Je suis assez d'accord avec les commentaires au-dessus:
- on doit choisir un métier alors qu'au collège on ne nous implique pas assez à l'avance dans des recherches pour savoir plus concrètement en quoi consiste les études, les débouchés, les compétences... personnellement j'ai toujours mis sur les fiches des profs en début d'année des métiers qui relevaient presque du "je voudrais être ballerine... ou cosmonaute" (bon pas à ce point au collège hein)... mais ce n'était pas réaliste. Bizarrement on se surprend à rêver de métiers dans des branches bouchées ou sélectives, mais on n'est pas conscient de tout cela jusqu'au moment où on doit remplir les cases sur son dossier, et dès qu'on le sait, c'est dur de trouver vite un objectif de vie aussi rapidement...
- que les passions que l'on ne puisse pas faire restent des activités en parallèle. J'ai vu au-dessus l'archéologie, effectivement dur à mettre en pratique en France, mais je dirais que le métier est difficilement accessible partout, il faut quasiment être bénévole. J'ai été aussi très intéressée par l'archéologie il y a un temps, et je passais mon temps à lire des revues style Arkéo dans ma jeunesse (à la portée des adultes aussi, on y apprend tellement de choses). J'avais pensé même au métier de conservateur d'objets dans les musées ou de restauration de peinture (vu que j'aime la peinture et l'art en général). En fait ce que je veux dire, c'est qu'en fonction de sa passion, si ce n'est pas possible de l'exercer dans le dur et brut, de trouver une contrepartie dans un métier très rapprochant.
- de finalement faire un compromis entre un autre métier (qui garantit une sécurité de l'emploi et un salaire décent) et sa passion. Finalement, j'ai beau ne pas aimer mon métier, mais je dois reconnaître qu'il m'a aidée à m'épanouir et atténuer certains défauts, puis le salaire en fin de mois qui tombe fait que je peux au moins me nourrir, me loger, payer mon permis... etc., choses sûrement plus compliquées dans les métiers souhaités au départ.
- on doit choisir un métier alors qu'au collège on ne nous implique pas assez à l'avance dans des recherches pour savoir plus concrètement en quoi consiste les études, les débouchés, les compétences... personnellement j'ai toujours mis sur les fiches des profs en début d'année des métiers qui relevaient presque du "je voudrais être ballerine... ou cosmonaute" (bon pas à ce point au collège hein)... mais ce n'était pas réaliste. Bizarrement on se surprend à rêver de métiers dans des branches bouchées ou sélectives, mais on n'est pas conscient de tout cela jusqu'au moment où on doit remplir les cases sur son dossier, et dès qu'on le sait, c'est dur de trouver vite un objectif de vie aussi rapidement...
- que les passions que l'on ne puisse pas faire restent des activités en parallèle. J'ai vu au-dessus l'archéologie, effectivement dur à mettre en pratique en France, mais je dirais que le métier est difficilement accessible partout, il faut quasiment être bénévole. J'ai été aussi très intéressée par l'archéologie il y a un temps, et je passais mon temps à lire des revues style Arkéo dans ma jeunesse (à la portée des adultes aussi, on y apprend tellement de choses). J'avais pensé même au métier de conservateur d'objets dans les musées ou de restauration de peinture (vu que j'aime la peinture et l'art en général). En fait ce que je veux dire, c'est qu'en fonction de sa passion, si ce n'est pas possible de l'exercer dans le dur et brut, de trouver une contrepartie dans un métier très rapprochant.
- de finalement faire un compromis entre un autre métier (qui garantit une sécurité de l'emploi et un salaire décent) et sa passion. Finalement, j'ai beau ne pas aimer mon métier, mais je dois reconnaître qu'il m'a aidée à m'épanouir et atténuer certains défauts, puis le salaire en fin de mois qui tombe fait que je peux au moins me nourrir, me loger, payer mon permis... etc., choses sûrement plus compliquées dans les métiers souhaités au départ.