de ce film. Selon les critiques, il était vu comme un chef d'oeuvre, un classique, à voir forcément. J'ai donc décidé de voir ce que ça donnait, et là, petit blocage... Je trouve la manière dont le film à été filmé absolument superbe, les tenues et le décor sublimes, mais pour ce qui est de l'histoire en elle même, soit certaines choses m'échappent, soit je n'ai absolument pas réussi à cerner les personnages, mais en tous cas, un truc m'a perturbée. J'ai apprécié la première partie du film, mais à partir de la déscolarisation des filles, un peu moins. La fin m'a déçue sur le coup, avec le recul je me dis qu'elle n'était finalment pas si mauvaise. Mais je ne sais pas pourquoi, ce film me laisse quand même perplexe, et je n'arrive pas à dire qu'il m'a vraiment plu... Il reste vraiment intéressant malgré tout.
Little Miss Sunshine: Awesome. Je ne sais même pas par où commencer... Ce film m'a énormément plu, c'est vraiment un gros coup de coeur, et ça ne m'était pas arrivé depuis un bon moment parmi tous les films que j'ai pu voir depuis quelques mois. Il est à la fois drôle et touchant, sans tourner à la comédie un peu lourde ni au drame assomant, le juste milieu a été parfaitement trouvé pour en faire un film fantastique. Les passages d'actions sont hyper intenses aussi, on a l'impression de les vivre avec les personnages, comme par exemple le rush pour arriver à l'heure au concours, j'ai beaucoup aimé ce genre de moments, on stresse avec eux, on se demande si ils y seront vraiment à temps, on est limite là à crier "Mais plus vite, accélère!" (bon, c'est peut-être moi qui prend les films un petit peu trop à coeur, je vous l'accorde). Quoi qu'il en soit, c'est un film qui est prenant du début à la fin, j'ai tendance à décrocher assez facilement habituellement, mais là j'étais vraiment à fond de la première la dernière minute, c'était super captivant, pas de passages ennuyants qui s'éternisent. C'est aussi très intéréssant de voir l'évolution de cette famille grâce à ce concours de beauté: au départ, chacun avait des problèmes de son côté et ils communiquaient presque uniquement pour les choses essentielles, à la fin, ils repartent soudés et heureux... On assiste à ce changement tout au long du voyage vers la Californie, chacun à l'occasion de se confier et de voir qu'il est soutenu, c'est assez fascinant de voir ça, surtout l'histoire de Dwayne, qui ne parlait plus depuis presque un an et donc se refermait énormément sur lui-même qui, au fil du périple, se livre de plus en plus, jusqu'au choc qu'il reçoit à propos du fait qu'il soit daltonien qui lui permet de tout lâcher. Le décès du grand-père m'a aussi beaucoup touchée, même si c'était un personnage que je n'appréciais pas tellement au départ, sa mort aussi soudaine m'a peinée, d'autant plus que la veille il partageait un beau moment de complicité avec Olive, et que le lendemain il n'était plus là. Cela dit, cette tristesse ne plane pas très longtemps car ils trouvent rapidement un moyen de nous amuser à nouveau en essayant de l'emmener avec eux dans le van. C'est aussi une belle leçon sur la vie malgré tout, car les discussions entre Dwayne et Franck sur la souffrance de la vie sont très réelles aussi, ainsi que cette histoire de concours de beauté permanent, pour au final en venir à la conclusion qu'on se fout du regard des autres, et qu'il était inutile de laisser Olive être jugée par ce type de personnes. La fin est juste géniale, tout le monde finit par se lâcher sur la scène, j'ai adoré ce moment, ainsi que celui où, morts de rire, ils partent en cassant la barrirère, laissant la bonne femme du concours bouche bée à côté. Côté acteurs, ils ont été merveilleusement bien choisis, chacun joue extrêmement bien. Abigail Breslin, du haut de ses 11 ans, interprète parfaitement son rôle, et j'ai eu un gros coup de coeur pour Steve Carell notemment, le personnage de l'homme un peu torturé qui est quand même toujours là pour les autres m'a vraiment plu. En résumé, c'est un film superbe qui vous laisse un petit sourire béat sur le visage pendant une heure trente que je ne peux que recommander à tous!
500 Days Of Summer: Arg... non, vraiment, non. Grosse décéption, j'avais lu pas mal d'avis positifs, vu des screens tous mignons tous joyeux sur Tumblr qui dépassaient tous facilement les 1000 notes, je me suis dit que je partais avec un bon film drôle et romantique d'avance... Erreur. Les avancées et retours nonsense m'ont vraiment tapé sur le système, de 35 jours on passe à 238 pour revenir à 47... Ahem non. Le film en lui-même est long, traînant, ennuyeux, j'ai très vite décroché... Ca m'arrive rarement d'avoir envie de couper un film en plein milieu pour ce genre de raisons mais pour celui-là ça m'est arrivé plusieurs fois en à peine o1:30... Bon je n'aime pas arrêter un film sans l'avoir terminé, on sait jamais qu'une bonne surprise relève le tout hein, donc je l'ai regardé jusqu'à la fin. Il a mis de plus en plus de temps à avancer, tout stagnait, c'était vraiment désagréable... Le personnage de Summer m'agaçait au plus haut point aussi: très bien, dès le départ, elle est réglo et lui dit qu'elle ne veut rien de sérieux. Mais à partir du moment où ils passent leur temps ensemble, qu'ils s'embrassent (et plus si affinités), qu'ils agissent comme ils le font alors oui, ils sont un couple, alors le coup du "On est juste amis" m'a doucement fait rire... Visuellement parlant, lorsqu'elle l'invite à sa fête, le double plan "reality" et "expectations" m'a définitivement donné mal à la tête, devoirs suivre sur les deux tableaux m'a beaucoup dérangée, d'autant plus que pendant tout le fim on nous fait tourner en rond et attendre des lustres entre chaque action importante, et là on nous fout deux points de vue en même temps... Soit ils vont trop lentement, soit trop vite, il aurait fallu trouver un juste milieu. Enfin bon, quelques passages amusants et mignons ont quand même permis d'apporter une touche drôle et divertissante au film, et j'ai été contente de pouvoir y retrouver Chloe Moretz que j'avais beaucoup appréciée dans Kick Ass, ainsi que Matthew Gray Gubler, son personnage m'a beaucoup plu d'ailleurs, tout comme celui de McKenzie. Pour finir, la petite scène finale avec le jeu de mots sur le prénom de sa nouvelle rencontre et le début du décompte de l'Automne m'a fait sourire, j'ai trouvé ça sympa pour clôturer l'affaire Summer, du coup. Donc voilà, en clair je n'ai pas accroché, j'ai trouvé le film beaucoup trop trainant, c'est ce qui est le plus dommage. Sinon, rien à redire sur le jeu des acteurs!
The Virgin Suicides: Bon, mon avis reste mitigé à propos de ce film. Selon les critiques, il était vu comme un chef d'oeuvre, un classique, à voir forcément. J'ai donc décidé de voir ce que ça donnait, et là, petit blocage... Je trouve la manière dont le film à été filmé absolument superbe, les tenues et le décor sublimes, mais pour ce qui est de l'histoire en elle même, soit certaines choses m'échappent, soit je n'ai absolument pas réussi à cerner les personnages, mais en tous cas, un truc m'a perturbée. J'ai apprécié la première partie du film, mais à partir de la déscolarisation des filles, un peu moins. La fin m'a déçue sur le coup, avec le recul je me dis qu'elle n'était finalment pas si mauvaise. Mais je ne sais pas pourquoi, ce film me laisse quand même perplexe, et je n'arrive pas à dire qu'il m'a vraiment plu... Il reste vraiment intéressant malgré tout.
Little Miss Sunshine: Awesome. Je ne sais même pas par où commencer... Ce film m'a énormément plu, c'est vraiment un gros coup de coeur, et ça ne m'était pas arrivé depuis un bon moment parmi tous les films que j'ai pu voir depuis quelques mois. Il est à la fois drôle et touchant, sans tourner à la comédie un peu lourde ni au drame assomant, le juste milieu a été parfaitement trouvé pour en faire un film fantastique. Les passages d'actions sont hyper intenses aussi, on a l'impression de les vivre avec les personnages, comme par exemple le rush pour arriver à l'heure au concours, j'ai beaucoup aimé ce genre de moments, on stresse avec eux, on se demande si ils y seront vraiment à temps, on est limite là à crier "Mais plus vite, accélère!" (bon, c'est peut-être moi qui prend les films un petit peu trop à coeur, je vous l'accorde). Quoi qu'il en soit, c'est un film qui est prenant du début à la fin, j'ai tendance à décrocher assez facilement habituellement, mais là j'étais vraiment à fond de la première la dernière minute, c'était super captivant, pas de passages ennuyants qui s'éternisent. C'est aussi très intéréssant de voir l'évolution de cette famille grâce à ce concours de beauté: au départ, chacun avait des problèmes de son côté et ils communiquaient presque uniquement pour les choses essentielles, à la fin, ils repartent soudés et heureux... On assiste à ce changement tout au long du voyage vers la Californie, chacun à l'occasion de se confier et de voir qu'il est soutenu, c'est assez fascinant de voir ça, surtout l'histoire de Dwayne, qui ne parlait plus depuis presque un an et donc se refermait énormément sur lui-même qui, au fil du périple, se livre de plus en plus, jusqu'au choc qu'il reçoit à propos du fait qu'il soit daltonien qui lui permet de tout lâcher. Le décès du grand-père m'a aussi beaucoup touchée, même si c'était un personnage que je n'appréciais pas tellement au départ, sa mort aussi soudaine m'a peinée, d'autant plus que la veille il partageait un beau moment de complicité avec Olive, et que le lendemain il n'était plus là. Cela dit, cette tristesse ne plane pas très longtemps car ils trouvent rapidement un moyen de nous amuser à nouveau en essayant de l'emmener avec eux dans le van. C'est aussi une belle leçon sur la vie malgré tout, car les discussions entre Dwayne et Franck sur la souffrance de la vie sont très réelles aussi, ainsi que cette histoire de concours de beauté permanent, pour au final en venir à la conclusion qu'on se fout du regard des autres, et qu'il était inutile de laisser Olive être jugée par ce type de personnes. La fin est juste géniale, tout le monde finit par se lâcher sur la scène, j'ai adoré ce moment, ainsi que celui où, morts de rire, ils partent en cassant la barrirère, laissant la bonne femme du concours bouche bée à côté. Côté acteurs, ils ont été merveilleusement bien choisis, chacun joue extrêmement bien. Abigail Breslin, du haut de ses 11 ans, interprète parfaitement son rôle, et j'ai eu un gros coup de coeur pour Steve Carell notemment, le personnage de l'homme un peu torturé qui est quand même toujours là pour les autres m'a vraiment plu. En résumé, c'est un film superbe qui vous laisse un petit sourire béat sur le visage pendant une heure trente que je ne peux que recommander à tous!
500 Days Of Summer: Arg... non, vraiment, non. Grosse décéption, j'avais lu pas mal d'avis positifs, vu des screens tous mignons tous joyeux sur Tumblr qui dépassaient tous facilement les 1000 notes, je me suis dit que je partais avec un bon film drôle et romantique d'avance... Erreur. Les avancées et retours nonsense m'ont vraiment tapé sur le système, de 35 jours on passe à 238 pour revenir à 47... Ahem non. Le film en lui-même est long, traînant, ennuyeux, j'ai très vite décroché... Ca m'arrive rarement d'avoir envie de couper un film en plein milieu pour ce genre de raisons mais pour celui-là ça m'est arrivé plusieurs fois en à peine o1:30... Bon je n'aime pas arrêter un film sans l'avoir terminé, on sait jamais qu'une bonne surprise relève le tout hein, donc je l'ai regardé jusqu'à la fin. Il a mis de plus en plus de temps à avancer, tout stagnait, c'était vraiment désagréable... Le personnage de Summer m'agaçait au plus haut point aussi: très bien, dès le départ, elle est réglo et lui dit qu'elle ne veut rien de sérieux. Mais à partir du moment où ils passent leur temps ensemble, qu'ils s'embrassent (et plus si affinités), qu'ils agissent comme ils le font alors oui, ils sont un couple, alors le coup du "On est juste amis" m'a doucement fait rire... Visuellement parlant, lorsqu'elle l'invite à sa fête, le double plan "reality" et "expectations" m'a définitivement donné mal à la tête, devoirs suivre sur les deux tableaux m'a beaucoup dérangée, d'autant plus que pendant tout le fim on nous fait tourner en rond et attendre des lustres entre chaque action importante, et là on nous fout deux points de vue en même temps... Soit ils vont trop lentement, soit trop vite, il aurait fallu trouver un juste milieu. Enfin bon, quelques passages amusants et mignons ont quand même permis d'apporter une touche drôle et divertissante au film, et j'ai été contente de pouvoir y retrouver Chloe Moretz que j'avais beaucoup appréciée dans Kick Ass, ainsi que Matthew Gray Gubler, son personnage m'a beaucoup plu d'ailleurs, tout comme celui de McKenzie. Pour finir, la petite scène finale avec le jeu de mots sur le prénom de sa nouvelle rencontre et le début du décompte de l'Automne m'a fait sourire, j'ai trouvé ça sympa pour clôturer l'affaire Summer, du coup. Donc voilà, en clair je n'ai pas accroché, j'ai trouvé le film beaucoup trop trainant, c'est ce qui est le plus dommage. Sinon, rien à redire sur le jeu des acteurs!
Juno : L'histoire d'une ado qui couche avec un pote a elle et qui tombe enceinte, c'est un peu bateau. Mais le persoonnage est vraiment attachant. D'ailleurs, ils le sont tous je trouve. La maniere d'être de Juno est simplement génial, j'ai bien ris, j'adore.
A
AnonymousUser
Guest
An Education.
Mis à part la fin qui m'a énormément déçue (dans le genre morale claire nette et précise, on ne fait pas mieux... Aucune nuance, rien de rien.) il se laisse regarder, on se prend au jeu, l'histoire d'amour est sympathique, l'ambiance du film aussi.. (j'ai rêvé d'être à Paris pour certaines scènes..)
S'il n'y avait pas eu la fin, ou s'il y avait eu plus de nuances, j'aurais sans doute adoré.
Mis à part la fin qui m'a énormément déçue (dans le genre morale claire nette et précise, on ne fait pas mieux... Aucune nuance, rien de rien.) il se laisse regarder, on se prend au jeu, l'histoire d'amour est sympathique, l'ambiance du film aussi.. (j'ai rêvé d'être à Paris pour certaines scènes..)
S'il n'y avait pas eu la fin, ou s'il y avait eu plus de nuances, j'aurais sans doute adoré.
J'ai vu Lars and the real girl (merveilleusement bien traduit en français par Une fiancée pas comme les autres...)
Ce film américain date de 2008, je ne suis même pas sure qu'il soit sorti au cinéma en France. Ça fait depuis son projet de tournage que j'espérais le voir. J'avais lu des critiques presses mitigées, mais moi j'ai beaucoup aimé. Pour faire vite, c'est l'histoire d'un type de 27 ans, Lars, seul, très seul, un peu dérangé, qui tombe amoureux d'une poupée gonflable.
C'est un très joli film qui traite en partie du mal-être de la solitude. Tout le long, j'étais partagée entre rire et gêne de le voir se comporter aussi "normalement" avec sa poupée. C'en est presque dérangeant parfois. On ne sait plus vraiment comment réagir. Rire, avoir pitié, se moquer. Personnellement, j'ai trouvé ce film d'une tristesse folle même si à la fin, l'espoir revient.
J'ai été émue, aux larmes même. Ce film m'a beaucoup touchée, je me suis vraiment attachée aux personnages et à Lars dans lequel je me suis pas mal reconnue sur certains points. C'est très étrange cette sensation d'ailleurs. Bref, tout ça est très personnel et très subjectif.
Tout ça pour dire que Lars and the real girl est un "drôle" de film, doux et touchant. Je n'ai pas tant été marqué par la réalisation en elle-même, assez commune à beaucoup de réalisateurs de films indé US (ce n'est pas une critique, juste un constat). Là, ce qui m'a plu c'est l'histoire, et son traitement, tout en pudeur et en délicatesse. Et puis l'interprétation aussi. Les acteurs sont vraiment bons, Emily Mortimer et Paul Schneider entre autre. Mais je me dois quand même de décerner la palme de mon amour à Ryan Gosling qui est vraiment parfait. C'est vraiment son interprétation qui m'a le plus touché. Il joue très bien le gars paumé, simplet, dérangé, et rongé par son mal intérieur, et ce sans en faire trop, sans tomber dans le ridicule ou la caricature, ce qui aurait pu être le cas en interprétant un personnage dérangé mentalement. Je trouve que ce rôle comporte pas mal de similitudes avec son personnage dans Half Nelson (autre film que j'adore soit dit en passant). En plus d'être un talentueux interprète musical, Ryan Gosling est un brillant acteur. Je me languis à chaque fois de découvrir ses nouveaux projets. Et même si tout ça n'a plus rien de cinématographique, ce mec me fait un effet dingue, et en plus il a l'air cool, intelligent et cultivé. Parfait, moi je vous le dis !
Et sinon je vous ai dit que j'aimais bien Ryan Gosling ?
Ce film américain date de 2008, je ne suis même pas sure qu'il soit sorti au cinéma en France. Ça fait depuis son projet de tournage que j'espérais le voir. J'avais lu des critiques presses mitigées, mais moi j'ai beaucoup aimé. Pour faire vite, c'est l'histoire d'un type de 27 ans, Lars, seul, très seul, un peu dérangé, qui tombe amoureux d'une poupée gonflable.
C'est un très joli film qui traite en partie du mal-être de la solitude. Tout le long, j'étais partagée entre rire et gêne de le voir se comporter aussi "normalement" avec sa poupée. C'en est presque dérangeant parfois. On ne sait plus vraiment comment réagir. Rire, avoir pitié, se moquer. Personnellement, j'ai trouvé ce film d'une tristesse folle même si à la fin, l'espoir revient.
J'ai été émue, aux larmes même. Ce film m'a beaucoup touchée, je me suis vraiment attachée aux personnages et à Lars dans lequel je me suis pas mal reconnue sur certains points. C'est très étrange cette sensation d'ailleurs. Bref, tout ça est très personnel et très subjectif.
Tout ça pour dire que Lars and the real girl est un "drôle" de film, doux et touchant. Je n'ai pas tant été marqué par la réalisation en elle-même, assez commune à beaucoup de réalisateurs de films indé US (ce n'est pas une critique, juste un constat). Là, ce qui m'a plu c'est l'histoire, et son traitement, tout en pudeur et en délicatesse. Et puis l'interprétation aussi. Les acteurs sont vraiment bons, Emily Mortimer et Paul Schneider entre autre. Mais je me dois quand même de décerner la palme de mon amour à Ryan Gosling qui est vraiment parfait. C'est vraiment son interprétation qui m'a le plus touché. Il joue très bien le gars paumé, simplet, dérangé, et rongé par son mal intérieur, et ce sans en faire trop, sans tomber dans le ridicule ou la caricature, ce qui aurait pu être le cas en interprétant un personnage dérangé mentalement. Je trouve que ce rôle comporte pas mal de similitudes avec son personnage dans Half Nelson (autre film que j'adore soit dit en passant). En plus d'être un talentueux interprète musical, Ryan Gosling est un brillant acteur. Je me languis à chaque fois de découvrir ses nouveaux projets. Et même si tout ça n'a plus rien de cinématographique, ce mec me fait un effet dingue, et en plus il a l'air cool, intelligent et cultivé. Parfait, moi je vous le dis !
Et sinon je vous ai dit que j'aimais bien Ryan Gosling ?
Un prophète : ça faisait pas mal de temps qu'il trainait sur mon disque dur, je me suis décidée à le regarder hier après midi. J'ai vraiment vraiment beaucoupé aimé. J'ai trouvé que la mise en scène était très sobre, tous les acteurs sont vraiment très bons.
Un très beau film sur l'univers carcéral (monde que je ne connais pas du tout) et qui pose des questions sans jamais prendre parti, sans jamais répondre.
Le film dure 2h30, je ne les ai pas vu passer !
Un seul petit soucis : j'ai trouvé la deuxième partie du film un peu décevante. Ca tourne trop autour de ce qu'il se passe à l'extérieur, ça devient un peu un film de truands comme les autres, mais finalement c'est logique, ça colle à l'évolution du personnage, mais j'ai "moins aimé".
Un très beau film sur l'univers carcéral (monde que je ne connais pas du tout) et qui pose des questions sans jamais prendre parti, sans jamais répondre.
Le film dure 2h30, je ne les ai pas vu passer !
Un seul petit soucis : j'ai trouvé la deuxième partie du film un peu décevante. Ca tourne trop autour de ce qu'il se passe à l'extérieur, ça devient un peu un film de truands comme les autres, mais finalement c'est logique, ça colle à l'évolution du personnage, mais j'ai "moins aimé".
J'en ai vu plusieurs :
- The Lovely Bones : Je l'avais vu au cinéma , et j'avais adoré . Stanley Tucci joue super bien son rôle , il est super flippant ..
- Slumdog Millionaire : J'ai beaucoup aimé , mais je suis un peu déçu qu'il soit si différent du livre . Ah oui et , je sais pas pourquoi , j'ai trouvé Dev Patel assez :
alors que dans Skins , il ne me fait ni chaud ni froid .
- Orgueil et Préjugés : Une seule chose à dire : Mr Darcy 
- Reviens-moi : Oui , encore un film avec Keira Knightley et encore un film avec Saoirse Ronan . J'ai beaucoup aimé , vivement que je lise le livre qui a inspiré le film !
Voilà =) !
- The Lovely Bones : Je l'avais vu au cinéma , et j'avais adoré . Stanley Tucci joue super bien son rôle , il est super flippant ..
- Slumdog Millionaire : J'ai beaucoup aimé , mais je suis un peu déçu qu'il soit si différent du livre . Ah oui et , je sais pas pourquoi , j'ai trouvé Dev Patel assez :
alors que dans Skins , il ne me fait ni chaud ni froid .- Orgueil et Préjugés : Une seule chose à dire : Mr Darcy
- Reviens-moi : Oui , encore un film avec Keira Knightley et encore un film avec Saoirse Ronan . J'ai beaucoup aimé , vivement que je lise le livre qui a inspiré le film !
Voilà =) !
Discussions similaires
