J'ai fini
La ballade de l'impossible de Murakami. J'ai été bouleversée par l'histoire, j'ai l'impression qu'il y a un lent basculement, quelque chose de brumeux, qui passe de quelque chose de serein, à quelque chose de beaucoup plus tourmenté.
Cette brume, c'est peut-être la pudeur, pudeur des sentiments, parce que la pudeur des corps n'est pas vraiment de mise. C'est tout une histoire par rapport au corps, à la maladie mentale, à l'amour, à l'Autre. Cette histoire vibre doucement, elle enveloppe, puis part, telle une vague, une fois la dernière page tournée.
J'essaierai de faire une critique plus poussée quelque part, c'est vraiment quelque chose qui me tient à coeur vu comment ce livre m'a remuée.