Les mères...

[Mealy]

Moi et ma mère nous faisons 3! Bien que je connaisse pas mon père moi et ma mère nous nous entendons à merveille! C'est elle qui a été là pour moi 15 jours après naissance = quand mon père nous a abandonner.
Mon père est vraiment un salaud! Je le déteste breffons là on parles de maman! Je l'adore, mes secrets repposent tous dans son cerveau. Nous aimons les même chansons, petites j'étais gâtée pour ma gentillesse. Bref je m'entends très bien avec elle!

 

[selenee]

Alors mon bonne chance avec ta mère devient encore plus sincère =). Moi, c'est mon copain qui me fait oublier tout ça ou plutot le fait que je vois notre vie ensemble plus tard un appart, une maison ensemble et plus personne pour dicter sa loi ... En attendant j'essaie toujours de lui montrer que je ne suis pas vulgaire avec mon percing à la lèvre et qu'avec mon copain c'est du sérieux vraiment ... Bref toute une histoire mais relativise ça dure pas toute une vie ou du moins on peut l'envoyer chier plus facilement si on ne vit plus avec. A moins qu'elle te fasse chier à distance ??

elle arrive à me faire chier à distance oui mais au moins c'est plus supportable, il suffit de lui raccrocher au nez :redface: mais je ne suis pas encore indépendante donc à chaque vacances ça recommence et là je peux te dire que j'ai jamais été aussi pressée de retourner en cours!

Comme toi, heureusemnt que mon copain est là, il m'aide à tenir (mais ma mère est pas au courant ce notre relation)

 

[AnonymousUser]

C'est la maman poule,elle ne cesse de me répéter des "je t'aime",des surnoms affectueux,des "qu'est-ce que je ferai sans toi?".C'est presque trop,surtout que j'ai un peu de mal avec tout ça,et plus ça va,moins je suis calin-bisous.C'est normal un peu,vu mon âge mais je sens que ça l'attriste.Elle m'a dit une fois,après avoir vu un reportage,"tu sais noux deux,on est pas si proches finalement".Ca m'a foutu un coup,mais elle a raison.Je ne partage pas tout avec elle,je garde mes distances,je l'appelle pas tous les jours dès que je suis loin.
Mais pourtant,j'adore lui raconter (presque) tout ce qui m'arrive,son avis est super important.Et on est très souvent d'accord,donc on est là à s'emporter ou s'enthousiasmer en coeur.C'est génial :] Elle me soutient quoi qu'il arrive,et on se confie pas mal toutes les deux.On rit beaucoup aussi.
Elle m'a appris l'élégance,la notion de l'argent (mais en limite obsessionnel),à prendre soin de moi,le goût du travail bien fait.Beaucoup de belles choses.

 

[Kirkja]

Quand j'étais petite, je trouvais ma mère trop sévère, toujours à me gronder. Maintenant, je me dis qu'elle n'a pas eu tort, car contrairement à mes petits camarades d'écoles qui avaient des mamans très "cools", je suis une des seules à ne pas avoir mal tourné. Mais je pense toujours qu'elle a été trop sévère sur certaines choses, notamment sur l'autonomie (elle ne m'a jamais laissée seule une journée à la maison, par exemple) et que j'ai été un peu surprotégée. Et elle s'énerve très rapidement aussi, c'est vraiment lassant. Après, j'entretiens une assez bonne relation avec elle, même si j'ai du mal à tout lui confier et qu'elle n'est pas vraiment tolérante, donc je ne dois surtout pas exprimer mes opinions ou mes points de vue, s'ils sont différents des siens.

 

[AnonymousUser]

Ma relation avec ma mère est très particulière. Nos avis divergent très (trop) souvent, et pourtant nous possédons toutes deux des caractères très semblables et très forts, marqués par le fait que chacune désire toujours avoir raison. Au quotidien c'est un peu dur à vivre car il s'agit vraiment d'un "fight" continuel, et les cris fusent souvent. Pourtant, au delà de ça, je sais que ma mère m'aime profondément et que son principal problème réside dans le fait qu'elle recherche le meilleur pour moi. Cette année a été très dure pour nous deux, car nous avons traversé ensemble de gros échecs (notamment le fait d'avoir été refusée in extremis par la grande école que j'aurai souhaitée), échecs qui lui ont littéralement pourris la santé.
En fait, j'ai une maman poule qui le montre peu, ou par attentions détournées. Ses gestes et termes affectifs sont rares, mais elle fait tout au quotidien pour nous avoir la meilleure existence possible, quitte à paraître trop sévère.

J'ai mis très longtemps à assimiler que ma mère me faisait vivre un quotidien difficile pour un meilleur avenir. Gamine, j'avais atrocement peur d'elle et des réactions qu'une faiblesse chez moi pouvait susciter, et j'ai dû attendre ces dernières années pour effectuer un travail sur moi afin de mieux la comprendre, elle. Actuellement, elle traverse une mauvaise phase mûe par l'idée des erreurs qu'elle a pu commettre dans mon éducation et celle de mon frère cadet, et c'est l'une des premières fois où je la vois fragile.

J'ai vraiment eu besoin de la voir mal pour comprendre que je l'aimais. Cela peut paraître très égoïste d'un oeil extérieur, mais j'ai su grâce à (ou à cause de ?) cela que ma mère était profondément humaine à l'intérieur, et que sa carapace n'était destinée qu'à nous protéger nous.

A croire qu'il fallait passer par là pour que nos relations s'améliorent...

 

[M.arinee]

Ma relation avec ma mère est comment dire..
Inexistante ? ​

Aucun souvenirs vraiment "heureux" avec elle, aucun souvenirs tout court..
Pas de souvenirs de calins, même petite, rien...
Il y a du surement en avoir mais je n'en garde aucun souvenirs..

A partir de 7/8 ans, j'ai commencé à avoir des relations uniquement conflictuelles avec elle.. Que des engueulades, ça fait bizare quand vos copines et leurs mères s'entendent à merveille et que vous et votre mère êtes toujours à vous engueulez..
J'ai jamais eu de complicité avec, pourtant parfois j'aurais aimé..

J'ai pas forcement été une enfant facile( avec elle ), mais en même temps je n'ai jamais eu envie, pourquoi faire ? De toute façon que je sois gentille ou pas, elle ne m'aimait pas..
Enfin, c'est ce que je me disais petite, maintenant je sais que ce n'est pas le cas et pourtant nos relations n'ont pas changé..
Même si c'est moins la guerre, ce n'est pas pour autant l'amour..

Nos opinions divergent sur tout, on ne rigole jamais ensemble, on ne se parle jamais ou presque..
C'est un peu dur parfois.. Pourtant je sais qu'elle fait le maximum et moi de même..
Mais elle ne s'en rend pas compte.. Enfin bon, c'est la vie.. Je n'ai pas jamais eu de relation mère/fille avec elle.. Il faut que je l'accepte de toute façon elle a toujours dis qu'elle ne veut pas qu'on soit "copines" mais bon.. En même temps j'arrive pas à lui parler.. Donc, comment lui expliquer comment je voudrait que cela soit..

GLOUPS, je crois que je raconte un peu trop ma vie.. :redface:​

 

[Búho]

Ma relation avec ma mère est comment dire..

Inexistante ? ​

Aucun souvenirs vraiment "heureux" avec elle, aucun souvenirs tout court..
Pas de souvenirs de calins, même petite, rien...
Il y a du surement en avoir mais je n'en garde aucun souvenirs..

A partir de 7/8 ans, j'ai commencé à avoir des relations uniquement conflictuelles avec elle.. Que des engueulades, ça fait bizare quand vos copines et leurs mères s'entendent à merveille et que vous et votre mère êtes toujours à vous engueulez..
J'ai jamais eu de complicité avec, pourtant parfois j'aurais aimé..

J'ai pas forcement été une enfant facile( avec elle ), mais en même temps je n'ai jamais eu envie, pourquoi faire ? De toute façon que je sois gentille ou pas, elle ne m'aimait pas..
Enfin, c'est ce que je me disais petite, maintenant je sais que ce n'est pas le cas et pourtant nos relations n'ont pas changé..
Même si c'est moins la guerre, ce n'est pas pour autant l'amour..

Nos opinions divergent sur tout, on ne rigole jamais ensemble, on ne se parle jamais ou presque..
C'est un peu dur parfois.. Pourtant je sais qu'elle fait le maximum et moi de même..
Mais elle ne s'en rend pas compte.. Enfin bon, c'est la vie.. Je n'ai pas jamais eu de relation mère/fille avec elle.. Il faut que je l'accepte de toute façon elle a toujours dis qu'elle ne veut pas qu'on soit "copines" mais bon.. En même temps j'arrive pas à lui parler.. Donc, comment lui expliquer comment je voudrait que cela soit..

GLOUPS, je crois que je raconte un peu trop ma vie.. :redface:​

Alors là =o j'aurais pu ecrire exactement là-même chose, je vis totallement la même chose avec ma mère, rien d eplus à ajouter à part peut etre le fait que contrairement à ta maman, la mienne, je ne pense pas qu'elle fasse beaucoup d'efforts.

 

[har'sylva]

Je m'entends assez bien avec ma mère. On n'est pas super complice mais il y a des sujets sur lesquelles on partage les même points de vue et d'autres où c'est le contraire. En général, on a des avis divergents mais c'est pas pour autant qu'on arrive pas à se comprendre l'une et l'autre. Quand j'étais adolescente, je ne m'entendais pas vraiment avec elle. C'est peut-être à force de grandir et d'avoir acquéri un peu de maturité que je me suis rendu compte que ma mère compte beaucoup pour moi.

 

[Pois]

Je complète ma réponse précédente.

Je ne suis toujours pas complice avec elle, et je crois que ça ne changera jamais. C'est peut-être méchant ce que je vais dire, mais par moment, j'ai l'impression que ce n'est pas ma 'vraie' mère. J'entends par là qu'il n'y a rien qui nous rapproche, on est toutes les deux très différentes, et on fait les choses de notre côté.

Le problème, c'est qu'elle me couve trop. (Mon père aussi d'ailleurs, mais là n'est pas la question). Je ne peux pas sortir sans avoir tout un interrogatoire, où je vais, avec qui, combien de temps, et j'en passe. Alors, oui, c'est normal, mais c'est tout de même trop. Pareil pour les soirées, tout le monde me dit de profiter de ma vie de lycéenne, mais j'ai l'impression que mes parents font beaucoup de choses pour me la gâcher cette vie. J'ai quasiment pas le droit de sortir, ou alors je dois me débrouiller pour rentrer, ce qui fait est assez difficile à gérer parfois. Souvent aussi, je n'ai pas le droit de sortir, parce qu'ils jugent que l'endroit est, disons, pas fréquentable, alors qu'ils n'y sont jamais allé. Beaucoup de préjugés aussi, et ça me gonfle. Enfin, je pense que ça part d'un bon sentiment quand même, ils veulent me protéger, mais pas le meilleur moyen.
En gros, je serais contente quand je serais indépendante, même si la situation est vivable.

 

[AnonymousUser]

Ma mère et moi, on a une relation qui choque la plupart des gens. Nous sommes très proches et il n'y a quasiment pas de sujets tabous entre nous. Il nous arrive de nous engueuler et de nous dire des horreurs mais ce ne sont que des tensions passagères. Elle a toujours tout sacrifié pour moi et pour me protéger, elle a pas hésité à mettre le mec qui avait fourni ses spermatozoïdes pour contribuer à ma création dehors. Sans elle, je crois que j'aurai très mal tourné. Elle m'a toujours encouragé à sortir, à me bouger sans me surprotéger, elle m'a laissé faire mes conneries et me rendre compte de ce que j'avais fait sans jamais me juger. Ma mère m'est essentielle. Ma mère est géniale.

 

[Vaneloppe]

Je ne me rappelle pas vraiment des relations que j'ai eu avec ma mère étant plus jeune.
Mais je sais que de plus en plus, on devient complices, et si avant on était assez pudique l'une envers l'autre, nos sentiments commencent à se dévoiler. On s'entend vraiment bien, on rigole souvent, on chahute, on s'engueule des fois, mais c'est normal, et je lui parle assez fréquemment.

Une anecdote très récente qui m'a particulièrement touchée et qui me donne encore les larmes aux yeux. Durant ces vacances, je suis partie une semaine à Paris, en revenant chez moi, j'avais donc un gros coup de cafard qui me rendait quelque peu désagréable.
Elle est venue me voir dans ma chambre, en me demandant ce qui se passait, et je l'ai envoyée un peu sur les roses lui disant sèchement que c'était évident, que j'avais le cafard. Elle est repartie, me répondant seulement froidement "D'accord. C'est bon."
Calmée, je suis retournée la voir plus tard, pour lui poser une question sans grande importance, & à son tour, elle m'a répondu très sèchement. Vexée, je lui ai demandé ce qu'il y avait.
Elle s'est enervée & m'a dit "Je fais comme toi, j'envoie chier les gens. Non, mais tu crois que moi, ça ne me touche pas quand tu pars pendant une semaine à 500 km de moi? Tu crois que moi, je ne suis pas triste quand je vois que ça fait chier ma fille de rentrer à la maison? Mais ça tu t'en fous hein !" Et elle a fondu en pleurs.
Je m'en veux encore de l'avoir fait pleurer, mais ça m'a quand même beaucoup fait plaisir ce qu'elle m'a dit. Je l'ai prise dans mes bras en pleurant aussi, et on a rigolé en disant qu'on avait l'air idiotes toute les deux comme ça.

 

[Javotte-]

Ma relation avec ma mère est comment dire.. ​

Inexistante ? ​

+1.

J'ai toujours souffert de l'absence de ma mère. A l'âge où j'ai commencé à avoir vraiment besoin d'elle et de ses conseils, (vers 10 ans) elle s'est montré incompréhensive. Je n'ai jamais réussi à lui parler. Je me rappelle la fois où j'ai du lui annoncer que j'avais mes règles (à 12 ans), j'ai mis trois jours avant de réussir à lui dire, et quand elle l'a su elle m'a donné un paquet de serivettes hygiéniques sans rien m'exliquer, sans essayer de me rassurer, rien. Et moi-même ça me choquait parce que je me suis toujours dit qu'une mère avait était enfant, ado, qu'elle avait connu toutes ces étapes de la vie et que son rôle était entre autre de nous aider à affronter tout cela. Elle devait donc, d'après moi, me montrer comment faire, m'expliquer toutes ces petites choses qui changent quand on commence à devenir ado et qui nous inquiètent tant. Mais rien de tout ça. Rien. Tous les sujets ont toujours été tabous entre nous. J'ai souvent eu du mal à la considérer comme ma vraie mère, j'ai toujours trouvé qu'elle ne jouait pas son rôle. J'ai toujours rêvé d'une personne plus âgée avec qui je pourrais être complice. Mais rien de tout ça. Mes années collège sont passées, j'ai du me débrouiller toujours seule, je me suis alors renfermée sur moi-même et suis devenue très limitée socialement. A la maison il n'y avait aucune communication mis à part "Bonjour" et "Passe-moi le sel", alors je reproduisais ça dans ma vie quotidienne au collège, je n'allais jamais vers les gens, et ils me disaient que je parraissais froide.
Aujourd'hui les choses n'ont pas tellement changées. La seule chose qui ait changé c'est que j'ai pris du recul par rapport à ça, j'ai mûri, j'ai appris à me débrouiller seule, j'ai pris l'habitue de ne jamais rien raconter à ma mère, je me suis fait une raison, j'ai compris qu'elle s'en foutait de ma vie personnelle et qu'elle ne me poserai jamais de question par rapport à ça, les seuls sujets qui l'intéressent étant le lycée et mes devoirs. J'en souffre encore actuellement, j'envie les mères de mes amis, gentilles et souriantes, contrairement à la mienne qui reste froide et tirant la gueule, même quand je reçois des amis à la maison. Et tandis que les mères des autres les autorisent à sortir en se disant qu'à 17 ans on a envie de liberté, la mienne reste réticente à tout ce qui est "soirée", croit que je suis une fillle vierge et innocente, qui n'aura jamais idée d'aller en boite de nuit, jamais. Alors, même si ça me rend triste, j'en viens à lui mentir pour sortir, un peu par obligation, car je tiens à conserver un minimum de vie sociale. Je n'aime pas vraiment ma mère je crois. Je l'aime par défaut, par convention, parce qu'elle occupe le statut de mère. Pour conclure, ma mère ne m'a jamais vraiment aidée dans ma vie sociale, elle m'a même handicapée à ce sujet. La seule chose qu'elle aie pu faire pour moi c'est m'aider dans mes devoirs, mais ce n'est pas ce que je considérais de plus important. Je lui en veux et je lui en voudrais toujours un peu je pense. Au moins, l'avantage, c'est d'avoir vu comment il ne fallait pas se comporter avec ses enfants, et ça me servira quand je serai mère à mon tour. Maintenant je n'attends qu'une chose: ma majorité. Un an.