Datchoo;2513929 a dit :
C'est ce que l'on m'a déjà conseillé. SAUF QUE les cours se finissent à 22h et je dois faire 10-20min de métro (peu occupé) + 10 min à pied pour rentrer. C'est malin
.
Le jogging et les salopes
- Initiateur de la discussion Cécile on the road
- Date de début
C'est ce que l'on m'a déjà conseillé. SAUF QUE les cours se finissent à 22h et je dois faire 10-20min de métro (peu occupé) + 10 min à pied pour rentrer. C'est malin
.En même temps, dès lors qu'on est une fille on s'expose à des agressions quoi qu'on fasse.
Je ne dis pas que la violence est une affaire d'homme, simplement que statistiquement parlant, les agressions violentes et/ou sexuelles sont plus perpetrées par des hommes sur des femmes que l'inverse.
Est ce que c'est par ce que pendant des millénaires la femme à été considerée comme un "objet" dont l'homme disposait à plaisir? Est ce que ça a à voir avec la force musculaire plus faible dont nous disposons? Est ce que c'est les deux? Autre chose? Aucune idée.
Mais le fait est là, quand tu es une nana tu as cette espèce d'epée de Damoclès en permanence au dessus de la tête, celle qui te pousse à ne pas mettre tes écouteurs quand tu rentre de soirée, à passer un jean quand tu traverse un quartier chaud, à avoir dans ton sac une bombe lacrymo.
Non, ce n'est pas normal.
Oui, on devrait pouvoir circuler librement, partout, seule ou accompagnée, à poil ou en doudoune. Dans l'idée, on est d'accord.
Oui, il faudrait repousser la peur et "prendre d'assaut la rue". Oui, cesser de flipper, ce serait bien.
Sauf que tout ça c'est très beau en théorie, mais dans les faits on est pas dans un monde de Bisounours, et personellement je ne ferais pas passer mes idéaux devant ma securité personnelle.
En gros, si je me balades dans la Savane, j'emporterais pas des steacks saignants dans mon sac à dos et je brandirais plutôt un fusil...par ce que tout peu très bien se passer, mais je peux aussi croiser des lions. Et là, leur hurler que je repousse ma peur, j'aurais pas l'air con et je finirais en steack haché.
Donc pour moi, l'idée c'est fais ce que tu veux, mais prends tes précautions, merde!
(comme d'hab, je fais pas avancer le débat ^^)
Je ne dis pas que la violence est une affaire d'homme, simplement que statistiquement parlant, les agressions violentes et/ou sexuelles sont plus perpetrées par des hommes sur des femmes que l'inverse.
Est ce que c'est par ce que pendant des millénaires la femme à été considerée comme un "objet" dont l'homme disposait à plaisir? Est ce que ça a à voir avec la force musculaire plus faible dont nous disposons? Est ce que c'est les deux? Autre chose? Aucune idée.
Mais le fait est là, quand tu es une nana tu as cette espèce d'epée de Damoclès en permanence au dessus de la tête, celle qui te pousse à ne pas mettre tes écouteurs quand tu rentre de soirée, à passer un jean quand tu traverse un quartier chaud, à avoir dans ton sac une bombe lacrymo.
Non, ce n'est pas normal.
Oui, on devrait pouvoir circuler librement, partout, seule ou accompagnée, à poil ou en doudoune. Dans l'idée, on est d'accord.
Oui, il faudrait repousser la peur et "prendre d'assaut la rue". Oui, cesser de flipper, ce serait bien.
Sauf que tout ça c'est très beau en théorie, mais dans les faits on est pas dans un monde de Bisounours, et personellement je ne ferais pas passer mes idéaux devant ma securité personnelle.
En gros, si je me balades dans la Savane, j'emporterais pas des steacks saignants dans mon sac à dos et je brandirais plutôt un fusil...par ce que tout peu très bien se passer, mais je peux aussi croiser des lions. Et là, leur hurler que je repousse ma peur, j'aurais pas l'air con et je finirais en steack haché.
Donc pour moi, l'idée c'est fais ce que tu veux, mais prends tes précautions, merde!
(comme d'hab, je fais pas avancer le débat ^^)
b moi ge sui dakore, lé fille ki font du course de joggin ele st toujoure abiyet en moulent dc fo pa kel viendre se pleindre apres.
Non mais par contre, j'aime, ça me fait une excuse de plus pour pas bouger ma graisse et me lamenter devant mon miroir une tartine de Nutella à la main.
Non mais par contre, j'aime, ça me fait une excuse de plus pour pas bouger ma graisse et me lamenter devant mon miroir une tartine de Nutella à la main.
J'aimerais réagir à tout ce que j'ai lu dans les commentaires.
D'abord, je trouve ça assez extraordinaire de voir des avis sensés, argumentés même si je ne partage pas certains (c'est l'effet madmoizelle, sans doute
)
D'abord, je suis d'accord : la misogynie est surtout rapportable aux faits de viols plutôt qu'aux agressions des joggeuses. En ce qui concerne ces dernières, c'est surtout un petit mépris balancé bien où il faut, ce "bah, t'façons, à aller courir toute seule, tu cherches la merde".
Je suis d'accord sur le fait que des efforts sont faisables, comme je l'ai écrit dans l'article, je suis moi-même prête à faire des concessions, parce que justement, je suis consciente du risque. Mais est-ce qu'être conscient du risque et aller quand même courir seule est un appel à l'agression ?
C'est surtout ça, mon problème : que l'on culpabilise l'agressé, c'est comme donner une excuse à l'agresseur, et ça c'est impossible pour moi de le tolérer.
Je change mes itinéraires, qui me dit que j'ai moins de chances d'être agressée de cette manière ? Le risque accru si on court seul, ou dans un lieu désert, n'est pas incompatible avec le caractère aléatoire des agressions, je pense.
Voilà mon avis : je vis dans un village à la campagne, c'est désert la plupart du temps et à peu près partout. Dois-je arrêter d'aller courir ? Faire des kilomètres en voiture (que je n'ai pas) pour courir en ville, où je cours aussi un risque d'être agressée ?
Et si j'ai fait un parallèle avec la marche des salopes (mon petit point godwin à moi, si j'ai bien saisi ^^), c'est parce que pour moi, le mécanisme est le même : la victime est accusée d'avoir cherché son viol. Alors effectivement, elle est jugée différemment d'une joggeuse agressée, probablement bien plus durement. Mais le principe est le même, pour moi.
Quant au bien-fondé de l'article, Madmoizelle offre une tribune pour les sujets qui nous semblent importants, et j'avais envie d'aborder ce sujet. Je vous laisse seules juges de son intérêt pour vous, pour moi il en a.
Et la remarque sur le krav-maga, je note, je pense que ça fait partie des évolutions qui doivent suivre ce genre d'agressions.
D'abord, je trouve ça assez extraordinaire de voir des avis sensés, argumentés même si je ne partage pas certains (c'est l'effet madmoizelle, sans doute
)D'abord, je suis d'accord : la misogynie est surtout rapportable aux faits de viols plutôt qu'aux agressions des joggeuses. En ce qui concerne ces dernières, c'est surtout un petit mépris balancé bien où il faut, ce "bah, t'façons, à aller courir toute seule, tu cherches la merde".
Je suis d'accord sur le fait que des efforts sont faisables, comme je l'ai écrit dans l'article, je suis moi-même prête à faire des concessions, parce que justement, je suis consciente du risque. Mais est-ce qu'être conscient du risque et aller quand même courir seule est un appel à l'agression ?
C'est surtout ça, mon problème : que l'on culpabilise l'agressé, c'est comme donner une excuse à l'agresseur, et ça c'est impossible pour moi de le tolérer.
Je change mes itinéraires, qui me dit que j'ai moins de chances d'être agressée de cette manière ? Le risque accru si on court seul, ou dans un lieu désert, n'est pas incompatible avec le caractère aléatoire des agressions, je pense.
Voilà mon avis : je vis dans un village à la campagne, c'est désert la plupart du temps et à peu près partout. Dois-je arrêter d'aller courir ? Faire des kilomètres en voiture (que je n'ai pas) pour courir en ville, où je cours aussi un risque d'être agressée ?
Et si j'ai fait un parallèle avec la marche des salopes (mon petit point godwin à moi, si j'ai bien saisi ^^), c'est parce que pour moi, le mécanisme est le même : la victime est accusée d'avoir cherché son viol. Alors effectivement, elle est jugée différemment d'une joggeuse agressée, probablement bien plus durement. Mais le principe est le même, pour moi.
Quant au bien-fondé de l'article, Madmoizelle offre une tribune pour les sujets qui nous semblent importants, et j'avais envie d'aborder ce sujet. Je vous laisse seules juges de son intérêt pour vous, pour moi il en a.
Et la remarque sur le krav-maga, je note, je pense que ça fait partie des évolutions qui doivent suivre ce genre d'agressions.
De par le simple fait de partir faire du jogging en short, tu sais d'avance que tu va avoir des remarques lubriques. Je suis d'accord avec ce qui a été dit plus haut "merde, la rue appartient à tous le monde et on est dans un pays libre que je sache!" Alors non je ne vais pas mettre ce que je considère comme essentiel dans ma vie de côté jusque parce qu'au 21 eme siècle certains gars ne savent toujours pas se tenir (pas tous hein, on remarque quand même une nette amélioration).
Alors oui, certes, on est prévenues, il faut faire attention, pas trop tard, pas seule de préférence, ni dans des endroits glauques mais ça fait quand même ch*** d'avoir à prendre toutes ces précautions à cause de certains ou certaines fêlé(e)s de pas se sentir complètement libre.
Je change d'itinéraire à chaque fois et je ne cours pas les mêmes jours d'une semaine sur l'autre, ce qui donne l'impression d'être une vraie parano mais apparemment il faut ce qu'il faut et c'est bien navrant!
Alors oui, certes, on est prévenues, il faut faire attention, pas trop tard, pas seule de préférence, ni dans des endroits glauques mais ça fait quand même ch*** d'avoir à prendre toutes ces précautions à cause de certains ou certaines fêlé(e)s de pas se sentir complètement libre.
Je change d'itinéraire à chaque fois et je ne cours pas les mêmes jours d'une semaine sur l'autre, ce qui donne l'impression d'être une vraie parano mais apparemment il faut ce qu'il faut et c'est bien navrant!
Personnellement, plutôt que de m'empêcher de sortir de chez moi (ce qui est toujours contre-productif) j'ai simplement pris la décision de me battre dès que nécessaire, de ne pas hésiter, jamais, et je m'entraine à devenir aussi agressive que les autres, ce qui est moins difficile qu'il n'y parait.
Le souci avec notre éducation occidentale, c'est qu'on part souvent du principe que tout le monde est gentil, et donc même quand on doit se battre, on n'ose pas le faire. On le fait à couvert, chez soi, ou avec des mots. Il nous faut des situations extrêmes pour oser défendre nos vies. Alors fatalement, dans la vie quotidienne, on est des lavettes. Je dirai qu'on est environ 95% de lavettes. Les autres sont ceux qui ont compris que ça ne menait nul part ET qui ont eu le courage de réellement changer les choses, qu'ils usent de leur agressivité pour pourrir la vie des autres, ou dans un but plus positif, c'est un autre débat.
C'est bien beau d'apprendre un sport de combat, mais si on ose pas faire du mal aux autres quand ils nous provoquent, à quoi bon ? Je ne dis pas que "c'est la jungle" mais c'est quand même l'humanité, les humains SONT très violents, c'est un fait avéré (même les bonobos sont violents) alors ça me semble la moindre des choses que de m'adapter à mon espèce.
Je sais que ce comportement n'est pas du tout exemplaire, mais franchement, c'est le seul qui a marché pour moi jusqu'à présent. Avoir la force de se battre, et je dis bien se battre, pas se défendre, grosse nuance. Se défendre c'est d'abord laisser l'autre nous agresser, se battre, c'est être déterminé à ne jamais être agressé. Certain(e)s diront que c'est laisser pourrir son cœur, mais je ne suis pas d'accord : si je prétend aimer l'humanité, même avec tous ces défauts, alors j'aime aussi, et autant, mon propre corps et ma propre personne, et je dois veiller à ce qu'elle ai sa place dans le monde.
Le souci avec notre éducation occidentale, c'est qu'on part souvent du principe que tout le monde est gentil, et donc même quand on doit se battre, on n'ose pas le faire. On le fait à couvert, chez soi, ou avec des mots. Il nous faut des situations extrêmes pour oser défendre nos vies. Alors fatalement, dans la vie quotidienne, on est des lavettes. Je dirai qu'on est environ 95% de lavettes. Les autres sont ceux qui ont compris que ça ne menait nul part ET qui ont eu le courage de réellement changer les choses, qu'ils usent de leur agressivité pour pourrir la vie des autres, ou dans un but plus positif, c'est un autre débat.
C'est bien beau d'apprendre un sport de combat, mais si on ose pas faire du mal aux autres quand ils nous provoquent, à quoi bon ? Je ne dis pas que "c'est la jungle" mais c'est quand même l'humanité, les humains SONT très violents, c'est un fait avéré (même les bonobos sont violents) alors ça me semble la moindre des choses que de m'adapter à mon espèce.
Je sais que ce comportement n'est pas du tout exemplaire, mais franchement, c'est le seul qui a marché pour moi jusqu'à présent. Avoir la force de se battre, et je dis bien se battre, pas se défendre, grosse nuance. Se défendre c'est d'abord laisser l'autre nous agresser, se battre, c'est être déterminé à ne jamais être agressé. Certain(e)s diront que c'est laisser pourrir son cœur, mais je ne suis pas d'accord : si je prétend aimer l'humanité, même avec tous ces défauts, alors j'aime aussi, et autant, mon propre corps et ma propre personne, et je dois veiller à ce qu'elle ai sa place dans le monde.
Je ne comprends pas trop l'argument : le droit à l'espace public. Quel est le rapport ? C'est pas vraiment le sujet je trouve, on vit pas dans un pays ou des hommes t'empêchent d'être dans un certain lieu (ça existe quand même mais je parle globalement),on est pas en arabie saoudite. Je dis pas que je suis pas féministe mais j'ai du mal à comprendre celles qui pointr l'étendard du féminisme à chaque débat ou il y a la femme cimme variante. Je connais très bien la situation de la parité en france tout ca tout ca, j'évolue dans un milieu masculin, je connais, mais tout ca pour dire que le débat "joggeuse" pour moi n'est pas une question de mysoginie, c'est une question de sécurité. En sortant dans la rue, la femme est une victime potentielle, c'est comme ça, c'est un fait. Et même si on une femme indépendante, forte et fière, on court le risque de se faire agressée par un homme. Je me sens toute à fait égale aux hommes mais j'assume aussi le fait d'avoir plus de chance de le faire agresser dans la rue qu'un homme, de ne pas pouvoir me défendrz physiquement comme un homme contre un agresseur. Selon moi c'est juste la vie, la société et il faut faire avec, évaluer les risques à chaque situation donnée. Je dis pas qu'il faut arrêter de vivre, mais moi je préfère ne pas faire certaines choses plutôt que de me dire " je suis une femme forte, j'ai le droit à l'espace public comme tout le monde, je vais me balader en mini jupe à 3h du mat dans des rues désertes, parce que je suis une bête de meuf" et un soir me faire agresser. En résumé, je préfére me "plier" à la société et ne pas avoir certains comportements plutôt que de prendre le risque de subir un traumatisme. Bien sûr des fois, comme tout le monde je fais des trucs limites, mais après je me dus toujours que j'ai eu de la chance .. J'ai certains réflexes, en soirée surtout : je rentre pas avecdes inconnus, je vais pas prendre un dernier verre chez un inconnu, je rentre pas seule pr de longues distances, j'accepte pas un verre su j'ai pas vu le serveur me le servur etc... Des psychopates y'en a partout (hommes et femmes) et beaucoup plus qu'on ne le croit. Je trouve ça débilebde prendre des risques démesurés pour des pseudo principes féministes. On vit pas chez les bisounours et on est pas des super héros, pourquoi se mettre en danger ??? Après le danger c'est une question de percerption je le sais bien
Datchoo;2513929 a dit :
Ca m'énerve de lire ça... J'ai fait des arts martiaux étant plus jeune, je n'ai pas oublié comment faire les prises et j'ai une bonne condition physique et pourtant je me suis déjà faite agresser et non, tout le monde ne parvient pas à utiliser tous ses moyens avec l'effet de surprise, la peur ou la menace.
Enfin je pense qu'il faut se retrouver dans ce genre de situations pour vraiment ressentir ce qui se passe dans ta tête à ce moment-là. Personnellement je suis une grande gueule mais j'avais les jambes en coton et même si j'avais eu de quoi me défendre, je sais pas si j'aurais osé faire des mouvements brusques.
Pour moi le débat c'est pas forcément comment devenir une femme invincible. C'est juste dingue de pas pouvoir faire ce que l'on aime par peur systématique de se faire agresser.
Après on est toutes différentes et certainement que d'autres auraient été plus téméraires...
(pour la petite histoire ça s'est bien terminé car quelqu'un est intervenu)
atinata;2515290 a dit :J'ai oublié une question que je voulais poser: Pourquoi aller faire du jogging à 5h du mat' ? C'est une vraie question hein, parce que l'été dans les régions où il fait chaud je peux comprendre, mais sinon ?
Y a pas grand chose de plus revigorant que de profiter du lever du soleil
Enfin c'est mon avis perso, mais quand je vais me balader vers ces heures là, c'est pour avoir le privilège de regarder ma ville s'éveiller, et c'est toujours une expérience très vivifiante. Ça donne une sacré pêche... ça vaut bien trois ou quatre séances de ciné
mary_sloane;2515304 a dit :
Comme quoi, plutôt qu'une question de genre/sexe, c'est avant tout une question de personnalité. Moi dans la même situation j'ai sauté sur le type et je lui aurai volontiers défoncé le crane. Le seul problème c'est que je n'ose pas frapper, et ça c'est un défaut que je tache de corriger depuis, parce que c'est trop con d'avoir la niak et la force de répondre (et oui, maitriser sa peur et sa colère, c'est du boulot, je m'en rend compte quand je vois d'autres personnes en situation d'agression) et d'être trop poli pour frapper. Surtout qu'en plus la légitime défense permet justement de riposter à hauteur égale ("un coup de poing pour un coup de poing" on va dire
).choupette38;2514845 a dit :
Je suis exactement du même avis. Je refuse de me laisser guider par la peur en fait. Je refuse d'éviter certains endroits parce que je suis une femme et que les "hommes" qui y sont ne savent pas se tenir. On dira peut-être que je cherche mais j'estime que ce n'est pas à moi de dégager. Ce n'est pas à moi de plier. Je me suis faite agresser récemment et je n'ai absolument rien changé à mes habitudes pour autant car je refuse de raser les murs pour ça, je refuse d'éviter un certain endroit parce qu'un groupe de connards n'a rien d'autre à faire que d'emmerder le monde et je pense que si beaucoup de monde se mettait à arrêter de laisser ses droits par peur, on avancerait plus facilement et surtout plus rapidement.
atinata;2515290 a dit :J'ai oublié une question que je voulais poser: Pourquoi aller faire du jogging à 5h du mat' ? C'est une vraie question hein
Personnellement j'y allais très tôt car après j'avais cours (genre à 8h00 ou 9h00) et le temps que je prenne ma douche et tout, c'était l'heure idéale. Puis bon j'avais pas spécialement le temps en rentrant le soir donc voilà.
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