Je suis à la bourre, mais j'étais obligée.
Je m?appelle : kim
J?aime : avoir le temps, pour pouvoir apprécier les choses, regarder à gauche, à droite, partout, remarquer les petits détails qui passent inaperçu aux yeux de la masse, me sentir à l'abris, protégée, faire plaisir à ceux que j'aime.
Je n?aime pas : les personnes si imbues d'elles-mêmes que leur débordante outrecuidance en vient à m'écrabouiller, décevoir, me sentir manipulée, impuissante, oppressée ? et ne rien pouvoir y faire; que l'on m'empoigne, être accusée à tort, sentir des regards converger vers moi, être indiscrète et les gens indiscrets ou indélicats d'une manière générale, et moi, bien souvent ? l'enveloppe comme le fond.
Je crois en :
Je refuse : de m'accepter et de m'assumer, de ne rien faire dans certaines situations, de mentir sciemment en ayant le choix de, de prendre des décisions.
Je suis obsédée : par mon apparence (ça me noue la gorge de l'admettre), par ce qui me sert de corps, par l'idée de décevoir quique ce soit, par mon incapacité chronique à toute tâche.
Je chante : seulement mal et exprès en publique, comme ça je sais que l'on va rire et pourquoi.
Je veux : réussir, svp, et être à la hauteur.
J?écoute : de mon mieux, lorsqu'on me parle.
Je parle : grave et mal.
Je ne désire pas : tiens, je sais pas ça ? Ah, si, peut-être me revivre certaines périodes, replonger là-dedans sans me battre, baisser les bras.
Je ressemble : à personne, je crois.
Je lis : insuffisamment en quantité, et pas assez bien en «qualité» ? de ma propre lecture, non pas des sujets.
Je pleure : moins! et j'en suis fière.
Je crie : très peu, sauf quand je n'arrive plus à condenser mon émotion. En général, ça n'arrive qu'avec l'aide de quelqu'un.
Je m?habille : mal.
Je me trompe : trop, surtout sur les gens.
Je mange : par nécessité.
Je me tais : jamais quand il faut.
Je m?appelle : kim
J?aime : avoir le temps, pour pouvoir apprécier les choses, regarder à gauche, à droite, partout, remarquer les petits détails qui passent inaperçu aux yeux de la masse, me sentir à l'abris, protégée, faire plaisir à ceux que j'aime.
Je n?aime pas : les personnes si imbues d'elles-mêmes que leur débordante outrecuidance en vient à m'écrabouiller, décevoir, me sentir manipulée, impuissante, oppressée ? et ne rien pouvoir y faire; que l'on m'empoigne, être accusée à tort, sentir des regards converger vers moi, être indiscrète et les gens indiscrets ou indélicats d'une manière générale, et moi, bien souvent ? l'enveloppe comme le fond.
Je crois en :
mindalajinka a dit :quelques personnes, et pas trop en moi
Je refuse : de m'accepter et de m'assumer, de ne rien faire dans certaines situations, de mentir sciemment en ayant le choix de, de prendre des décisions.
Je suis obsédée : par mon apparence (ça me noue la gorge de l'admettre), par ce qui me sert de corps, par l'idée de décevoir quique ce soit, par mon incapacité chronique à toute tâche.
Je chante : seulement mal et exprès en publique, comme ça je sais que l'on va rire et pourquoi.
Je veux : réussir, svp, et être à la hauteur.
J?écoute : de mon mieux, lorsqu'on me parle.
Je parle : grave et mal.
Je ne désire pas : tiens, je sais pas ça ? Ah, si, peut-être me revivre certaines périodes, replonger là-dedans sans me battre, baisser les bras.
Je ressemble : à personne, je crois.
Je lis : insuffisamment en quantité, et pas assez bien en «qualité» ? de ma propre lecture, non pas des sujets.
Je pleure : moins! et j'en suis fière.
Je crie : très peu, sauf quand je n'arrive plus à condenser mon émotion. En général, ça n'arrive qu'avec l'aide de quelqu'un.
Je m?habille : mal.
Je me trompe : trop, surtout sur les gens.
Je mange : par nécessité.
Je me tais : jamais quand il faut.