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J'ai terminé La maison à la porte dorée, la seconde moitié était plus intéressante, avec plus d'action (d'ailleurs poke @Patacha , j'ai vu qu'un troisième tome était sorti ).
J'ai aussi terminé Octave, qui clôture la trilogie Romance d'Arnaud Cathrine. J'ai beaucoup aimé cette saga.
Et je viens de commencer La longue attente de Ha Jin: en Chine, dans les années 80, un médecin essaie de divorcer de sa femme depuis plusieurs années.
J’ai donc commencé Schizophrène, médium ou sorcière : un même chemin initiatique ? de Katia Maury-Evrard. C’est un livre de ma PAL que j’ai classé en développement personnel. J’en ai lu un quart, ma foi je n’ai pas d’avis pour l’instant (c’est un témoignage… difficile de donner un avis sur la vérité de quelqu’un.e !).
J ai lu la trilogie de Lewis.
Après la mort de son fils qui a signé la dissolution de son mariage, un inspecteur de police écossais, Fin Mcleod, revient sur son île natale.
Peter May fait vivre les Hébrides; son microcosme folklorique et sclérosé par la bigoterie, ses paysages à la "dramatique splendeur" et ses traditions fascinantes mais violentes. Il parsème ses recits d anecdotes historiques méconnues.
L inclusion des flashbacks est réalisée avec fluidité et intelligence pour éclairer le contexte dans lequel se déroule les enquêtes. Mais c est quand même cette ambiance d île écossaise, le point fort de la trilogie. Une trilogie immersive et cohérente de bout en bout.
Avec une mention spéciale pour le tome 2 dans lequel Fin reconstitue un drame vieux de 50 ans en remontant le fil des souvenirs confus d un vieil homme gagné par la sénilité, l enquête servant à lever le voile sur le destin dramatique des homers, ces enfants déplacés dans les îles écossaises.
J ai aussi lu Misogynie, mon 3e Claire Keegan.
Claire Keegan n a pas son pareil pour exprimer beaucoup en peu de mots. Ici elle distille les instants de misogynie quotidienne d un homme, perclus d a priori, certain de son bon droit et incapable de la moindre générosité matérielle ou émotionnelle.
Une bonne surprise, ce livre : je cherchais spécifiquement des romans avec une atmosphère inquiétante se déroulant dans des endroits ordinaires - un peu du style La Maison des Feuilles de Danielewski, ou encore avec une ambiance type "Backrooms" (pour ceux qui connaissent).
Ce roman se déroule dans un centre commercial, et on suit les péripéties perturbantes d'un jeune vendeur et d'une jeune femme qui s'enfoncent dans les coulisses du bâtiment à la recherche d'un enfant.
J'ai trouvé le début un peu "gros" ; le roman commence vite, on n'attend pas des plombes avant que l'histoire démarre (ce qui est bien), mais les premiers évènements/phénomènes font dans l'ampleur et pas la subtilité. Je me disais: "on en est qu'au tiers du roman, si les personnages traversent déjà ce genre d'épreuves, ça va être quoi la suite ?". (maintenant que j'ai relu le résumé pour vous en faire la traduction plus haut, je me rends compte que j'avais zappé le fait que c'était prévu, cette partie "épreuves" suivie d'autre chose. Comme quoi, j'avais lu en diagonale le résumé)
Sceptique, mais néanmoins curieuse, j'ai continué à lire, et c'était un peu un rêve fiévreux cette première moitié de bouquin lol J'ai bien fait de persévérer : une fois la première partie de l'histoire passée, on entame une seconde partie bien plus intéressante selon moi, celle du retour dans le centre commercial. On reste dans un univers décalé/absurde et inquiétant, et le tout n'est toujours pas très subtil, mais c'est à ce moment là que sont introduits d'autres personnages que les protagonistes, dont j'ai trouvé certains très intéressants pour le peu qu'on les voit, au final.
C'est ce second souffle insufflé par la deuxième partie du roman qui m'a donné envie de lire la suite. La fin reste étonnante même si on comprend assez vite où on se dirige à partir d'un moment.
En résumé: très sympa si on est prêt à être pas trop regardant sur le pourquoi du comment des évènements, car il ne faut pas s'attendre à une réponse claire.
Les protagonistes ne sont pas forcément hyper attachants car ils ont des failles très évidentes, mais je ne crois pas qu'il ait été prévu qu'ils soient des "héros" conventionnels.
Les autres personnages, au contraire, ont de petits rôles mais leur nature fait que j'ai aimé les voir interagir avec les protagonistes.
Au final, ce roman m'a davantage plu que le complexe et très encensé La Maison des Feuilles, peut-être justement grâce à sa palette de personnages plus variés et marquants.
The Mall est le premier tome d'une trilogie ; j'ai acheté le second dans l'espoir de voir s'étoffer l'univers et peut-être retrouver des personnages que j'avais apprécié dans ce premier livre.
Je recommande ce roman si vous aimez l'ambiance des médias suivants (liste que je mets sous spoiler au cas où j'en aurais trop dit) :
J’ai commencé une relecture : Little Women (Les Quatre filles du docteur March) de Louisa May Alcott !
Je m’identifie toujours autant à Beth, et Jo me fait penser à ma maman.
(…) J’ai donc commencé Schizophrène, médium ou sorcière : un même chemin initiatique ? de Katia Maury-Evrard. C’est un livre de ma PAL que j’ai classé en développement personnel. J’en ai lu un quart, ma foi je n’ai pas d’avis pour l’instant (c’est un témoignage… difficile de donner un avis sur la vérité de quelqu’un.e !).
Je suis présentement en souffrance. Le témoignage s’est transformé en hypothèses douteuses inspirées de la physique quantique, de diverses religions (dont le bouddhisme), de certaines mythologies… on a aussi droit à des résultats de recherches scientifiques reformulés par Katia Maury-Evrard, des cours simplifiés et incompréhensibles de biophysique… le tout censé prouver l’existence de l’âme, de la médiumnité, etc. Je n’ai clairement pas signé pour ça, le texte n’est pas super bien écrit et il y a énormément de coquilles (bon sang le métier de correcteur.rice existe ) et l’autrice utilise des mots appartenant à diverses disciplines, systèmes de croyances… dans une même phrase. C’est un b*rdel sans nom. Comme j’en ai lu les deux tiers je vais le finir mais si ça continue en bla-bla pseudo scientifique je sais que je vais décrocher toutes les deux minutes.
J’ai fini Schizophrène, médium ou sorcière : un même chemin initiatique ? de Katia Maury-Evrard. Cette lecture a été un calvaire. Il a été carrément question du complot des Illuminati, à la fin. Résultat : je n’ai rien appris (puisqu’elle a survolé toutes les thèses foireuses témoignant d’un au-delà et de l’invisible, et évoqué des théories conspirationnistes, etc. auxquelles je ne suis pas étrangère), et les propos qu’elle tient à son sujet varient (à un moment elle parle de « (s)a maladie », la schizophrénie ; à un autre elle dit qu’il ne s’agit pas d’une pathologie mais d’un don – elle alterne tout du long du texte entre ces deux postures). Le titre est trompeur, il est question des sorcières une seule fois dans le bouquin et (hélas) Katia Maury-Evrard parle très peu d’elle, elle est comme dominée par un monde immatériel (qu’elle décrit, mais on n’apprend rien à son sujet à elle) que je perçois comme un échappatoire (elle n’aime pas le réel, dont elle a une image particulièrement négative). Certains points étaient intéressants. Par ex. le cas d’un jeune nord-américain diagnostiqué schizophrène et suicidaire qui a été guéri après avoir intégré une tribu africaine qui a un système de croyances différent de celui de la psychiatrie occidentale.
Je retiens deux extraits/citations :
« Les dérives doctrinaires mènent toujours à des massacres épouvantables. Gommer certains personnages, jugés néfastes, n’est pas non plus l’apanage de nos sociétés modernes. Il faut être prudent quand certains individus cherchent à enlever de notre histoire certains personnages historiques ou symboliques. »
« Désormais, j’avais abandonné l’idée de convaincre les autres. J’avais su me convaincre. C’était le plus important. » (Après lecture du livre je ne sais pas de quoi elle s’est convaincue, puisqu’elle n’en a rien dit, mais soit.)
En attendant début juillet (pour participer au club de lecture ), j’ai commencé Les Watson, de Jane Austen. C’est considéré soit comme une nouvelle, soit comme un roman inachevé. En bref : c’est court. Quelle petite pépite. Pour l’instant le cadre est en train d’être posé petit à petit via une conversation entre Emma Watson et sa sœur aînée Elizabeth. La cadette va faire son entrée dans le monde. La traduction est nickel.
J’ai payé ce livre 0,20 € en brocante. Je l’ai remis en état neuf juste en le dépoussiérant et en nettoyant la couverture. J’adore l’odeur de ses pages quand je l’ouvre. On sent qu’il a été aimé.
J'ai fini Anne d'Avonlea, une lecture apaisante. Ça m'a fait pensé à la série La petite maison dans la prairie , l'impression de retomber en enfance.
Dans un autre genre j'ai commencé L'évaporée de Fanny Chiarello et Wendy Delorme. J'aime beaucoup la forme (chacune écrit un chapitre du point de vue de son personnage).
Ça me change beaucoup de ma lecture précédente, ça demande plus de concentration, d'implication, ça m'a fait tout drôle au début
Hello !
Le week-end dernier j'ai lu Un psaume pour les recyclés sauvages, de Becky Chambers. C'est un livre de science-fiction, assez court et qui se lit très facilement. J'ai adoré l'univers de la planète Panga, très poétique avec ses abeilles à sucre, ses ours des ronces, ses araignées-pommes, et ses robots contemplatifs. On s'y déplace en chariot-vélo et il y a des moines de thé chargés de réconforter les gens quand ça ne va pas. Dans l'histoire il se passe quelque chose de drôle environ toutes les 2 pages, et ça faisait longtemps que je n'avais pas ri d'aussi bon coeur !
J'ai aussi deux recueils de nouvelles en cours : Dix petits indiens, de Sherman Alexie (je l'avais déjà lu il y a très longtemps, j'avais oublié l'humour de cet auteur), et Les roses d'Atacama, de Luis Sepúlveda.
En attendant début juillet (pour participer au club de lecture ), j’ai commencé Les Watson, de Jane Austen. C’est considéré soit comme une nouvelle, soit comme un roman inachevé. En bref : c’est court. Quelle petite pépite. Pour l’instant le cadre est en train d’être posé petit à petit via une conversation entre Emma Watson et sa sœur aînée Elizabeth. La cadette va faire son entrée dans le monde. La traduction est nickel.
J’ai payé ce livre 0,20 € en brocante. Je l’ai remis en état neuf juste en le dépoussiérant et en nettoyant la couverture. J’adore l’odeur de ses pages quand je l’ouvre. On sent qu’il a été aimé.
Génial. Le livre a trouvé sa place dans ma bibliothèque. Il s'agit non pas d'une nouvelle, mais bien d'un texte inachevé de Jane Austen (j'aurais ADORÉ qu'elle le finisse !). C'est un premier jet très abouti (à tout le moins réussi) qui présente (dans les grandes lignes) les caractéristiques et les thématiques récurrentes de son Œuvre. J'ai pris des notes, je partage une citation qui est tellement mon mood en ce moment : « (...) ; et quand elle avait donné libre cours à ses pensées et mis en balance passé et présent, seule la lecture lui permettait de s'occuper l'esprit et de chasser ses idées noires, aussi se tournait-elle avec reconnaissance vers un livre » (traduction – très belle traduction : Nicolas Porret-Blanc).
Les personnages sont tellement réalistes que j'ai l'impression qu'ils existent ou qu'ils ont existé. Genre là je me demande ce qu'Emma Watson est devenue.
J avais besoin de légèreté cette semaine. Et j ai donc lu Le festin de Margaret Kennedy.
Ou plutôt j ai dévoré ce Festin littéraire!!!! Avec un mordant savoureux, Margaret Kennedy nous invite à passer 7 jours dans l Angleterre d après guerre, en compagnie d une ribambelle de personnages finement croqués. Entre hypocrisies et grandeur d âme, et avec les 7 péchés capitaux en filigrane : un régal !!!!
Puis j ai lu Drôle de temps pour un mariage de Julia Strachey, publié en 1932.
Dans le Dorset, un petit monde s active, à l approche du mariage de Dolly, la fille aînée de Mrs Thatcham. C est léger, vraiment.
Au milieu des considérations autour des arrangements floraux et des crises de panique vestimentaires, le récit n atteint aucun paroxysme susceptible de le faire basculer vers une nouvelle mémorable. Et même si la lecture a été agréable parce que j aime ces ambiances british un peu surannées, je suis restée sur ma faim.