ParcoursMessedUp, ou la difficulté de savoir ce qu’on veut à 18 ans

18 Mai 2014
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Redoublement de la 4ieme> 3ieme ; grosse hésitation entre le milieu de la bande dessinée et devenir actrice > Lycée pour un BT dessinateur maquettiste ( un diplome qui n'a plus aucune valeur; surtout hors de France) et dont j'arrête ma formation suite à une lourde dépression et envie de brûler l'école dont aucune personne ne se souciait des élèves les plus faibles psychologiquement> vente de tracte pendant près d'un mois où je finis par arrêter à cause des regards des autres très snobe et dur > devenue fille au pair en Belgique et allait en douce aux cours d'histoire/ archéologie d'une amie> travaillé à Disneyland> Première école en jeu vidéo; soldé par un échec alors que l'on a payé pres de 6500 dollard l'année > job de marde chez KFC > nouvelle formation artiste généraliste > enfin dernière formation au Canada specialisé jeu vidéo.
 
17 Janvier 2017
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Sartroutrou
@Esther : mini précision, je chipote, je viens de revoir le témoignage de Maelis, que j'avais lu à sa sortie, et elle a tenté des études d'histoires DE L'ART, et non pas d'histoire, qui sont deux disciplines distinctes. Les Madz historiennes ou historiennes de l'art savent bien que ce ne sont pas les mêmes méthodes ni les mêmes objets de recherche :hello:
 
Dernière édition :
24 Février 2011
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Vous avez du courage les madz pour vous réorienter comme ça ! J'ai toujours eu peur de "perdre des années" en redoublant/me réorientant. En gros, pour moi c'était impensable de ne pas être diplômée et avoir un boulot après 23/24 ans. Au final, j'ai eu un parcours vraiment très carré BAC S -> Prépa -> Ecole d'ingénieur... Mais ça ne veut pas dire que j'ai plusieurs fois pensé/eu envie de me réorienter... En prépa littéraire, en école de commerce... Et même au sein de l'école d'ingénieur, changer de filière... C'est un peu compliqué de choisir une voie quand tu sors du BAC alors que tu as envie de faire plein de choses différentes... Et se spécialiser dans une filière, ça revient souvent à négliger d'autres domaines qui t'ont intéressé en cours/en dehors des cours. Mais je suis heureuse dans ce que je fais quand même !

En tout cas, je trouve que c'est une belle force d'esprit d'avoir la force de se réorienter, d'écouter ses envies et d'admettre qu'on s'est peut-être trompé pendant un an ! :fleur:
 
26 Novembre 2013
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Paimpol
emmawasred.wordpress.com
Je rajoute à la conversation le parcours de mon copain, qui n’aurait jamais pu aller à la fac si la réforme de l’Université a lieu...

Décrochage scolaire au collège, réorienté en fin de 3e vers un CAP taille de pierre. Il finit par passer son bac pro sous la pression de ses parents. Bien lui en a pris car quelques années plus tard, il m’avoue qu’il n’en peut plus de son job et qu’il rêve de devenir prof... mais persuadé que son faible niveau scolaire l’en empêchera. Je le motive à fond, il entre en licence de breton (il avait pris des cours du soir quand il bossait) financée par Pole emploi. 4 ans plus tard, il vient de passer le concours d’instit bilingue et va valider son M1 MEEF ;-) comme quoi il ne faut jamais se désévaluer!
 
12 Décembre 2016
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Bon bon bon...

Version courte:
Bac L - L1 LM - L1 AJAC L2 LM - Perte de la bourse donc année sans accès à la fac - Maintien de bourse et réorientation en LLCE Portugais mineure histoire - Envisage de faire un master en Game Design à la fin de cette licence LLCE...

Désirant depuis le collège devenir professeur de français, je suis allée en baccalauréat littéraire. En première, ne me demandez pas pourquoi j'en sait rien, j'ai décidé que je voulais finalement être juge pour enfant, donc en terminale inscription en fac de droit, j'ai paniqué la veille du bac et ne sachant pas comment annuler cette demande APB, l'idiote que je suis a décidé de tout faire pour redoubler, donc j'ai raté mon bac.

Inscription en L1 de Lettres Modernes. Si je m'attendais au latin, je me suis un peu prit tout ce qui était linguistique et vieux français dans la tronche, et avec les soucis personnels familiaux à côté, j'ai pas validé mon année à 0.02 points. Le Jury ayant refusé de m'accorder ces 0.02 points, j'ai demandé le redoublement, qui m'a été refusé parce que je pouvais passer en AJAC (L1 et L2 en même temps). J'ai refusé, parce que je ne me sentais pas du tout capable de faire l'AJAC, mais c'était ça ou j'arrêtais la fac...

L2 de Lettres modernes: une catastrophe. Je me foire complètement, pour découvrir en juin que je perds la bourse vu que j'ai pas validé plus d'un semestre sur deux ans...du coup, j'économise, je met de côté, déjà pour me réinscrire l'année suivante hein, et ensuite pour pouvoir payer les cours du SED (à distance).

Du coup, l'année suivante durant ma nouvelle L1-L2, je réussis en janvier à réunir la somme nécessaire pour avoir les cours du SED, sauf que bah, en janvier, le SED du premier semestre est fermé...là j'ai laissé tomber, et au final ça fait un total de dix mois enfermée chez ma mère sans le sous pour mes études.

Du coup, je suis allée voir une conseillère d'orientation, parce que après trois échecs comme ça, j'me suis "tiens...et si j'me foirais?". En est ressorti le professorat, toujours, et le Game Design. Sauf que les principales écoles de Game Design titre RNCP niveau II ou I qui me semblaient intéressante, bah, l'une coûte 6000 euros l'année, l'autre faut avoir une licence ou justifier d'une expérience pro pour y rentrer. Donc retour en licence, après avoir fait une demande de maintien de bourse au Crous, cette fois, licence de portugais mineure histoire. Et bon bah ça tombe sur les blocus et tout, j'ai pas eut cours depuis le 5 mars (enfin, avant ça, y'avait les vacances) et j'ai comme qui dirait la grosse impression que ça va pas être facile de valider cette année...Et finalement, le professorat, ça me tente de moins en moins, alors j'me dis que j'irais peut être faire ce master en Game Design dans trois ans...mais encore sûre de rien.

Voilà voilà...
 
8 Janvier 2018
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J'habite en Suisse donc à 12 ans on passe des examens pour savoir dans quelle section on va poursuivre notre scolarité (forte, moyen ou faible (c'est très résumé)). Comme à 12 ans j'en avais rien à f**tre de l'école, j'ai pas du tout travailler et je suis passée à un dixième (oui c'est 0.01) points de passer dans les "forts" (c***ard de prof de maths qui me m'enlevait des points pour la "propreté de mon travail" alors que tous mes exercices étaient tout juste). J'ai été donc pendant 3 ans (jusqu'à mes 15 ans) dans la section moyenne et comme c'était trop simple pour moi, je n'ai jamais réviser mes test/examens (en Suisse nous n'avons pas d'examen au semestre mais nous avons des tests à chaque fin de chapitre tout au long de l'année ensuite nous faisons une moyenne de nos notes sur le semestre puis une moyenne des deux semestres pour avoir notre note final dans chaque branche sur toute l'année). Notre scolarité obligatoire fini à la fin de la troisième (pour vous en France).

Ensuite, pour la seconde, première et la terminale, nous choisissons si nous voulons aller dans un lycée ou faire une formation professionnelle dans une école ou en apprentissage. Il n'y a que les "forts" qui ont droit d'aller au lycée qui mènera directement aux universités ensuite. Comme ce n'était pas mon cas, je devais choisir entre faire un apprentissage ou une école professionnelle. Mais quel métier apprendre ? Après quelques mois de réflexion et un stage de 2 jours passé dans une entreprise, j'ai décidé de me lancer dans l'architecture. J'ai recherché un apprentissage car cette formation n'existe pas en école. Malheureusement je n'ai rien trouvé. Je me suis donc rabattue sur la seule formation qui me paraissait assez ressemblante à l'architecture (de très loin je sais mais sinon c'était santé-social ou pharmacienne :sweatdrop:), le commerce.

J'ai donc fait une formation en commerce de 4 ans. 3 ans à l'école puis 1 an de stage. Ca ne m'intéressais pas plus que ça mais il fallait bien que j'ai un papier pour pouvoir ensuite aller à l'université. J'ai une bonne mémoire donc il me fallait juste écouter en classe pour faire de bonnes notes aux tests. Donc je ne me suis toujours pas mise au boulot. Mon ex était en architecture à l'EPFL (université à Lausanne), j'avais donc des retours des études que c'était et je me suis incrustée à certains cours. J'étais très impatiente que le cours commence. Puis, quelques minutes après le début du cours, je me suis rendue compte que, finalement, ça ne m'intéressait pas du tout... Génial ! Retour à la case départ :gonk:

J'ai continué ma formation en commerce tout en recherchant des idées d'études car je ne voulais surtout pas finir employée de commerce. Je suis arrivée à la fin de mes 3 ans à l'école et j'ai dû recherché un stage. Il y avait un tableau dans mon école avec les propositions de stage d'entreprises. J'ai vu : cabinet d'avocat (non), travail à la commune (non), cabinet pédiatrique (mouais bof bof), centre de prévention et de traitement des addictions (ooooooooooooh intéressant !). J'ai donc postulé dans ce centre et j'ai été prise ! Cela fait maintenant 9 mois que j'y travaille et je m'y sens bien pour le côté accueil des patients, téléphone, etc... mais moins pour le côté administratif (le soucis c'est que j'ai été embauchée pour ça :buzy:) J'ai continué mes recherches pour mes futures études et suis allée à plusieurs portes ouvertes d'universités. Quand j'ai commencé à perdre tout espoirs de trouver une formation qui me plait, je me suis retrouvée à une présentation de médecine à Lausanne. Et d'un coup, le déclic. J'ai adoré la présentation, même si le directeur nous présentait la chose comme des études extrêmement compliquées, longues et imposantes sur notre vie sociale, privée, ... à chaque fois la petite voix dans ma tête me disait "Oui mais moi je suis forte et je vais y arriver ! C'est pour sauver des vies !"

Je me suis donc inscrite dans une école pour faire une passerelle car je ne peux pas passer du commerce à la médecine comme si de rien n'était ! J'ai été prise !! :paillettes:
Je fini mon stage dans un peu moins de 2 mois. J'aurai 3 semaines de vacances d'été puis à moi l'aventure des études dans une autre ville que ma ville natale ! Les allers-retours en train et enfin, je vais m'y mettre, les révisions à la maison. C'est une énorme étape dans ma vie et j'espère que je réussirai à l'affronter !

J'espère aussi avoir trouver ma voie en me lançant dans les études de médecine et que je ne devrais pas changer de formation car finalement ça ne me plaira pas ou que je serai exclue de la formation car j'aurai de trop mauvaises notes... Je prend mon courage à deux mains, je reste motivée et je fonce dans l'inconnu :boxing:

Je fais un petit coucou à mon ancien prof de maths de quand j'avais 12 ans qui me disait que je ne suis "pas appliquée" et que je ne travaille pas à la maison donc je suis forcément "une flemmarde qui ne réussira jamais rien dans sa vie". ET BIM ! :hello:

Aller j'arrête mon roman ici. Gros bisous à la team madmoiZelle <3
 
27 Avril 2014
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Bordeaux
Bac L
L1 Histoire
L1/L2/L3 Histoire de l'art
L3 Ethnologie
M1 Histoire de l'art
M1 Web Editorial
Le doute, l'affreux doute.
(Je vais avoir 25 ans en Juin, et moi non plus je ne voulais pas faire d'études après 23ans)
Ça, c'était pour la faire courte.

J'ai voulu faire secrétaire de rédaction de la troisième à la terminale. Mais je n'avais jamais vu le métier, même en stage (stage de 3e inintéressant aux haras nationaux de Pompadour). De plus, je savais qu'il y avait de bonnes chances que ce master que je voulais absolument faire soit dû :
1. A une vengeance. Quand j'avais 4 ans, une personne axée sur les diplômes m'a dit qu'on ne ferait rien de moi parce que je suis une fille ; j'ai voulu lui mettre la mine
2. Parce qu'on m'a dit (comme à tout le monde) de faire de grandes études pour faire un travail intéressant, confortable et bien payé (soit dit en passant, mon conjoint, ouvrier, est parfois plus payé que ma cheffe, Bac+5...)

Donc en fin de term, je voulais partir, voir le monde, apprendre à me découvrir, à me connaître, profiter de la vie touça. Je voulais faire du volontariat, et il y en a tellement de formes, je n'étais malheureusement pas au courant de tout ça et je n'ai pas été très aidée. Maman elle a dit non, et comme j'étais très soumise, bin j'ai dis tant pis. Je regrette tellement. Tellement de questions, de doutes, de panique sur mon orientation. Tout ça pour finalement avoir envie de tout envoyer valser, finir mon master histoire de l'art sans me poser de question et faire une recherche personnelle sur moi-même après. Mais la thérapeute et la conseillère d'orientation sont passées par là, et c'est vrai que j'étais paniquée à l'idée de sortir sans véritable compétence pro. Aujourd'hui je crois qu'un travail agréable pour moi serait peut-être dans la nature, qu'un lycée en maison familiale et rurale m'aurait fait le plus grand bien... Ça fait plusieurs mois, mais peut-être vais-je encore faire la girouette comme tant d'autres fois???
La conseillère d'orientation m'a dit que suite au harcèlement scolaire, je voulais probablement inconsciemment me mettre à l'écart, ayant intégré malgré moi que ma place était marginale...

(EDIT : pour l'anecdote, on a eu un cours avec un secrétaire de rédac cette année. Ça ne m'a mais alors PAS DU TOUT plu !!)
 
Dernière édition :
20 Juin 2014
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Juste pour réagir au thread qui dit que APB c'était la panacée et Parcoursup bouh ça craint

La puissance de l'algorithme de Gale Shapley réside dans le classement. Le candidat classe ses vœux dans l'ordre de préférence désiré sans aucune stratégie.

Faux. Classer ses vœux sans stratégie autre que " je veux faire ça " était le meilleur moyen de se retrouver sans rien du tout sur APB. Les élèves étant prioritairement sélectionnés selon l'académie de leur lycée, mettre une fac parisienne quand tu venais de province était inutile, 0 chance d'être pris dans des filières autres que LEA austro-hongrois. Et comme le classement des vœux avait aussi son importance dans l'algorithme, mettre une formation préférée mais dans laquelle tu n'avais aucune chance d'être pris c'était prendre le risque de ne pas être pris non plus dans une filière de ton académie que tu avais moins bien classé, et par conséquent te retrouver : sans rien. En d'autres termes, cette histoire de voeu classé était d'une connerie sans nom. D'autant plus qu'elle t'obligeait à mettre une hiérarchie entre deux formations que tu aurais pu désirer autant, ainsi qu'entre des formations qui n'avaient rien à voir, et ce dès mars. Tu te rend compte en mai que tu aurais préféré telle licence à cette prépa que tu as mis en premier vœu ? Trop tard, c'est gravé dans le marbre. Si la prépa accepte ton dossier tu es automatiquement banni des inscriptions pour la dite licence.

Entre 2009 et 2017, le service Admission Post Bac chargé d'affecter les bacheliers implémentait cet algorithme. La plateforme APB réalisait plutôt bien la tâche qu'on lui avait attribué avec un vœux proposé à 80,6% des candidats dès le premier tour en 2016.

Déjà, cela fait 20% d'élèves laissés sur le carreau, ce qui reste énorme.
Ensuite, cette statistique prend en compte des élèves qui ont été acceptés dans leur 12ème vœu, ce qui est quand même bien bas dans l'échelle. Surtout considérant qu'afin de renflouer ce chiffre d'élèves " affectés " il était obligatoire de mettre dans ses vœux une formation à " capacité non-limitée " dans une fac de ton académie. Tu ne pouvais pas candidater à tes DUT GEA ou à ta licence de maths avant d'avoir mis cette licence musicologie tchétchène à Villetaneuse. Malin, non ?

Cela va grandement contribuer à l'anxiété des 887 681 candidats à quelques semaines du bac.
Imaginez seulement le niveau de panique des candidats laissés sur le carreau pendant les premiers rounds. Ceux qui auront les moyens économiques et/ou culturels fuiront vers les institutions privées hors Parcoursup
Au vu de tous ces éléments il est légitime de s'attendre à au moins à beaucoup de frustration lors de la révélation des premiers résultats d'affectation.
Non seulement les files d'attente seront plus longue mais il sera également impossible de déterminer le niveau de satisfaction des candidats vis à vis des voeux finalement obtenu. Pas très startup nation.

Guess what ? C'était déjà le cas avec APB.
Surtout pour la dernière quote, je tiens à ajouter que : déjà, juger de la satisfaction des étudiants selon l'ordre du vœu qu'ils ont obtenu, c'était biaisé, puisque comme mentionné ci-haut les stratégies étaient belles et bien existantes lors des classement des vœux, et plus que conseillées si on ne venait pas de Paris la belle.

Je sais pas si je suis dans le thème, mais concrètement ça me gave qu'on vienne reporter la faute sur des logiciels. Parcoursup c'est APB en un peu pimpé, rien de nouveau sous le soleil, ça fait des années qu'on a des générations de sacrifiés à l'orientation dans le supérieur, si ça a pété l'année dernière c'était pour une raison. On nous a refourgué ça pour calmer les mécontents, ce qui n'a absolument aucun impact sur le fond du problème
1) le manque de moyens dans les universités, ce qui empêche la création de plus de places
2) la nullité de l'orientation en France ( aka lâchons ces enfants dans la nature sans leur laisser aucune possibilité de se confronter au préalable aux études supérieures ou au monde du travail, par des stages ou des journées de découverte ).
3) la déconsidération totale des filières techniques et professionnelles, réservées aux " moins bons "
4) la déconsidération des dits métiers auxquels mènent ces formations, qui sont des " rien " et qu'on ne se gênera pas pour pressuriser et sous-payer parce qu'ils n'ont pas le sacro-saint bac+5 ( ce même bac+5 qui ne garantit plus rien du tout maintenant, voyez la logique ).

Et comme j'ai vu passer quelques messages sur la ré-orientation : c'était déjà un leurre en France avant Parcoursup hein. On n'a pas le droit à l'erreur chez nous. Les " réorientés " n'étaient pas prioritaires sur APB contrairement aux frais bacheliers, donc pour passer de la fac à la fac, c'était juste impossible, sauf à s'exporter en province ( pas toujours faisable faute de moyens ) ou à s'être découvert une passion pour l'anthropologie ou tout autre filière qui n'attire pas les foules.
 
20 Avril 2015
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Marseille
C'est rassurant de voir des gens dans le même cas que moi.
BAC S à 17 ans
1 an chaotique en PACES (dépression, énorme perte de poids)
2 ans en licence d'informatique (bonjour la mysogynie)
et là j'en suis à ma 2e année de licence de biologie, ça me plait bien mais pas de fou, mais je finirai la licence mais tjrs pas au courant de ce que j'ai envie de faire en master....Alors que tous les gens de la classe ont clairement leur avenir précis en tête alors qu'ils ont à peine 20 ans et moi 22.
 
19 Janvier 2014
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Brest
Bac STI Arts Appliqués (qui n'existe plus, je suis une vieille :gonk:)
Tentative de prépa PCSI par le cned avortée et problèmes de santé: 1 an de césure
Débarquement en licence de biologie sans avoir fait de SVT depuis la 3eme, option petit boulot en aquaculture
M1 microbiologie/physiologie+ petit boulot de vacataire dans une animalerie de laboratoire
Encore une année de césure pour des soucis de santé
M2 microbiologie-environnement-santé

J'ai plus ou moins trouvé ma voie avec la bio, mais j'arrive à la fin de mon stage de M2 et je n'ai toujours aucune idée de si je continue en thèse ou pas ensuite, l'aquaculture et la mer me passionnent au moins autant que les protozoaires pathogènes et la santé, et j'ai adoré bosser en mer, en bref à 25 ans passés je n'ai pas encore d'idée précise...
 
18 Septembre 2013
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Toulouse
Comme beaucoup, mon travail actuel et mes années d'études n'ont pas grand chose à voir avec ce que j'avais en tête au lycée...
Bac ES, refusée pour des prépa BL ou ECS (en même temps vous comprenez, la voie royale pour faire de l'eco ou de la socio c'est le bac S :annoyed:), prépa ENS D2 conseillée par un super prof qui en avait entendu parler, pas admise au concours, je me suis finalement retrouvée en école d'ingénieur malgré un profil plutôt littéraire X)
Et pour finir attachée à l'Insee mais en ayant en tête que je veux me réorienter dans quelques années pour retrouver un métier plus proche de mon profil...
 
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