Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Pourquoi les luttes anti-racistes françaises doivent tout aux femmes noires
Lire la suite ...
Dernière édition :
Ce sujet est dédié aux réactions concernant ce post : Pourquoi les luttes anti-racistes françaises doivent tout aux femmes noires
Pas surprenant de la part de Rokhaya Diallo. Au passage, j'aime beaucoup l'oxymore de l'article pour la qualifier: "journaliste et activiste".
La voilà, la source, sur les violences policères : "6 fois plus pour les hommes perçus comme noirs, 11 fois plus pour les hommes perçus comme arabes. Les jeunes de 18-25 ans perçus comme arabes/maghrébins ou noirs sont particulièrement exposés, 80 % d’entre eux déclarant avoir été contrôlés dans les cinq années précédant l’enquête (contre 16 % pour le reste de la population)."D'autre part, ce chiffre ne peut être qualifié de faible puisqu'il doit être mis en corrélation avec la proportion de personnes "non-blanches" en France. Or ce chiffre n'est pas connu et fait partie des statistiques ethniques illégales. Concernant enfin l'affirmation selon laquelle ce sont les premiers à mourir des violences policières, je pense qu'une source ne serait pas de trop, je n'en ai pas trouvé de mon côté.
Leur visibilisation révèle aussi en creux combien les hommes perçus comme noirs et arabes sont exclus des médias, tout en étant les premiers à mourir des violences policières.
On n’a pas de statistiques de ce type en France, mais il suffit de lire le nom des personnes tuées par les forces de l’ordre pour constater qu’elles sont en écrasante majorité des hommes et d’origine africaine.