Alors c'était juste des conseils généraux sur le sujet, pas une attaque, désolée de l'avoir mal tourné, le but était vraiment de rappeler les bases.Il n'y a pas cette étape tout simplement parce que la Josée qui témoigne n'a pas de vulve.
Ensuite, il me semble que dans ce témoignage il est clairement écris et explicité le fait que le plus important dans cette décision et ce rapport consenti était la CONFIANCE, le consentement mutuel, leur amour l'un pour l'autre, et la possibilité de dire stop avec un mot de code choisi avant de commencer.
Ensuite, Il existe des domina (des femmes qui dominent), et des hommes soumis. Je n'ai pas de chiffres à ce sujet et je ne pense pas qu'il soit réellement possible d'en avoir des exacts, mais je ne crois pas que ce soit des cas si particuliers.
Je trouve que ton commentaire n'est pas bienveillant (en plus d'être autoritaire : si j'ai l'habitude de faire du BDSM avec des personnes que je connais peu, qui es-tu pour me dire que c'est mal ?) envers la personne qui témoigne, ainsi que de toutes les personnes qui pourraient lire cet article et avoir ce genre de pratiques elles-eux-mêmes.
Je trouve chouette de questionner les aspects de nos vies, je trouve encore plus chouette de respecter les personnes qui s'ouvrent et témoignent dans cet espace qu'est madmoiZelle et qui est censé être un espace de confiance.
Peser ses mots quand on commente des témoignages est important.
Par contre, je n'ai pas dit que ce n'était pas bien, ou autre, de faire du BDSM avec des genTes qu'on ne connaît pas. Tu me fais dire une chose que je n'ai pas dit. Au contraire, j'ai expréssement écris, dès le début de mon commentaire : "Si ça leur a plu, c'est l'essentiel" (edit : je précise encore, pour être sûre d'être bien comprise : je reviens ici sur leur relation à eux, et j'ai bien compris qu'iels se connaissaient = C'est cool si ça plaît aux genTes, dans les deux cas de figure, qu'iels se connaissent bien ou non). Je trouvais ça suffisamment clair, apparemment pas, je ferais plus attention encore la prochaine fois.
J'ai écris : "je déconseille de faire ça avec quelqu'un qu'on ne connaît pas. C'est pas très sûr" = je rappelais que si on ne connaît pas un homme, se laisser attacher par lui ce n'est pas prudent, parce que justement on ne le connaît pas. Après, chacun.e prend ses risques. Là encore, il ne s'agit pas d'un jugement moral.
En revanche, toi, tu me juges clairement d'un point de vue moral, à partir d'une interprétation erronnée, ce qui n'est pas de la plus grande bienveillance. Pourquoi ne pas me demander de préciser ma pensée, tout simplement, avant de m'accuser d'être "autoritaire" et pas bienveillante ? Du coup je te renvoie à ton propre conseil : peser ses mots, effectivement, c'est mieux.
À aucun moment je n'ai émis de jugement sur la pratique.
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