L'article est nul, même si je l'ai pris pour de l'humour de suite, je trouve maladroit de pondre ça en ces temps où le travail manque et où la jeunesse galère pour bosser. Ce qu'ils n'ont pas tellement connu eux "les vieux"...
Donc se permettre de caricaturer un jeune je-m'en-foutiste et d'en faire une généralité c'est moyen moyen. Mais bon, c'est leur humour on va dire
Donc se permettre de caricaturer un jeune je-m'en-foutiste et d'en faire une généralité c'est moyen moyen. Mais bon, c'est leur humour on va dire

C'est le passage qui m'a le plus énervé je crois car ancienne stagiaire et cliente régulière du pôle emploi depuis la fin de ce stage (en août dernier), c'est ce dont je souffre le plus en entretien aujourd'hui... de la différence qu'on fait entre fac et école, qui sous-entendrait que j'ai reçu un enseignement inférieur (en réalité dans la fac où j'étais, les professeurs et les matières enseignées sont les mêmes à l'université et dans l'école de commerce d'à côté), et que je n'ai aucune idée de comment fonctionne une entreprise... Alors même si la rédaction brandit l'humour pour se défendre... J'avoue être pleine de second degré mais là, non, ça sonne trop réel pour être drôle et ça me donne envie de faire manger la photocopieuse de son service à l'auteure, ainsi qu'au prétendu spécialiste qui apporte sa haute science.
Plus qu'un stagiaire ceci ou cela, pour moi il décrit une femme un peu blasée, un peu encrassée dans la routine, qui n'ose pas prendre d'initiatives ni discuter, et qui ne prend pas l'occasion de recevoir un stagiaire pour s'ouvrir un peu au monde, pour regarder son travail avec des yeux neufs. Bref, j'ai trouvé que la pire caricature était l'auteure elle-même. Je veux dire, sa vie a l'air plutôt triste non? Elle a l'air de vachement s'emmerder ! Moi j'aime carrément mieux être le stagiaire qui va bousculer des gens comme ça, ça leur fera pas de mal 
Non, désolée monsieur, j'ai beau avoir fait 5 ans à la fac et aucune école de commerce, mes collègues n'ont eu à se plaindre d'aucun retard ni d'aucune paresse ou insolence pendant mon stage !
Sans compter les dires de mes collègues de formations, où j'ai appris que dans certains lieux de stages, ils enchaînaient les stagiaires, ou bien ils les faisaient travailler pour Noël et/ou le jour de l'an ...