Maman, Papa, je ne sais pas quoi faire l’année prochaine et lâchez-moi le slip

27 Juillet 2011
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LILLE
Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Maman, Papa, je ne sais pas quoi faire l’année prochaine et lâchez-moi le slip
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Dernière modification par un modérateur :
24 Mai 2016
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Je trouve que cette madz a bcp de courage parce que a sa place je serais paniquee. J ai pas trouve de voie "fixe" mais je sais dans quoi je veu etre : l art. Je voulzis etre comissaire priseur mais il faut une licence en haa (la ou je suis) ET droit (au secours). J ai fais bcp de creation donc je pense retourner la dedans si je plante mon semestre.
Mais cette madz devrait aller dans des salons. Les gens sont gentils et essaillent de t aider a t orienter
 
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Réactions : FLYxAWAY et yuyunaâ
17 Septembre 2008
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Paris
Ahah comment je me reconnais trop ! J'ai jamais été faite pour l'école et c'est en parlant de mon parcours scolaire à un pote que je m'en suis rendu compte (à 26 ans il est jamais trop tard hein).
J'étais en collège lycée privé où le bac pro est clairement la voix de la loose ( qui m'aurait pourtant beaucoup mieux convenue... Mais je crois que dans ma tête à cet âge ça aurait été un échec et pour mes parents aussi)
Donc je me suis trainée jusqu'au bac sans trop de douleur mais pas dans la facilité non plus. Puis je me suis lancée dans des études où au bout de la deuxième année j'ai décidé que je ne voulais plus faire ça. Un soir je l'ai annoncé en larme à mes parents qui, d'une autre génération où comme tu l'as dit le diplôme c'est le plus important, m'ont dit qu'il fallait que je continue puisque ma seule autre alternative c'était de voyager (ce que j'ai toujours voulu faire depuis que j'ai 10 ans en fait).
Résultat j'ai redoublé ma dernière année, j'ai eu mon diplôme dans le chaos, mes parents ont dépensé un fric monstre (école privée oblige) et jamais je ne ferais le métier pour lequel j'ai eu ce diplôme :facepalm: SU-PER
Donc je suis partie en voyage comme je l'avais prévu, j'ai fait pleins de truc différents et j'ai vécu plein d'aventures et je sais très bien qu'il est possible de faire un métier sans études ET être payé décemment.
Je ne veux pas recommencé d'étude parce que je trouve ça survalorisé, ça n'amène pas forcément à un métier, c'est souvent trop théorique (donc encore trois ans de perdu minimum si ça ne me plait pas) et puis je déteste être assise sur une chaise toute la journée. Voilà voilà.
Même si parfois j'ai une inquiétude quand je vois mes potes bossés un job 9/18 et que je me dis qu'il faudrait ptet que je rentre un peu plus dans le moule je sais au fond de moi que ce n'est pas pour moi. Donc je continue de tester, de travailler dans plein de milieux différents et ptet qu'un moment j'aurais un déclic qui sait ?
En attendant je suis heureuse de ce parcours atypique :coiffe:
 
17 Novembre 2017
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Lyon
A l'auteur de l'article : ce que je lis là ce n'est pas le discours d'une "petite conne jeune paumée" mais simplement celui de quelqu'un qui ne semble pas fait pour choisir une voie unique à suivre jusqu'à la fin de ces jours. Ce qui est en fait bcp plus courant qu'on ne le pense, et, malgré les jugements des gens, c'est un fonctionnement tout à fait légitime !
Je tenais à commenter et à t'encourager parce que j'ai une amie qui a un parcours similaire : il s'est construit par morceaux (différents les uns des autres, sans forcément de "montée en grade" entre eux). Au début, je désapprouvais fortement intérieurement, même si je la soutenais (je voyais bien que ça lui convenait et qu'elle s'en sortait tjs). Quelques années plus tard, non seulement je l'approuve, mais je l'admire et le lui dis (les recruteurs n'étant pas tendres avec les gens qui ne sont pas "lisses" et formatés, je pense que c'est important de lui rappeler ce qu'elle a accompli, et de lui redire que ce sont des réussites).
De mon côté, on m'a aussi bien critiquée quand j'ai quitté un poste que j'adorais, en CDI, dans une boîte où j'étais bien, juste parce que je voulais faire une pause dans ma carrière et vivre autre chose. Et bien je n'ai jamais regretté, moi qui avant avait toujours peur de tout. Ça m'a bcp aidée, et ça m'a permis de choisir au lieu de subir ma vie ;)
Ce n'est pas parce qu'on a pas un projet ou un objectif de vie qu'on est paumé, nul... Quand on vous parle d'indécision, d'instabilité, d'immaturité... répondez accomplissements, réussites, choix ! :d
 
31 Décembre 2014
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Paris :)
Je l'aime!!!
Elle a tout résumé, elle a tout dit, tout ce que je pensais.
Les doutes, on peut en avoir, mais pas la peine de nous mettre la pression, de nous juger, de décider de ce que nous devons faire.
J'aimerais arrêter d'avoir peur comme elle...
 
19 Octobre 2011
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strasbourg
Ce n'est pas parce qu'on a pas un projet ou un objectif de vie qu'on est paumé, nul... Quand on vous parle d'indécision, d'instabilité, d'immaturité... répondez accomplissements, réussites, choix ! :d
merci :puppyeyes:

Se sentir paumée, avoir envie de faire des choses mais pas de trouver sa vocation... je me reconnais un peu dans cette lettre. Ce qui m'a beaucoup aidée ces derniers mois c'est de voir des films qui représentent des héroïnes comme nous :
Frances Ha, avec la fameuse Greta Gerwig
Jeune Femme, de Léonor Serraille
Si vous avez d'autres exemples de films, je suis preneuse :)
 
13 Février 2013
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Nantes
ça fait du bien de lire un témoignage dans lequel je me retrouve.
J'ai eu un diplôme de justesse parce que je ne me plaisait pas à 100% dans celui-ci; du coup je suis partie en Angleterre (où je suis encore actuellement) sans savoir quoi faire après.
Alors qu'au fond je cherche juste un endroit où je peux échanger, partager, m'enrichir de ces échanges et peut-être enrichir aussi les gens. Juste partager des valeurs. Et sans concours permanent, du "tout doit réussir, pas d'échec", et de jugements.
 

stl44

Tout cramer je vous dis
3 Février 2013
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Mais tellement merci. J'ai eu les larmes aux yeux en lisant cet article. Je me sentais anormale d'être comme ça. De ne pas savoir quoi faire, avec un père qui n'a aucune confiance en moi, et qui pour lui, chaque fois que j'arrête quelque chose qui ne me convient pas, ce sont des échecs ou des erreurs, alors que comme dirait ma soeur, "ça prouve surtout que t'es courageuse ! ". Je suis actuellement aux USA en tant que fille au pair, et j'ai décidé de rentrer dans moins d'un mois en France (car clairement, je m'ennuie comme un rat mort, avec une jeune de 12 ans totalement autonome et ce pays n'est clairement pas pour moi, et comme je suis le genre, à avoir besoin de faire dix milles choses, sinon je flippe..., ça ne me convient plus.) Je ne l'ai pas encore annoncé à mon père, car je sais que je vais encore le décevoir. Bon après je pourrais être présidente de la république que ce ne serait jamais assez pour lui... Et je me rends compte que ce qui me manquent par dessus tout ce sont des parents qui croient en moi. Après tout, je n'ai jamais été dans la rue car j'avais mal gérer mon truc. J'ai toujours réussi à me démerder, et je reprends des études en septembre. Je vis de plus en plus comme ça, à me dire, que je ne veux pas faire le même métier toute ma vie, et surtout que la vie est courte, et qu'on ira dans la tombe beaucoup trop tôt, et que je veux profiter et me sentir libre. J'ai l'impression qu'il y a véritablement un creux entre notre génération et celle de nos parents. Et qu'on arrive même pas à essayer de se comprendre. C'est ça le vrai drame.
 
17 Novembre 2017
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Lyon
@Erinnern Peut-être qu'on ne se trouvera jamais de vocation... :P Et c'est pas grave ;) J'ai enfin compris que je fonctionnais en mode "projet" : chaque année depuis mon début de "carrière" a été différente (études en alternance, puis nouvelles responsabilités, pause, changement de structure et de manière d'exercer...). Je reste dans mon métier parce que je l'aime, mais surtout parce que j'ai un objectif d'évolution précis d'ici un an et demi. Sans ça je me serais projetée dans autre chose. Et c'est d'ailleurs ce qui se passera si cet objectif ne peut pas être atteint.
En fait, avant je savais toujours où j'allais (ma vie était planifiée, un cauchemar) mais pas ce que voulais (en fait, on m'a pas vraiment appris que ce que je voulais avait de l'importance). Aujourd'hui je sais ce que je veux, et ça me permet de savoir où je vais à un terme correct. Après... ? et bien on verra !

Alors qu'au fond je cherche juste un endroit où je peux échanger, partager, m'enrichir de ces échanges et peut-être enrichir aussi les gens. Juste partager des valeurs. Et sans concours permanent, du "tout doit réussir, pas d'échec", et de jugements.

C'est tellement ça... ! Au point qu'ado, je voulais aller vivre en Irlande (c'était ma manière à moi de me sentir libre, changer de "contexte") et on m'en a empêchée, on m'a ridiculisée, dit que je pensais n'importe quoi du pays, que je me faisais des idées (SPOILER ALERT : c'est un milliard de fois mieux que dans mes rêves et j'y passe presque toutes mes vacances). J'ai longtemps souffert de ne pas l'avoir fait, et si aujourd'hui j'ai pu me réconcilier avec ça, j'encourage toutes les personnes qui veulent partir qque part à ne pas se laisser décourager. Tant que tu te sens bien en Angleterre, pourquoi culpabiliser ? ;) (je dis pas de pas envisager d'autres choses ou chercher ce qui pourrait te plaire, si tu le souhaites, mais ce n'est pas une obligation).
 
8 Février 2016
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Y aussi le fait que les parents payent ou non une partie des études influe pas mal sur les choix d’orientation.
A titre perso, je me demande sérieusement si je n'aurais pas mieux fait à 17 ans de refuser que mes parents payent mes études. Je me rend aujourd’hui bien compte que si j'ai poursuivi dans des voies qui m’enthousiasmaient moyen (avec des résultats moyens, qui plus est), où je branlais globalement pas grand chose; c'est quand même beaucoup car j'étais bloquée dans un raisonnement qui étais le leur:
"Bon okay, t'as pas eu les concours cette année, mais ça vaut le coup de les repasser non ? Qu'est-ce que tu vas faire sinon ?"
Spoiler: 1. Non, ça vaut pas le coup de les repasser, j'ai rien foutu pdt une année entière de prépa et j'ai pris 10 kilos, pour la simple et bonne raison que je ne crois pas une seconde à ma réussite à ces fameux concours et que si le métier au bout m'intéresse, c'est qd même plus pour la sécu de l'emploi que pour l'emploi lui-même
2. Il y a tellement de possibilités, à l'époque déjà je voulais désespérément partir à l’étranger mais toujours les mêmes réponses "Et qui c'est qui va payer, année de perdue, blablabla".
Résultat des courses, j'ai également loupé mes concours après une deuxième année de prépa.

Tout l'argent investi dans cet échec aurait pu par exemple financer un joli projet à l'étranger, où être investi autrement, mais bon, j'imagine qu'il m'a été plus bénéfique et instructif de me taper deux ans de déprime où je n'ai rien appris, ne me suis pas fait d'amis, ne suis ni sortie, ni n'ai voyagé.

Je me reconnais dans ce que tu dis. En seconde j'ai voulu entrer dans une grande école avec un concours très sélectif l'année du bac. A l'époque je le voulais vraiment j'avais prévu de bosser seule dans mon coin. Mon père et ma belle mère se sont investi de ouf dans ce projet et ont cru en moi, je les en remercie énormément, mais ils se sont après reflexion un peu "trop" investi. Ils m'ont proposé en seconde, avec les meilleurs intentions, de me payer une prépa en ligne pendant la première et la terminale que je ferais en plus du lycée. Au début je ne voulais pas qu'ils dépensent un fric monstre dans une prépa pour un concours que je n'étais absolument pas sûre de réussir, mais j'ai fini par accepter. J'étais motivée et j'ai bossé toute l'année de première, mais vers ma rentrée en terminale, quand j'ai du réfléchir à ce que je ferais si je n'ai pas le concours, j'ai commencé à douter de plus en plus de mon envie de faire cette école. J'avais trouvé un plan B (fac de droit) qui m'enthouisasmait plus que cette école. Je me suis demandée si je n'avais pas voulu faire cette école pour sa réputation d'études intéressantes son prestige et la sécurité de l'emploi qui va avec d'autant que mes parents étaient enthousiasmés à l'idée que je rentre dans cette école. Mais je ne me projetais pas dans les débouchés de cette école que je trouvais floues et abstraites et qui ne me permettaient pas d'avoir les possibilités que m'offre une fac de droit.

Donc aujourd'hui, je me retrouve en terminale à devoir bosser pour un concours que je ne veux pas passer et que j'espère louper pour aller en fac de droit, à n'être du coup pas motivée pour bosser cette prépa, me forcant à continuer parce que je suis extrêmement mal à l'aise avec l'argent que mon père et ma belle mère ont inversti dedans et que je ne me vois pas leur dire que je ne veux plus entrer dans cette école parce que pour moi ce serait comme leur dire "Coucou à cause de moi vous avez dépensé 1 800 balles pour rien.". Du coup je culpabilise de ne plus vouloir faire cette école, de leur mentir, de leur avoir fait dépenser cet argent, et de ne pas assez bosser cette prépa parce que je n'ai plus aucune motivation et que j'en viens à détester cette prépa et cette école. Je ne peux pas m'empêcher de souhaiter n'avoir jamais voulu rentrer dans cette école parce que ça m'aurait évité tout ce stress et toute cette culpabilité pour rien. En plus j'ai bien préparé mon projet B. Moi qui rêve de faire du droit et de vivre en Angleterre, je veux faire une licence de droit en France en faisant un petit job à mis temps pour mettre de côté, puis bosser une année à temps plein en France pour économiser puis partir en Angleterre économiser encore en travaillant un an et en me familiarisant avec la langue pour ensuite faire un master en droit là bas ce qui me permettra de trouver un emplois là bas. Tout ça pour dire que c'est construit et réfléchit comme projet et pas un coup de tête ou une fuite face à la dificulté de la prépa. La plupart de ma famille et de mes amis sont au courant mais pas mon père et ma belle-mère. Je ne sais pas quoi faire: Leur dire que je ne veux plus entrer dans cette école alors qu'ils ont tant investi dans ce projet et que je vais les décevoir, ou passer ce concours que je ne veux pas avoir, me forcer à bosser pour rien tout en ayant peur qu'ils se rendent compte que je n'ai pas foutu grand chose sur cette prépa si mes notes sont trop bases, tout ça pour ne pas les décevoir, pour ne pas qu'ils aient payé pour rien, mais surtout parce que j'ai peur de les affronter? Que feriez-vous à ma place?

Edit: En plus je me dit que si je leur dit je pourrais les rembourser l'année prochaîne au bout de quelque temps si je trouve un petit job régulier.
 
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Réactions : Neyane et FLYxAWAY
8 Février 2016
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@Cépamoi Merci de ta réponse :fleur:. Je vais réfléchir à ce que vais faire

Edit: Merci pour vos commentaire et merci Madmoizelle pour cet article. J'ai décidé d'écrire une lettre pour dire à mes parents que je me réoriente.
 
Dernière édition :
  • Big up !
Réactions : Phoenix Person
20 Mars 2017
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J'ai l'impression qu'il y a véritablement un creux entre notre génération et celle de nos parents.
Ce n’est pas tant une question de génération qu’une question de différence d’âge et donc de façon de voir la vie, et surtout de savoir qui va payer au final. Il me semble que dans tous vos exemples les parents sont réfractaires car ce sont eux qui paient les études (de plus en plus coûteuses car écoles souvent payantes et coût de la vie qui explose et de plus en plus longues) et ce sont eux qui vont devoir payer encore plus en cas d’échec, de réorientation, de pauses, d’années à l’étranger et donc de retard d’entrée dans le marché du travail. Si vous faites des études sans débouchés vous aurez plus de mal à trouver un premier poste, vous allez galérer au chômage (sans toucher le chômage d’ailleurs) et pendant ces années il y a de fortes chances que ce soit vos parents qui paient. Si ils étaient assurés de ne jamais rien devoir payer pour vous après votre bac, je suis d’avis qu’ils auraient l’esprit plus ouvert quant à vos choix d’orientation. C’est surtout pour eux-mêmes qu’ils sont inquiets. Du coup la solution serait de faire ses propres choix sans se laisser influencer par les parents, mais en contrepartie de s’assumer totalement financièrement.
 

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