@Ada or ardor : on se comprend ! Je me souviens quand j'était au collège/lycée c'était la grosse hype des photos de Anne Geddes qui ne prend que des bébés nus
Dans des décors cucul-chelou
Genre un bébé les fesses à l'air dans un panier... Un bébé les fesses à l'air dans un pot de fleurs... Avec un chapeau-tournesol... Toutes mes copines étaient fan ça me fait cauchemarder son travail
Dans le genre HS nudité aussi, en général on part du principe que dans les vestiaires, douches etc. c'est pas mixte, parce qu'on est gêné, avec derrière l'idée que le regard de l'autre peut être sexualisant car il est du sexe opposé. Soit. Et puis en fait non parce que je préfère dix fois me déshabiller devant une fille lesbienne ou bi que devant un mec gay. C'est clairement une question d'ambiance et de normes assez arbitraires : on m'a toujours dit que se changer avec les filles c'était "normal". Mais être nue devant un garçon hors contexte sexuel c'est "ultra chelou qu'est-ce que tu branles ma fille"(ou plutôt qui) (hihi) (pardon). Qui pourrait fantasmer sur mon cul ou pas dans l'histoire peu importe au final. Donc c'est pas une question de sexualisation. Qui plus est dans d'autres cultures on peut parfaitement être tous à poil, peut importe le genre, on s'en fout (et en France il ne faut pas se balader en soutif-culotte sauf si tu marches sur du sable devant de l'eau : sans déconner où est la logique).
T'façon les fringues (ou absence de) tu te rends compte que c'est débile dès lors que tu essaies d'expliquer ce qu'est une cravate et à quoi ça sert (les gens qui se moquent des saoudiens "entorchonnés" : ils se couvrent la tête car chez eux il fait méga chaud : tu as un nœud coulant en tissu autour du cou : et c'est lui qui est ridicule ? POURQUOI ?!).
Non mais t'as raison d'exprimer ton point de vue, à quoi ça sert de discuter si c'est pour faire semblant d'être d'accord ? Sur un forum en plus, au pire si finalement j'estime que tu es un rat d'égout, je t'ai jamais vue et je connais pas ton nom
(tu n'es pas un rat d'égout) (leurs pattes ne sont pas adaptées au clavier)
D'un côté je comprends ton point de vue. J'ai d'habitude plus de sympathie pour les artistes qui défient l'autorité que pour ladite autorité qui les réprime. Du coup, est-ce qu'on peut tout faire au nom de l'art ? Je ne pense pas (par exemple ces chanteurs de métal qui avaient la réputation de massacrer des animaux sur scène... Ce qui est une légende urbaine je crois... Ben ça avait choqué à juste titre, si ç'avait été vrai, ç'aurait été un pur scandale). Quelles sont mes limites ? Faut que j'y réfléchisse mais là on les atteint je pense. Faut-il respecter par défaut la limite des plus fragiles ? Autant que faire se peut, il me semble. Imagine le cas d'une personne violée par une femme qui ferait une crise d'angoisse devant l'artistique schneck de Mme de Robertis. Je pense qu'on devrait être du côté de la victime même si on apprécie secrètement la performance (et pourquoi pas, c'est pas encore interdit de penser).
Après, concrètement, elle va se prendre au pire une amende et une tape sur les doigts (je vois pas comment on pourrait la condamner à plus), et sans doute continuer. Donc, ben, dommage. Pas cool, Déborah.