@Elliana
Tu as eu " de la chance" ( c'est fou d'en arriver à utiliser cette expression ) .
Pour me faire comprendre, je vais citer DSK, G. Tron... En fait, ce type d'attitude n'a rien à voir avec le milieu social ni avec les lieux non favorisés, contrairement à ce que voudrait nous faire croire une certaine politiquepuante et clairement racisted'actualité.
Par contre, ça peut donner une fausse sensation de sécurité si on marche dans les clichés.
Un homme en costume-cravate, de "bon" milieu et de "bonne éducation" peut s'avérer être un harceleur de première ( au mieux), en " toute innocence" ( je pense à ce monsieur de 70 ans, bourgeois qui s'ignore, à qui je n'ai pas réussi à faire comprendre que faire un clin d'oeil systématique aux caissières, uniquement à elles, n'était ni anodin, ni charmant ).
Mais bon, il paraît que je vois le mal partout...
Je crois qu'on s'arrête à certains quartiers et pour être honnête, à certains jeunes de banlieue parce que eux, on n'hésite pas à les mettre en accusation ( contrairement aux gens" bien de chez nous" ma bonne dame) mais vraiment, le harcèlement de rue ne s'arrête pas à Bercy.
ps: il me paraît évident qu'en général, les féministes connaissent pertinemment l'état des lieux, même si le FN déforme tout cela à des fins que nous connaissons malheureusement toutes.
je te rejoins complètement là dessus ! De passage à Paris la semaine dernière, je suis allée voir le quart de finale de l'euro dans un bar plein de monde et j'ai subi une tentative de tripotage de la part ... D'un quarantenaire qui avait l'air "bien sous tout rapport" et qui avait l'air de venir d'un milieu plutôt favorisé. J'ai justement l'impression que ces gens là se sentent un peu tout permis parce que justement ils ont le fric, une bonne situation, etc