Le Prisonnier - Quel bonheur de revoir ces trois premiers épisodes sur Arte dans une qualitié qui était qui plus est mer-vei-lleuse ! J'étais pourtant totalement achevée et en cruel manque de sommeil, mais j'ai lutté jusqu'à la fin pour garder les yeux et les oreilles grands ouverts !
C'est très étrange de recomparer les différentes versions, ou simplement l'univers et les idées de la série avec les décénnies qui ont suivies. Les paroles de Numéro 6 - prononcées au début de chaque générique, "Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, classer, déclasser ou numéroter !" prennent aujourd'hui un essor tout particulier qui pourrait presque faire froid dans le dos, en ces temps de Netomania...