« Stérilisation volontaire », un webdocumentaire qui laisse la place au débat
- Initiateur de la discussion Mymy Haegel
- Date de début
@Damsel_ : Je ne le dis jamais aux gens parce qu'ils s'offusquent "Nan mais un animal et un enfant c'est pareil !!!!", mais je pense pareil que toi pour l'optique "adopter plutôt que de mettre un nouvel être au monde", et je pense toujours aux chats. Je comprends parfaitement qu'on veuille mettre de l'argent pour avoir un chat de race et que j'ai aucun problème avec ça (tant que c'est fait avec un éleveur respectueux mais là n'est pas le sujet), mais moi, je ne veux pas, je préfère adopter un chaton ou un chat adulte déjà là, vivant, en détresse et qui a besoin d'un toit et de l'amour.
Si je concevais d'élever un enfant, ce serait pareil, je n'ai aucune envie de voir la moitié de mon sang et de mon conjoint, malgré que je comprenne parfaitement les gens qui le veulent, c'est normal.
Mais, je ne veux pas d'enfants tout court, c'est pas une histoire d'enfanter tout court ou pas, c'est juste que je ne veux tout simplement pas avoir la responsabilité d'une vie (flemme ? Egoïsme ? Pas envie de consacrer du temps à une autre personne dépendante que soi ? Tout à la fois oui, j'assume complétement le fait que je n'ai pas envie de me faire chier à gérer quelqu'un, je déteste la dépendance, et non, je ne conçois pas de sacrifier ma vie le bien être d'un enfant malgré que je conçois et respecte totalement ceux qui le font. Moi je ne veux pas, je vois pas en quoi ça vous concerne (comme je dis souvent "Quoi ? Pourquoi tu cherches à me convaincre de changer d'avis ? T'as des actions chez Pampers ? Non ? Alors pourquoi tu t'en mêles comme si ça mettait ta vie en jeu ?", prout quoi)
Et en effet, faire genre que "ça peut se passer mal avec un enfant adopté" ça me fait bien rire, comme si les enfants biologiques étaient naturellement gentils et redevables parce qu'on les a mis au monde, la grosse blague. Aucun être n'a à t'être redevable de toute façon, c'est ton choix de l'avoir mit au monde ou adopté, pas le sien, si on part d'office dans cette optique toute la vision du monde change.
@Maud Kennedy : Pour mon copain je sais que ça le fait passer pour un gros connard quand je le dis, c'est heureusement pas le cas, c'est juste qu'il n'a jamais pensé une seule fois (vu qu'on lui a toujours répété que la contraception, c'est "les filles prennent la pilule ou les mecs mettent des capotes", point, il n'a jamais cherché à penser à autre chose, vu que ça me posait pas de soucis de le faire, jusqu'à maintenant où ma fertilité me pèse de plus en plus)
Et pour les enfants adoptés, oui voilà c'est une chose qui arrive souvent, les souvenirs de l'ancien foyer, le traumatisme lorsqu'on leur a annoncé qu'ils avaient été adoptés, mais, c'est une chose qu'on doit être conscient de base en adoptant, c'est un problème comme il pourrait en avoir dans mille autres cas, il faut faire en conséquence, et faire en sorte du bien être de l'enfant adopté dans ce sens.
Il n'y pas "ce problème" là avec un enfant biologique, mais y'en a tout un tas d'autres, chacun ses choix, y'a pas à "hiérarchiser" les difficultés entre l'éducation d'un enfant adopté et celle d'un enfant biologique, les deux ont leurs points négatifs et sont égaux en fait, juste différents.
(Et ne t'inquiète pas je ne dis pas du tout ça en "réponse" à ce que tu as dit à Damsel, c'est juste une réflexion personnelle sur le sujet, c'est vraiment indépendant de vos réponses
.)
Eeeeeenfin bref, pour en revenir au sujet, de mon point de vue (je précise vraiment "MON" point de vue, je ne dis en aucun cas que c'est le meilleur ou autre, j'avais juste vraiment envie de le dire car je ne peux jamais le dire en vrai, vu qu'on me dirait "nan mais comment t'oses dire ça t'en sais rien", oui c'est vrai mais je le pense quand même), se faire stériliser et regretter un jour, plus tard de l'avoir fait, ce n'est rien à côté de faire un enfant et de regretter de l'avoir fait, car là il n'y a aucune solution pour te sortir de là, il est là, tu as la responsabilité de sa vie jusqu'à qu'il puisse la prendre en main tout seul à 100%.
Alors que si tu regrettes le fait de t'être faite stériliser, il te reste trois solutions : adopter, avoir recours à une insémination artificielle (si tu n'as qu'une ligature/Essure/retrait des trompes), ou "compenser" pour oublier en profitant un maximum de ta liberté que d'autres n'auront jamais (la dernière est une solution pourrie lol, mais pour moi elle en est une quand même).
Si je concevais d'élever un enfant, ce serait pareil, je n'ai aucune envie de voir la moitié de mon sang et de mon conjoint, malgré que je comprenne parfaitement les gens qui le veulent, c'est normal.
Mais, je ne veux pas d'enfants tout court, c'est pas une histoire d'enfanter tout court ou pas, c'est juste que je ne veux tout simplement pas avoir la responsabilité d'une vie (flemme ? Egoïsme ? Pas envie de consacrer du temps à une autre personne dépendante que soi ? Tout à la fois oui, j'assume complétement le fait que je n'ai pas envie de me faire chier à gérer quelqu'un, je déteste la dépendance, et non, je ne conçois pas de sacrifier ma vie le bien être d'un enfant malgré que je conçois et respecte totalement ceux qui le font. Moi je ne veux pas, je vois pas en quoi ça vous concerne (comme je dis souvent "Quoi ? Pourquoi tu cherches à me convaincre de changer d'avis ? T'as des actions chez Pampers ? Non ? Alors pourquoi tu t'en mêles comme si ça mettait ta vie en jeu ?", prout quoi)
Et en effet, faire genre que "ça peut se passer mal avec un enfant adopté" ça me fait bien rire, comme si les enfants biologiques étaient naturellement gentils et redevables parce qu'on les a mis au monde, la grosse blague. Aucun être n'a à t'être redevable de toute façon, c'est ton choix de l'avoir mit au monde ou adopté, pas le sien, si on part d'office dans cette optique toute la vision du monde change.
@Maud Kennedy : Pour mon copain je sais que ça le fait passer pour un gros connard quand je le dis, c'est heureusement pas le cas, c'est juste qu'il n'a jamais pensé une seule fois (vu qu'on lui a toujours répété que la contraception, c'est "les filles prennent la pilule ou les mecs mettent des capotes", point, il n'a jamais cherché à penser à autre chose, vu que ça me posait pas de soucis de le faire, jusqu'à maintenant où ma fertilité me pèse de plus en plus)
Et pour les enfants adoptés, oui voilà c'est une chose qui arrive souvent, les souvenirs de l'ancien foyer, le traumatisme lorsqu'on leur a annoncé qu'ils avaient été adoptés, mais, c'est une chose qu'on doit être conscient de base en adoptant, c'est un problème comme il pourrait en avoir dans mille autres cas, il faut faire en conséquence, et faire en sorte du bien être de l'enfant adopté dans ce sens.
Il n'y pas "ce problème" là avec un enfant biologique, mais y'en a tout un tas d'autres, chacun ses choix, y'a pas à "hiérarchiser" les difficultés entre l'éducation d'un enfant adopté et celle d'un enfant biologique, les deux ont leurs points négatifs et sont égaux en fait, juste différents.
(Et ne t'inquiète pas je ne dis pas du tout ça en "réponse" à ce que tu as dit à Damsel, c'est juste une réflexion personnelle sur le sujet, c'est vraiment indépendant de vos réponses
.)Eeeeeenfin bref, pour en revenir au sujet, de mon point de vue (je précise vraiment "MON" point de vue, je ne dis en aucun cas que c'est le meilleur ou autre, j'avais juste vraiment envie de le dire car je ne peux jamais le dire en vrai, vu qu'on me dirait "nan mais comment t'oses dire ça t'en sais rien", oui c'est vrai mais je le pense quand même), se faire stériliser et regretter un jour, plus tard de l'avoir fait, ce n'est rien à côté de faire un enfant et de regretter de l'avoir fait, car là il n'y a aucune solution pour te sortir de là, il est là, tu as la responsabilité de sa vie jusqu'à qu'il puisse la prendre en main tout seul à 100%.
Alors que si tu regrettes le fait de t'être faite stériliser, il te reste trois solutions : adopter, avoir recours à une insémination artificielle (si tu n'as qu'une ligature/Essure/retrait des trompes), ou "compenser" pour oublier en profitant un maximum de ta liberté que d'autres n'auront jamais (la dernière est une solution pourrie lol, mais pour moi elle en est une quand même).
Pour l'adoption je serai moins categorique. L'enfant adopte a un passe et surtout un abandon ou une perte inscrite dans son histoire. En cela on peut dire que ca differe de l'enfant biologique.
Bien sur que chacun peut souffrir a sa façon mais pour l'enfant adopte se greffe l'histoire d'avant, le sentiment de ne pas etre le "vrai enfant" en plus d'etre souvent hyper anxieux sur la question de l'abandon.
Un enfant n'est pas un chat. Si voys ne voulez pas d'enfant ne vous rattrapez pas en voulant adopter.
Ce serait destructeur pour l'enfant.
Etre childfree est un choix aussi louable qu'etre mere.
Bien sur que chacun peut souffrir a sa façon mais pour l'enfant adopte se greffe l'histoire d'avant, le sentiment de ne pas etre le "vrai enfant" en plus d'etre souvent hyper anxieux sur la question de l'abandon.
Un enfant n'est pas un chat. Si voys ne voulez pas d'enfant ne vous rattrapez pas en voulant adopter.
Ce serait destructeur pour l'enfant.
Etre childfree est un choix aussi louable qu'etre mere.
Je ne veux pas adopter personnellement, je ne veux pas d'enfant tout court, pas juste "pas d'enfant biologique", je me sert de cet "argument" pour qu'on arrête de me dire que je vais le regretter, mais bon je vais arrêter de le dire dans la vraie vie de toute façon, on me dénigre tout autant donc je dirais "Je ne veux pas d'enfant" - "Tu vas le regretter" - "Hahaha" *grosse tête de troll", comme ça qu'est ce qu'on pourra y répondre 
C'est très bien de montrer que des femmes puissent avoir la possibilité de faire ce choix. Moi même je veux des enfants, depuis longtemps, j'aime énormément les enfants et je sais que cela représente une lourde responsabilité. Pourtant j'ai trouvé ( et ce n'est que mon ressenti) que les arguments que ces femmes donnaient étaient très dur, presque choquant. Elles ont parlés de ne pas vouloir abîmer leur corps, de garder leur liberté je ne suis pas forcément d'accord avec ce genre de propos. Ne pas vouloir avoir d'enfant est une chose, mais ces raisons là me paraissent complètements réfutables. Mes parents ont eu 6 enfants et n'ont jamais renoncé à quelque forme de liberté, ils sont toujours partis en voyage avec nous, ma mère n'a jamais souffert de ses grossesses, son corps n'est pas déformé. Je rappelle que je comprends leur choix, que je suis pour avoir le choix, mais je voulais juste dire que je trouve triste d'imaginer qu'un enfant est un poids dans une vie. Après chacun est libre de faire ce qu'il veut
@cloutide : Pas de soucis 
Juste pour "leur défense", ma mère après trois enfants a un superbe corps, mais je connais énormément de femmes qui ont été littéralement "détruites" par leur grossesse, c'est complètement aléatoire, mais c'est un gros risque. Et pour d'autres, elles n'auront jamais les moyens ni la force de pouvoir offrir le meilleur à leurs enfants ET à elles.
Donc c'est effectivement un choix via les risques, ou tout simplement la "non envie" comme moi, j'aime les enfants, mais leurs points positifs ne m'attirent tout simplement pas
Moi je serais la super tantine des enfants de mes soeurs
!
Juste pour "leur défense", ma mère après trois enfants a un superbe corps, mais je connais énormément de femmes qui ont été littéralement "détruites" par leur grossesse, c'est complètement aléatoire, mais c'est un gros risque. Et pour d'autres, elles n'auront jamais les moyens ni la force de pouvoir offrir le meilleur à leurs enfants ET à elles.
Donc c'est effectivement un choix via les risques, ou tout simplement la "non envie" comme moi, j'aime les enfants, mais leurs points positifs ne m'attirent tout simplement pas
Moi je serais la super tantine des enfants de mes soeurs
!
D
Damsel_
Guest
@cloutide Après 6 enfants elle a de la chance, car je connais des femmes qui n'en ont eu qu'un seul et qui ont dût passer sous le bistouri car l'enfant se présentais par le siège et elles ont maintenant une cicatrice à vie, et même avec un seul enfant elles se retrouve avec des vergetures, du ventre...
Je peux totalement comprendre cet aspect de vouloir "garder" son corps, certaines femmes s'en sorte bien mais pour d'autres ce n'est pas du tout le cas et cela peux causer beaucoup de déprime.
Personnellement au jour d'aujourd'hui oui je perçois l'enfant comme un poids, un boulet qui m'empêcherais de vivre tout simplement. On verra ce qu'il en est dans 10 ans (je suis pas encore périmée), mais quand des jeunes femmes entre 20 et 25 ont des gosses je fait : OMG
Je peux totalement comprendre cet aspect de vouloir "garder" son corps, certaines femmes s'en sorte bien mais pour d'autres ce n'est pas du tout le cas et cela peux causer beaucoup de déprime.
Personnellement au jour d'aujourd'hui oui je perçois l'enfant comme un poids, un boulet qui m'empêcherais de vivre tout simplement. On verra ce qu'il en est dans 10 ans (je suis pas encore périmée), mais quand des jeunes femmes entre 20 et 25 ont des gosses je fait : OMG
Alors oui le passé d'un enfant adopté est différent, et peut être le siège d'un profond traumatisme, mais pas toujours. En vérité le contexte sociologique joue beaucoup plus dans la souffrance ressentie, et n'est absolument pas inhérente au fait d'être enfant adopté.
Dans notre société (surtout actuelle, car c'était franchement différent avant), l'accent est mis sur la filiation biologique directe. Très jeune un enfant sera confronté, ne serait-ce que via les médias, dessins animés ou livres, au fameux modèle "parents biologiques et leur(s) enfant(s)". Il est très rare que l'adoption soit présentée comme quelque chose de courant ou normal. Et mine de rien, ça joue beaucoup.
A l'inverse, je connais d'autres sociétés, comme la société mélanésienne, où il est beaucoup plus courant qu'un enfant ne soit pas élevé par ses parents biologiques, mais par les oncles/tantes/grands parents/voisins etc, voire aucun lien de parenté quelconque. L'attache principale est plus envers la communauté, le lieu de vie, et non le lien du sang direct. Et ça se passait très bien. Pas de problème d'être ou non le "vrai enfant" comme tu dis, car c'est une notion qui n'a juste aucun sens dans ce contexte. A partir du moment où on élève un enfant, on devient son parent, et les liens sont donc forcément "vrais".
Bizarrement, c'est lorsque les européens sont venus mettre leurs idées de filiation biologique directe dans les esprits, accentuées via la diffusion des médias modernes occidentaux, qu'on a commencé à observer des soucis chez certains enfants, qui ne savaient soudain plus où ils se plaçaient ni qui ils étaient, et qui ont développé des problèmes psy et de comportement...
Bref, désolée pour ce HS, mais tout ça pour dire, au contraire, si des personnes stérilisées veulent adopter, il n'y a pas à hésiter, et ce n'est absolument pas destructeur en soi pour l'enfant. Ce qui l'est, c'est la société et ses messages trop formatés. C'est pour ça qu'il est important de parler très tôt ouvertement avec un enfant adopté, et de lui présenter des modèles alternatifs.
Ma maman s'est faite ligaturer il y a... un ? deux ans ? Son gynéco n'était au départ pas totalement partant, mais elle a réussi à le convaincre que 50 ans, deux enfants de 20+ ans, ça lui suffisait largement. Il a essayé d'appeler un peu à ses émotions autour d'un troisième (chose relativement inappropriée sachant qu'elle l'aurait aimé il y a longtemps, mais mon père ne voulait pas), elle a été ferme, il a cédé. Au final, résolution rapide, car sur une catégorie simple (ne supportant pas le stérilet ni la pilule, âge déjà avancé, deux enfants).
Personnellement, je n'ai jamais eu le désir d'un enfant "pour lui-même", je connais des personnes pour qui ça a été le cas. Être mère, n'est pas mon ambition, du tout. Heureuse en couple par contre, j'ai l'envie de "faire un enfant AVEC". Il y a deux ans, j'étais dans un couple où je n'avais pas cette envie en soi, j'étais mal dans le couple de toute façon... Aujourd'hui je suis heureuse en couple, je l'envisage, parce que cela colle avec mon parcours, mes envies. Du coup je sais que me concernant, la contraception définitive n'est pas une possibilité intéressante, car je pourrais effectivement changer d'avis selon mon couple. Mais arrivé 35 ans, si je ne suis pas en couple (on ne sait jamais ce qui peut arriver), je pense qu' arrivera le jour d'un acte raisonnable. Je ne veux pas avoir mon premier enfant et me retrouver à la retraite le jour où il sera étudiant....
En tout cas, big up à toutes les madz qui veulent se débarrasser définitivement de leur fertilité, je vous souhaite à toutes plein de courage dans vos démarches !
Personnellement, je n'ai jamais eu le désir d'un enfant "pour lui-même", je connais des personnes pour qui ça a été le cas. Être mère, n'est pas mon ambition, du tout. Heureuse en couple par contre, j'ai l'envie de "faire un enfant AVEC". Il y a deux ans, j'étais dans un couple où je n'avais pas cette envie en soi, j'étais mal dans le couple de toute façon... Aujourd'hui je suis heureuse en couple, je l'envisage, parce que cela colle avec mon parcours, mes envies. Du coup je sais que me concernant, la contraception définitive n'est pas une possibilité intéressante, car je pourrais effectivement changer d'avis selon mon couple. Mais arrivé 35 ans, si je ne suis pas en couple (on ne sait jamais ce qui peut arriver), je pense qu' arrivera le jour d'un acte raisonnable. Je ne veux pas avoir mon premier enfant et me retrouver à la retraite le jour où il sera étudiant....
En tout cas, big up à toutes les madz qui veulent se débarrasser définitivement de leur fertilité, je vous souhaite à toutes plein de courage dans vos démarches !
D
Damsel_
Guest
@Millenia Ce genyco tiens des propos inappropriés en effet, surtout que à 50 ans faire un troisième enfant... Ce genyco est-il un homme ? Parce que franchement entre le danger qu'il y a autant pour la mère que pour l'enfant pendant une grossesse tardive et EN PLUS de refaire une éducation,des nuits blanches à un âge où on commence à avoir des enfants déjà grands et s'assumant tout seul donc où l'on commence à avoir envie de souffler en tant que mère...
Je crois pas qu'il se sois mis à la place de ta maman en lui parlant de se troisième enfant.
Je crois pas qu'il se sois mis à la place de ta maman en lui parlant de se troisième enfant.
@Millenia ,il est pas bien ce gynéco! Hésiter alors que ta mère avait 50 ans,c'est se moquer du monde! Si ta mère était venue le voir pour obtenir une stimulation ovarienne,il y a toutes les chances qu'il lui aurait fait la morale voire aurait carrément refusé parce qu'une grossesse à son âge aurait présenté des risques et tutti quanti! Je sais que j'ai la dent dure vis à vis des médecins en général mais franchement,j'ai vraiment l'impression qu'un certain nombre d'entre elleseux profitent de leur position pour s'imiscer dans la vie de leurs patients!
Ca m'énerve déjà le refus de la stérilisation volontaire à un âge où les femmes peuvent encore avoir des enfants mais hésiter pour une femme de 50 ans,c'est complètement débile pour ne pas dire du foutage de gueule!
Ca m'énerve déjà le refus de la stérilisation volontaire à un âge où les femmes peuvent encore avoir des enfants mais hésiter pour une femme de 50 ans,c'est complètement débile pour ne pas dire du foutage de gueule!
Moralité, la stérilisation à n'importe quel âge c'est du foutage de gueule avec les gynécos... En fait ils te diront que tu risquerais de vouloir avoir un (autre) enfant jusqu'à ta ménopause.
Pfff, ça me saoule sévère, punaise, quand je vais commencer les procédure pour et que j'aurais 26 ou 27 ans à tout casser sans enfant, je vais tellement en chier avec ces abrutis pareils et leur "clause de conscience" de mes ovaires !
Pfff, ça me saoule sévère, punaise, quand je vais commencer les procédure pour et que j'aurais 26 ou 27 ans à tout casser sans enfant, je vais tellement en chier avec ces abrutis pareils et leur "clause de conscience" de mes ovaires !
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