paumée

[tortelette]

Salut les paumées !
Bon, on n'a toujours pas de solution miracle, mais les licornes sont toujours nos amies.
Pensez aux petits bonheurs, ça redonne goût à la vie ! Aujourd'hui, le sourire de ma petite nièce , demain, gateau au chocolat !

Courage !

 

[la-caille]

Oyé everyone!
Je peux me joindre à vous moi aussi, dites?

J'ai 25ans et toutes mes dents, un master en Logistique et pas de réponse à la question: "mais au fait, tu veux faire quoi?"

J'ai fini mes études il y a 1an et 1/2.
J'ai jamais réellement sû ce que je souhaitais faire. Faut dire que c'est quand même une grosse question que l'on te pose à la sortie du BAC... J'ai donc fait des études de gestion en me disant "plus général, y'a pas" et "y'a toujours besoin d'une personne pour gerer qqch".
On peut pas dire que j'ai fait de faute de parcours. Divers stages, qq postes en interim...Le tout tjs en lien avec la logistique. Il y a du taf dans ma branche et on a l'air content de mon travail.

Sauf que, voilà t'y pas que je me rends compte que je ne veux pas etre tout ça: je veux pas devenir prisonniere du temps et de l'argent. Courir apres le toujours plus.
Moi ce que je veux, c'est vivre! C'est simplement prendre plaisir à faire ce que je fais et etre en accord avec la finalité de mon travail. Oui je suis un peu naïve dans ce monde de brute où il faut bien gagner un minimum pour payer le loyer.

Je suis actuellement en periode d'essai en vu d'un CDI. Je réponds plus ou moins au poste (mon anglais qui fait grise mine parfois). Ce poste colle tout à fait à mes études, j'ai l'opportunité d'apprendre pleins de choses.
Mais j'ai cette putain d'impression de passer à côté de ma vie.

J'ai à priori toutes les billes pour faire une carriere honorable : de quoi décrocher un bon salaire dans une bonne boite.

Sauf que je vais sans doute en désider autrement. Le conformisme, j'aime pas.
Seul hic, je sais foutrement pas quoi faire d'autre....

J'aimerais faire qqch de créatif, être en lien avec les gens, pourquoi pas les aider ou leur apporter un peu de joie.
J'ai notamment pensé à la nourriture - Sujet qui me fascine.
Mais par quel bout prendre cet interet? Ouvrir un restaurant? J'y connais tellement rien et j'aimerais garder un sans blanc de réalisme.
L'agroalimentaire ne m'interesse pas. Je prefere la production à petite échelle et la mise en valeur d'un savoir-faire. Peux-etre qu'il faut que je creuse de ce côté là.
Sauf que apres avoir fait les 4 coins de la France c'est 5 dernieres années en raison de mes études, stage et emploi ; je sais plus trop où j'habite moi.

A la rentrée, j'ai pris RDV avec l'APEC.
L'APEC propose un programme qui vise à aider celles et ceux qui remettent en cause leur orientation.
Ce programme est gratuit pour les diplomées de moins de 2ans - au delà, c'est un service payant.
Il faut aussi avoir un BAC+3 pour en bénéficier.
Sinon, je pensais à aller voir une conseillere d'orientation mais malheureusement ce genre d'organisme s'arrete bin souvent au post bac....
Je sais que Pole Emploi propose de se porter garant pour faire un stage dans un domaine dans lequel tu n'as pas forcement le diplome :http://www.pole-emploi.fr/candidat/...onnelle-en-entreprise-@/article.jspz?id=81296
Je pensais aussi à aller voir une psychologue. Apres tout, elle pourrait peut etre m'aider à y voir plus clair sur le chemin que je dois empreinter.

En esperant que ces qq idées vous aide....
Au les coeurs! Y'a forcement une jolie place professionnelle pour chacune d'entre nous sur cette petite planete.

 

[Lal.W]

Bon je reviens vous racontez ma petite vie. Malheureusement j'ai pas trouvé de solution magique. Par contre pour une fois j'ai mis de côté la logique (au maximum) et ce que tout le monde me disait et je me suis sorti les doigts du cul ^^. J'ai donc postulé pour des services civiques à l'étranger et j'ai été prise. Début novembre je pars donc 1an en Israel pour m'occupé de personnes handicapées . Alors voilà ça me fait revenir fin octobre 2017 dc je vais pas pouvoir reprendre des cours avant septembre 2018. Après un M1 en 2ans ça me fait une pause de 2ans et dc 3ans de retard ds le cursus scolaire. Mais voilà en fait j'ai décidé que je m'en tapais et de pas écouté tout ceux qui trouve que c'est trop long comme pause, ou que je reprendrais jamais. Et ça fait un bien fou. Ca faisait très longtemps que j'avais pas de projet qui me donnais réellement envie et ça va me permettre de enfin réalisé mon rêve et de voyager un peu. ! Courage à toute, je suis toujours paumée (surtout dans les papiers ^^) mais reboosté à fond (me connaissant ça ne va pas duré lgt mais peu importe).

@Sherling Alors pole emploi ça a donné quoi ?
Si je peux me permettre, tu sais ce que tu veux faire (contrairement à nous toutes..^^) et tu sais ce qui t'en empêche j'ai donc envie de dire que il y a pas vraiment de problème. J'ai moi même des problème de confiance en moi et d'autorité (entre autre) je te comprend donc complètement. Ce que je vais dire l) n'est pas une vérité absolue mais c'est vraiment ce que je pense. Même si tu te réoriente ton problème de confiance en toi posera toujours problème peu importe la formation que tu suis (en plus d'être un gros problème dans les autres sphère de la vie). Pourquoi ne pas mettre le concours en pause pendant une petite année et te consacré au max à ton problème de confiance en toi (parce que bon le problème d'autorité est surement lié) tout en faisant un autre travail pour vraiment te sortir de ça quelque temps ?
Après pour travaillé sur ta confiance je pense vraiment que le psychiatre c'est pas le meilleur choix. Concernant les psychologue là je suis ultra pour, si jamais tu peux te le permettre voit ça comme un investissement sur toi même et ton futur. Sache que certain font des prix pour les étudiants/chomeurs.. (mais ça reste un sacré investissement ne nous mentons pas.). Ensuite il ya des lieux comme les cmp ou tu peux en voir gratuitement même si le suivi sera peu être moins régulier selon ta ville. Après pour prendre confiance en toi il n'y a pas que ça comme solution. Tu peux tenté certain sport (notamment de combat) ou encore du théatre amateur, de la méditation et j'en passe. Il y a plein de petite astuce que tu peux apprendre à mettre en place tout doucement.

et en fin de journée de l'aide aux devoirs bénévole à la maison de quartier car c'est le seul truc que je sais faire dans ma vie...

Dis le pas comme ça ^^ c'est déjà pas mal, c'est pas tout le monde qui fait du benevolat chômage ou non. Et moi je serais incapable de faire de l'aide au devoir dc c'est déjà une belle compétence !

@la-caille Alors ce rdv ?

 

[Sherling]

@Lal.W : alors j'ai déballé un peu mon sac à Pôle Emploi et ma conseillère m'a proposé un accompagnement personnalisé, notamment pour mon suivi "santé" puisque je lui ai parlé de mon intention de voir un psy (j'ai essayé de contacter tout l'été le psy recommandé par mon médecin mais pas de réponses) et évidemment de mes craintes de devoir payer très très cher quelque chose que je ne peux pas vraiment m'offrir. Je ne savais même pas que Pôle Emploi pouvait m'aider pour ça. Après un entretien avec une autre conseillère, elle m'a filé un tas de rdv, dont un en CMP et un avec un sous-traitant de Pôle Emploi pour "éclaircir mes choix de projets professionnels". On verra ce que ça va donner. J'ai clairement eu l'impression qu'elle minimisait mon "pb psy", puisqu'elle m'a juste proposé de trouver un soutien psy dans une association de droits des femmes (quels rapports ?). Entre temps, j'ai consulté mon médecin traitant (en larmes) qui m'a fait une lettre pour aller voir du côté du CECAT (apparemment c'est une antenne hospitalière qui s'occupe des pb psy) pour obtenir une place dans un atelier sur la confiance en soi. Je suis en train de me renseigner sur les tarifs de ces soins et sur mes possibilités de remboursement mutuelle (car je pense que ce serait un véritable investissement).
Alors oui, cette année, j'ai décidé de me soigner tout simplement. Même si je repasse le concours ou si j'essaie de me réorienter, ça va (re)tourner au désastre car je ne suis clairement pas prête mentalement. J'ai laissé trop longtemps de côté ce soucis qui devient au fil du temps limite un handicap (social). Je vais donc profiter de ma dernière année d'ARE pour me soigner, en accord avec mon compagnon qui me soutient pour pouvoir partir d'un meilleur pied. (même si je dois faire un an de minima sociaux derrière... j'ai "la chance" que mon crédit se termine à la fin de mes ARE, d'avoir un compagnon qui travaille et qui souhaite le mieux pour moi).
Ca rejoint ton commentaire en fait.
Je me suis sentie perdue car j'ai cru que je ne savais pas ce que je voulais faire/ pouvait faire. Il s'avère que ce n'est pas le cas (c'est ce que m'a dit une conseillère en insertion pro que j'ai rencontré lors d'une demande de stage). J'ai une idée très claire de ce que je veux faire, mais pour le moment, je ne suis juste pas en état de le réaliser (cette dame m'a dit : "vous êtes comme un athlète lors d'une course. Il s'est entraîné pour ça, il sait ce qu'il veut. Mais là, il a une entorse et il ne peut pas courir. )

 

[Lal.W]

@Sherling Ca me fait trop plaisir de lire ça. Pour une fois que j'entends une histoire de quelqu'un pour qui pole-emploi à servi à quelque chose ^^. Les gens ont très souvent tendance à minimisé les "pbm psy" et leurs impacts sur la vie des gens. Après si ton compagnon te soutien et est derrière toi c'est génial ! je te souhaite du courage et que surtout j'espère que tu vas trouvé quelque chose d'abordable financièrement.
Si ça te gêne pas j'aimerais que tu me tienne au courant, ici ou en MP. Parce que c'est un problème auquel j'aimerais m'attaquer en rentrant de mon service civique (comme je pourrais pas postulé pour la rentrée prochaine).

 

[Collebib]

Salut les madz paumés,
Je tâtonne depuis peu dans ces questions d'avenir car j'ai à la fois rompus avec mon copain (ce qui inclus un futur déménagement dans trois mois) et cela coïncide aussi avec la fin de mon contrat en service civique (dans deux mois lui).
Mais voilà je ne sais ni dans quelle ville je veux aller, ni ce que je veux faire plus tard...

Je suis venu m'installer sur Dijon pour vivre avec lui et même si j'aime bien la ville je n'ai pas réussi à me faire un cercle d'amis à moi (vu que j'ai seulement une vraie amie ici ça fait plus une ligne qu'un cercle !) du coup je me vois mal rester.
Je voudrais rejoindre des lieux ou ma constellations de connaissance proche est plus étendu, mais voila j'ai un peu l'impression de faire un caprice et j’ai terriblement peur qu'une fois loger dans une nouvelle ville je reste au chômage... surtout que pas mal de mes amis sont dans ce cas la-bas...

J'ai fait mes études aux beaux arts et je me suis spécialisé dans l'édition, le façonnage l'impression artisanale de livre.
Mais je n'ai pas la force de faire un truc artistique car il faut tout créer de sois-même, il n'y a pas du tout d'emploi...
De plus je viens de bosser presque une année dans un centre d'art et je me suis vite ennuyé...
Par contre je m'occupait de la librairie et ça m'a plu, mais c'était plus une "dinette de librairie" qu'une vraie librairie à gérer et je n'ai pas du tout confiance en moi, j'ai l'impression que le métier dans une "vraie" librairie seras trop dur et qu'on me jugera incapable. (et c'est bouché, et je ne veux pas faire plus d'étude car j’ai déjà fait 6ans sans aucun débouché...)
J'ai beaucoup bosser avec les enfants en job d'appoint ce qui ne m'a jamais plus mais comme mes parents m'avais payer le bafa je m'y suis sentie obligé haha ><

Sinon j'ai toujours été attiré par le métier de bibliothécaire, mais j'ai peur de ne pas m'y plaire...

En fait pour être claire je suis un peu pétrie de désillusions. Les seules trucs qui m'attire me déprime d'avance car il y a très peu de débouché et j'ai très mal vécu d'être au chômage la première fois. J'ai peur d'être de nouveaux dans cette situation et en même temps je ne me vois pas accepter un boulot qui ne me plairait pas...

En faite mon avis oscille vraiment du jour au lendemain, arf
J'ai des pistes mais je ne sais plus quoi penser de mon avenir ce qui est sur c'est qu'il n'est en aucun cas porté ni par le désir et encore moins par un rêve...

 

[Sherling]

Voilà, je viens vous faire part de mon expérience avec un peu de recul :
- Comme je l'ai précisé avant, j'ai intégré le dispositif de l'accompagnement global à Pôle Emploi, suite à un entretien avec ma conseillère où j'ai évoqué avec elle mes intentions de voir un psy car je sentais que j'étais bloquée dans ma recherche d'emploi par des problèmes psy (manque de confiance en moi entre autre).

Bref, j'ai changé de conseillère et je vois celle-ci de manière très régulière (1 fois tous les mois) et j'ai rencontré une assistante sociale (plus pour discuter car je n'en avais pas trop besoin mais ça fait partie du dispositif). Ma conseillère Pôle Emploi m'a inscrite à un atelier pour définir un projet professionnel car quand j'ai présenté ma situation, ce n'était pas très clair (j'ai passé 4 ans à préparer le concours de CPE sans succès, j'hésitais à me réorienter vers le métier de Conseillère en Insertion Pro). Cet atelier m'a beaucoup aidé à y voir plus clair : mon projet de CIP s'est finalement plus précisé que je ne le pensais (avec les tests psy etc...) et j'ai mis un petit coup de boost pour aller vers ce projet (j'ai fait des enquêtes métiers dans le but d'avoir des contacts pour faciliter ma recherche de stage). J'ai été un peu bloqué par mon état psy (qui m'a fait me tétaniser dans la séance concernant la recherche de stage...). Cette situation m'a donnée le courage d'aller jusqu'au CECAT avec la lettre de mon médecin traitant (lettre qui datait d'1 mois alors, je n'avais pas eu le courage d'y aller... l'assistante sociale que j'ai rencontré m'avait prévenue que si je n'y avais pas été avant notre prochain rdv, elle aurait appelé). Après une petite lutte à coups de téléphone et un rdv de mon médecin traitant plus tard pour compléter mon dossier, j'ai obtenu un rendez-vous au CECAT pour février. Entre temps, il m'a prescrit des anti-dépresseurs pour gérer mes bouffées d'angoisse.

Où j'en suis maintenant : j'attends mon rdv au CECAT avec impatience pour enfin traiter ce problème qui me pourrit la vie depuis si longtemps. Après un bilan avec ma conseillère Pôle Emploi et la CIP qui me suivait dans l'atelier de définition de projet professionnel, il apparait que le métier de CIP me correspond et me motiverait bien... mais qu'il est un peu tôt pour me consacrer à ce projet au vue de mon état psychologique et émotionnel, même si on a toutes admis que je me sentais bien mieux depuis mon traitement aux anti-dépresseurs et le fait de savoir que j'allais enfin traiter ce problème. Donc en attendant, je cherche un CDD dans le secrétariat ou l'administratif pour préparer mon projet de CIP (vu que mes droits finissent en septembre prochain, j'aurais été dans le c*c*), histoire de me reconstruire en douceur.
Ca n'a l'air de rien mais ce suivi m'a permis d'avancer dans mon projet, dans ma démarche de soin aussi, même si ça peut paraître très contraignant et rébarbatif d'aller tous les mois à Pôle Emploi.

Ma seule inconnue et inquiétude reste le CECAT : devrais-je avancer des frais ? Normalement non, vu que c'est prescrit par le médecin. A voir donc selon ma mutuelle je pense (et vu qu'elle est pas tip top, j'essaie de mettre de côté pour financer ça).

Voilà, j'espère que mon témoignage aura pu vous aider un peu

 

[tortelette]

Salut les paumées ! I'm back dans le club des licornes !!!

Adhérente au club depuis un petit moment, j'avais cru voir un arc-en-ciel dans ma vie de paumée et pensais être repartie loin de la vie de paumée, mais c'était sans compter les aléas de la vie et ô chères crottes, la routine et les autres humains !

Dans les épisodes précédents :
Titulaire d'un inutile Master en Sémiotique et Stratégies (master touche à tout (qui ne touche à rien aussi mouahahaha ) qui t'amène vers de la com, du marketing, des sciences du langage...) depuis.. Pffiiou... Mince, bientôt 5 ans... J'ai tourné en rond, me suis retrouvée à un poste d'AVS (Auxiliaire de Vie Scolaire = aider les enfants handicapés en milieu scolaire = aller en classe avec eux ) qui finalement m'a pas mal plu, pendant 2 ans. Après ça, avec mon chéri (et les chats!), nous sommes partis faire le tour du Royaume-Uni en camping-car et ça c'était TROP DE LA BALLE mais faute de rentrées d'argent, nous avons dû finir par rentrer .
Comme on ne savait pas trop quoi faire en rentrant, nous nous sommes échoués en pleine campagne perdue parce que j'avais de la famille dans le coin, pensant que ce serait temporaire et puis... Devinez quoi, nous y sommes toujours. Comme il fallait bien payer le loyer et nos dépenses en chocolat, j'ai retrouvé un boulot d'AVS dans une petite école primaire.

Et maintenant, LA SUIIIITE :
Mon contrat d'AVS va jusqu'en avril là, mais peut être renouvelé une fois pour un an. Problème : l'un de mes élèves étant en CM2, il ne sera plus là l'année prochaine = pas assez d'élèves pour faire toutes mes heures dans cette école ... Je ne sais pas comment ça se passe dans ces cas là, il faut que je me renseigne.
Problème : je commence à m'ennuyer profondément... Les enfants, c'est mignon, tout ça tout ça, mais bah j'ai pas non plus des grosses journées folles quoi. Tant mieux me direz vous, au moins je n'ai pas à m'inquiéter de 36000 rendez-vous à gérer... Mais bon, disons que je ne me sens pas utile tous les jours quoi. D'autant plus quand les maîtresses ne te montrent pas beaucoup d’intérêt ...
Problème 2 : j'approche de la trentaine et mon cerveau de gonzesse commence à activer le chronomètre à bébé. J'ai donc le cerveau en pleine fixation qui ne fait que calculer quand/pourquoi/avec quels moyens (financiers, je précise, le moyen de le faire je pense avoir compris ) ....
Donc en ayant réfléchi sous tous les angles à la situation actuelle, je me suis déjà imaginée être enceinte à l'école, l'avantage serait de ne pas trop être surmenée, donc grossesse peinard à priori ! Mais salaire pas folichon et reste toujours l'ennui du travail lui même !

Après (non ce n'est jamais simple avec moi gnéhééhééhéhé), j'avais aussi pensé changer de voie, retourner à la com, ou du coup essayer de lier les deux, bosser dans la com pour le handicap, parce qu'en fidèle licorne, j'ai envie de travailler "pour aider les autres" ... Mais ça voudrait dire quitter ce job et là je me retrouve bien embêtée parce que je pense à mon petit élève chouchou qui devra encore changer d'AVS.. Quoi qu'il y a peut être mieux que moi, après tout !

Mais c'est le paradoxe du vouloir bosser pour les autres VS penser à soi qui me met la tête à l'envers ...
Parce que si je me psychanalyse toute seule je me rends bien compte que je ne m'occupe jamais de moi en priorité, mais quand tu sais juste que t'es pas super heureuse dans ta vie et que t'as pas de solution, hein, j'veux bien penser à moi mais j'ai pas trop d'idée là. A part manger.

On en avait parlé dans d'autres posts, j'avais commencé à demander un bilan de compétence à ma conseillère pole-emploi mais entre temps j'ai eu le boulot et je crois qu'elle a fini son contrat (même les gens de chez polo sont en CDD, on s'en sort pas! ) donc ça n'a jamais abouti .... Celles qui ont pu en faire, ça valait le coup ??

Non bref, voilà, je conclue en disant, paumée un jour, paumée toujours. Ou pas ????

 

[Sherling]

Bon je suis actuellement en CDD (pour une durée indéterminée, je remplace une personne en arrêt maladie pour dépression) au secrétariat d'un CIO (ahah).
Pour le CECAT, 1er rdv check ! Bonne nouvelle, c'est entièrement remboursé par la sécu. Moins glop : je dois suivre 2 modules en pleine journée car j'ai plus de soucis que je ne l'aurais cru.
Bref, ça me laisse du temps de réflexion

 

[Biscottine]

Hoo ça à l'air pas mal ici, je suis paumée également, je ne sais plus quoi faire.

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[Sherling]

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[Keldra]

Coucou les paumées je me joins à vous !

28 ans cette année, Bac + 5 en Sciences Politiques/Relations Internationales depuis 2015, j'ai multiplié les jobs pendant et après mes études, et je ne sais toujours ps "ce que je veux faire de ma vie". Actuellement en "burnout" ou plutôt "bore out", je quitte mon emploi le mois prochain. J'en viens à la conclusion que le travail salarié en tant que tel n'est pas fait pour moi...

Pour faire quoi ? Telle est la question. Je vais profiter clairement de ma période de chômage pour faire un bilan de compétences et continuer mon travail avec une coach/hypnothérapeute pour mieux me connaître, savoir où je vais, etc...