Depuis quelques mois je suis végétarienne (voire végétalienne parfois), je mange quasi sans gluten (je ne suis pas allergique donc j'ai une marge tout de même), je fais partie d'une AMAP pour avoir des légumes bios (mais j'achetais déjà avant cela tous les fruits et légumes sur le marché du coin, uniquement au producteurs locaux en suivant les saisons), et de manière générale je fais tout moi-même pour éviter les ingrédients inutiles. Au maximum aussi je n'achète rien qui contient de l'huile de palme. Je pratique en plus au possible l'alimentation dissociée pour une meilleure assimilation des aliments (mais pas dans un but de régime amincissant, je mange de tous les aliments et je n'ai pas perdu de poids avec mon changement de régime).
Dis comme ça ça peut paraitre compliqué ou contraignant.Cela demande un peu d'adaptation au début, oui. Parfois bien sûr j'ai la flemme de cuisiner (mais comme je n'achète rien de fait, faut bien improviser tout de même). Cela demande un effort intellectuel au début, de déconstruction des habitudes et d'assimilation des combinaisons d'aliments. Et puis après, ça roule tout seul.
Au niveau du budget c'est gérable (je suis au RSA, donc non je n'ai pas de super moyens), mais il est vrai que bien me nourrir fait partie de mes priorités. Ce n'est pas sur ça que je fais l'impasse quand je n'ai plus d'argent.
Tout est question d'envie. Comme c'est un choix d'avoir le régime alimentaire que j'ai, je vis ça dans la joie et le sentiment d'être en accord avec moi-même. Je reste souple et je peux aller au restau si j'ai envie (et de l'argent, oui). Je n'ai pas de frustration vu qu'un autre mode d'alimentation ne me fait pas envie. Et vu que je me sens mieux dans mon corps et dans mon éthique. C'est ce qui compte. Etre en accord avec nos choix, dans ce qui nous est possible. A chacun son rythme, ses envies, ses préoccupations. Du moment qu'on respecte ce que chacun vit.
Dis comme ça ça peut paraitre compliqué ou contraignant.Cela demande un peu d'adaptation au début, oui. Parfois bien sûr j'ai la flemme de cuisiner (mais comme je n'achète rien de fait, faut bien improviser tout de même). Cela demande un effort intellectuel au début, de déconstruction des habitudes et d'assimilation des combinaisons d'aliments. Et puis après, ça roule tout seul.
Au niveau du budget c'est gérable (je suis au RSA, donc non je n'ai pas de super moyens), mais il est vrai que bien me nourrir fait partie de mes priorités. Ce n'est pas sur ça que je fais l'impasse quand je n'ai plus d'argent.
Tout est question d'envie. Comme c'est un choix d'avoir le régime alimentaire que j'ai, je vis ça dans la joie et le sentiment d'être en accord avec moi-même. Je reste souple et je peux aller au restau si j'ai envie (et de l'argent, oui). Je n'ai pas de frustration vu qu'un autre mode d'alimentation ne me fait pas envie. Et vu que je me sens mieux dans mon corps et dans mon éthique. C'est ce qui compte. Etre en accord avec nos choix, dans ce qui nous est possible. A chacun son rythme, ses envies, ses préoccupations. Du moment qu'on respecte ce que chacun vit.