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Membre supprimé 364791
Guest
@Aesma
C'est moi qui serait condescendante? C'est difficile de savoir de qui tu parles étant donné que tu ne nommes personne.
Mon message n'avait en tout cas rien de condescendant, j'ai l'impression que tu t'enerves et je ne comprends pas pourquoi. Rien ne nous oblige à tomber d'accord et ce sont les désaccords qui font réfléchir plus à fond.
Les personnes qui ont peur d'être ennuyées peuvent ne pas donner d'ovocytes. Il y aura moins de dons, peut-être pour un temps limité, jusqu'à ce qu'on s'aperçoive que des catastrophes ne se produisent pas.
Je crois sincèrement que bien peu de donneuses se verront stalker ou ennuyées.
Par contre, l'envie de donner pour aider ne devrait pas peser dans la balance pour décider si les demandeurs devraient avoir accès à la filiation ou non.
"Le droit de choisir de rester anonyme prime à mon sens"
Les potentielles donneuses ont déjà la liberté de rester anonyme. Pour ça, il suffit de ne pas donner. Autrement dit, rien ne te force à briser ton anonymat.
Par contre, je trouve que la focalisation sur de potentielles relations sexuelles est limitative. Ce qui motive les demandeurs ne se limite pas à ça et rien ne dit d'ailleurs que c'est un des facteurs principaux de demande
Édit: la génétique a déjà un statut légal, legitime et encadré.. Il y a l'epigenetique pour les facteurs de maladie, le génie génétique pour tenter d'éviter des maladies graves et invalidantes (j'oubliais Monsanto ) et, quand il y a recherche de paternité exclusivement, la primauté du génétique pour forcer les pères à assumer. Je trouve ça plutôt bien mais ça n'a rien à voir avec le présent débat puisque le don de gamètes a un statut particulier traité par l'ethique, ce qui n'est pas le cas de la parentalité sans don.
C'est moi qui serait condescendante? C'est difficile de savoir de qui tu parles étant donné que tu ne nommes personne.
Mon message n'avait en tout cas rien de condescendant, j'ai l'impression que tu t'enerves et je ne comprends pas pourquoi. Rien ne nous oblige à tomber d'accord et ce sont les désaccords qui font réfléchir plus à fond.
Les personnes qui ont peur d'être ennuyées peuvent ne pas donner d'ovocytes. Il y aura moins de dons, peut-être pour un temps limité, jusqu'à ce qu'on s'aperçoive que des catastrophes ne se produisent pas.
Je crois sincèrement que bien peu de donneuses se verront stalker ou ennuyées.
Par contre, l'envie de donner pour aider ne devrait pas peser dans la balance pour décider si les demandeurs devraient avoir accès à la filiation ou non.
"Le droit de choisir de rester anonyme prime à mon sens"
Les potentielles donneuses ont déjà la liberté de rester anonyme. Pour ça, il suffit de ne pas donner. Autrement dit, rien ne te force à briser ton anonymat.
Par contre, je trouve que la focalisation sur de potentielles relations sexuelles est limitative. Ce qui motive les demandeurs ne se limite pas à ça et rien ne dit d'ailleurs que c'est un des facteurs principaux de demande
Édit: la génétique a déjà un statut légal, legitime et encadré.. Il y a l'epigenetique pour les facteurs de maladie, le génie génétique pour tenter d'éviter des maladies graves et invalidantes (j'oubliais Monsanto ) et, quand il y a recherche de paternité exclusivement, la primauté du génétique pour forcer les pères à assumer. Je trouve ça plutôt bien mais ça n'a rien à voir avec le présent débat puisque le don de gamètes a un statut particulier traité par l'ethique, ce qui n'est pas le cas de la parentalité sans don.
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