Les bêtises drôles que tu as dites/faites pendant ton enfance

[Cassyopée]

Moi j'ai deux grosses bêtises faites toutes les deux avec ma jumelle :

La première quand on était toute bébé. On arrivait à retirer nos couches toutes seules et un jour, pendant l'absence d'un adulte dans la pièce, on a décidé de refaire la déco à notre sauce.

La deuxième vers 3 ans, dans le jardin de notre grande tante. On a arraché la bonne majorité des fleurs de son jardin pour les mettre dans les branches des arbres. Pour l'anecdote, le même après-midi, ma sœur est descendue dans la cave et a allumé le tuyau d'arrosage qui a tourné tout seul dans la pièce.

On était pas en manque d'idées ^^

 

[ygrid le chat]

d'ailleurs je m'en suis rappelée d'une autre
du haut de mes 4/5 ans j'allais faire les courses avec ma tante pour les galettes des rois
et j'en avais vu une avec un ouronne BLEUE (gros détail)
les galettes étaient toutes dans des petits sacs en papier avec des ances, j'en prends une quand on passe devant, j'étais un peu à la traine. et je cours en balançant très allègrement mes petits bras
et ma tante s'est faite doublée par une galette sauvage roulant sur la tranche, galette qui a fini sa folle traversée du rayon au niveau des caisses, j'avais tellement honte cette fois là par contre...

 

[Effervescence]

Je viens de me rappeler !
Je prenais mon bain avec ma petite sœur et pour Noël on avait eu des savons liquide bien épais. Un vert et l'autre rouge. Je lui ai mis du rouge sur le genou et j'ai crié qu'elle s'était blessée. Notre mère entre en panique dans la salle de bain, j'y montre le genou rouge et je me mets à rire. Maman a pas été contente.

 

[Elliot Jones]

J'ai tellement ri en lisant toutes vos histoires !! Pour ma part je faisais pas trop de bêtises, mais y a deux histoires qui ressortent assez souvent.

Quand je devais avoir à peu près 2 ans, je buvais les dosettes de sérum physiologique de mon frère (ce n'est que de l'eau salée après tout). Sauf qu'un jour il avait un autre traitement, et les dosettes se sont avérées être du collyre (je crois). Pas très grave non plus, mais j'ai quand même fini à l'hôpital, et comme c'est un excitant, apparemment je gueulais haha !

Une autre fois on faisait du camping avec mes parents et des amis, et pareil j'étais pas bien vieille, donc ma mère ne me lâchait pas du regard. Les gens autour lui disait de pas être aussi parano, sauf que dès qu'elle a eu le regard tourné, pouf, je suis partie. Ils m'ont retrouvé au bord de la piscine.. en train de regarder mon reflet dans l'eau x)

 

[Membre supprimé 226135]

Ou le mythe de Narcisse revisité.

 

[AprilMayJune]

Ma soeur et moi, à un noël, nous avions pris une assiette de bonbons et nous nous étions postées devant la porte d'entrée pour accueillir les invités.

Chaque invité arrivant chez nous avait droit à un bonbon, qu'on lui refilait avec insistance. Tiens, prends, prends, goûte, tu vas voir! Une fois qu'il iel ou elle l'avait mangé, on lui demandait s'il avait été bon - et, probablement par politesse on nous répondait oui.

Et nous avec un grand sourire, on les regardait en disant "Ils t'ont plu hein? Ils sont à la mousse de porc." On avait lu ça dans la liste des ingrédients. On trouvait ça particulièrement dégueulasse et cocasse comme idée, et on voulait faire partager notre amusement à tout le monde

(En vrai j'ai du faire des bêtises bien pire. mais mon cerveau en a soigneusement effacé presque tout souvenir. J'ai aussi repeint le mur du couloir - il était tout blanc et ma soeur et moi trouvions ça triste, alors on a fait une jolie fresque. Les parents on tout repeint, mais ils ont gardé un petit coin de la fresque, parce que c'était très joli quand même.

Et pour une anecdote beaucoup moins mignonne, je me souviens aussi être rentrée un jour énervée à la maison, et voir l'un de mes petits frères débarquer dans ma chambre et s'emparer d'un de mes chaussons en hurlant de rire avant de s'enfuir avec. Ni une ni deux, plutôt que de le courser, j'ai pris l'autre chausson, je le lui ai balancé en pleine tête, il s'est effondré par terre en pleurant, et moi j'ai récupéré mes chaussons et je suis partie dans ma chambre. Ma maman m'a grondée. )

 

[inspecteur_lapin]

Tout ça me faus penser aux Dingodossiers dans Pilote (oui, j'ai 85 ans )

 

[Edelweiss262]

Vous me faites trop rire!!

A mon tour! Alors cette histoire-ci, j'étais toute petite, trop pour m'en souvenir, mais ma mère me l'a racontée plusieurs fois: pendant que mon papy me gardait un jour, il m'a laissée jouer avec le téléphone de la maison. Quand il m'a entendue discuter, il est venu voir ce qu'il se passait, et il s'est avéré que j'avais (sans le savoir) appelé la police. Mon pauvre papy s'est bien fait gronder par un policier

Une autre, de mon petit frère (elle est un peu crade, sorry - et j'espère que ça compte comme une bêtise parce que c'était tellement la honte, qu'avec le recul, on en rigole bien)! Il a toujours eu l'estomac... sensible. Quand il avait plus ou moins quatre ans, toute la famille est allée à la piscine publique en plein air. Il a bu la tasse, ça l'a dégoûté, il a vomi dans l'eau. C'était la panique totale dans la piscine. Honte suprême.

Bon, une dernière rapide pour faire passer la précédente: quand j'étais petite, je refusais de dire "télécommande". Pour moi, c'était beaucoup plus logique de dire "télécommandante" (c'était la commandante en chef de la télé, quoi, normal ). Et je me fâchais quand on me corrigeait!

J'ai pleiiiin d'histoires qui me reviennent en mémoire, mais j'en reste là pour l'instant, vivement lire plus des vôtres, c'est trop drôle!

 

[april ludgate]

J'ai une histoire marquante, mais je ne sais pas si elle est drôle ou juste très flippante :

Je devais avoir 6 ou 7 ans et j'étais avec une amie dans ma chambre, qui se situait au 4ème étage. On avait réussi à ouvrir la fenêtre et on regardait un enfant qui jouait dans la cour en bas. Je ne sais pas pourquoi, on a décidé de lui lancer des trucs dessus : avion en papier, têtes de poupées.. Puis finalement billes, et "calots", "boulards" ( vous savez, les énormes billes ). Une voisine nous a aperçu et a vite appelé ma mère.
Je me suis pris l'engueulade de ma vie. Quand j'y repense j'ai encore la chair de poule, si on l'avait touché il serait sûrement mort.
( ouais ok, cette histoire n'est pas drôle du tout en fait )

Dans un registre plus léger, j'avais trouvé une super cachette pour mes déchets / aliments que je n'aimais pas : derrière le chauffage ( c'était durant l'été donc il restait éteint ). Au bout de quelques temps une odeur bizarre persistait dans la salle à manger, et ma mère a finit par trouver ma planque. J'ai nié et elle n'a jamais réussi à me faire avouer ( je suis fille unique, aucune crédibilité ).

 

[Pink Fluffy Unicorn]

Une bêtise récurrente d'enfance : mes cousines et moi, chez mes grands parents, on avait décrété qu'une construction en pierre plate, comme une table bien enfoncée dans le sol, ferait une bonne cheminée, parce qu'il y avait un trou à l'arrière.
Donc, pendant des années, entre mes... Disons 6 à 10 ans, on a essayé de faire du feu dans cette cheminée. On a commencée, comme des enfants, en frottant des bouts de bois (verts) l'un contre l'autre. Après, on a grandi. Donc on faisait des missions, on envoyait ma grande cousine piquer des allumettes en secret. Par contre, on a jamais réussi à faire du feu .
Sauf qu'un jour, lassées de ces échecs, on a décidé d'utiliser les grands moyens : déo + allumettes. Ce fut la dernière tentative en date, tellement qu'on a eu peur : ça a fait un jet de flammes énorme (logique).
Mention spéciale à la famille, au grand complet, qui n'a jamais rien remarqué.

Rajoutons aussi la fois où j'accompagnais ma cousine derrière la ferme de mes grands-parents pour fumer sa clope en cachette, et qu'elle a lancé sa clope dans la paille quand ma mère nous a surprise.
Je crois qu'on avait un problème avec le feu, maintenant que j'y repense


Bonus : mes pires caprices d'enfant.

Je n'aimais pas marcher. Pas du tout.
Une fois, j'ai décidé que je ne voulais plus marcher lors d'une balade sur une île. Donc j'ai arrêté de marcher. Je me suis assise et je ne marchais plus. Donc j'ai du me faire gronder, et j'ai fait le pire caprice du monde : j'ai braillé, crié, pleuré, hurlé, au point de faire honte à ma mère et à ma tante. Elles se sont pris des réflexions et des regards outrés apparemment, comme des mauvaises mères, des parents affreux. Alors que c'était juste un énorme caprice.
Une autre fois, je râlais, bougonnais, parce qu'on était en balade en forêt. Donc quelqu'un a sorti : " Mais regarde Lully [le chien], lui il marche bien ! " et moi de rétorquer, en larmes, énervée : " Oui mais lui, il a quatre pattes !!". Autant dire que le " Lui, il a quatre pattes ! " me poursuit encore.
Par contre, une autre fois, à 4 ans, je m'ennuyais chez ma grand-mère. Donc j'ai marché un kilomètre pour aller chez ma cousine, à pieds, de ma propre initiative, sans demander l'autorisation à personne (vu que je savais qu'on allait me dire non).
Et le meilleur pour la fin, qu'on me ressort encore : je faisais un caprice à ma mère, je chouinais - encore -, et elle m'a sorti " A trois, je te mets une fessée.". Sauf qu'elle m'a mis une fessée à deux, et du coup j'ai recommencé à chialer encore plus parce que " T'as pas dit trois !!!!! ".

 

[Lyili]

J'en aurai plein à raconter mais je crois que mon cerveau à oublié les moins inintéressantes

Quand j'étais petite, disons 9 ans, on avait un aquarium avec des poissons soleils qu'on avait péché et une fois mes parents et mon petit frère sont allés dans le jardin et m'ont laissé seule dans la maison. J'ai attrapé le poisson et je l'ai fait baigné successivement dans du lait, du coca et du whisky de papa (et surement dans un mélange ) (que j'avais versé dans le fond d'un verre hein pas dans la bouteille ) pour voir s'il survivrait vu que c'était des liquides, puis je l'ai remis dans l'aquarium. Autant vous dire qu'il est mort .


Autre truc vraiment affreux: une fois avec mon frère on a voulu faire une cabane et pour enfoncer les piquets pour faire les murs on avait pris un gros cailloux qui faisait office de marteau. Je maniais l'outils mon frère tenais le poteau mais il faisais pas comme il faut, du coup je lui est lâché la pierre sur la tête . Je peux en rire maintenant parce que ça ne lui a rien fait au final mais ça aurait pu être super grave... Je devais avoir 7 ans à peut près


Quand j'avais environ 7-8 ans à l'école j'avais des toilettes préférés, du coup quand j'étais seule je transvasé TOUT le papier des autres toilettes dans les miens pour ne jamais en manquer. Sauf que du coup il n'y en avait jamais dans les autres et qu'une dame qui faisait l'entretien avait fait une annonce à la cantine pour que la coupable se dénonce , j'ai pris un air outré en disant à mes camarades "Oh mais celle qui fais ça dis donc ça se fait pas hein", le mystère plane encore à ce jour mais après cette annonce j'ai arrêté de le faire .


Encore une histoire de toilettes, j'avais 6-7 ans et je demande à aller faire pipi pendant la classe, je vais me soulager (dans mes toilettes fétiches ), il me pris l'envie d'aller visiter les toilettes des garçons, parce que c'était l'inconnue et tout. Je fais 2 pas vers l'entrée (quel courage ), et la un garçon de ma classe arrive derrière moi et me demande ce que je faisais . Panique intérieur comment me justifier et la je lui sort "euh rien euh je récupéré ma barrette" et je suis repartie en courant dans la classe. J'étais tellement pleine de courage étant petite. Mais je crois que cette excuse à marché car mon nom n'avait pas était traîné dans la boue après l'incident .

J'ai tellement d'histoire en fait , mais ça vas certaines sont petite

 

[Pochemuchka-Lilou]

Oh mais comment j'ai pu oublier de vous raconter ça .

Avec mes soeurs et les autres gamins de ma rue, on s'ennuyait, la vie dans notre banlieue n'était pas des plus animées. Du coup on faisait nous-même l'animation. On habitait tous autour d'une place avec de l'herbe qui, bien qu'interdite aux chiens était toujours pleiiiine de crottes de chien.
Eh ben ne me demandez pas pourquoi, mais on ramassait celles qui avaient séché avec des bâtons, on les collectait d'une manière où d'une autre et, toujours au moyen d'un bâton, on les envoyait sur le balcon des gens de la rue d'-à côté. Je me souviens que, tapis derrière une haie, on en envoyait plusieurs sur un balcon. La propriétaire des lieux, au téléphone, sortait justement à ce moment-là sur son balcon, et je me rappelle avoir distinctement entendu en m'enfuyant "mais qu'est-ce que c'est que ces gamins qui me lancent des crottes ?"
La pauvre c'est quand même d'une violence inouïe (je précise qu'elle n'a rien pris, tout est arrivé sur les dalles de son balcon).
Et le plus fou c'est qu'à part ça on était des gamins hyper sages, pas du tout voyous, de bonne famille etc. Si jamais mes parents avaient eu vent de l'histoire, je crois qu'ils n'auraient pas soupçonné leur progéniture.