Oh, je n'avais pas vu que tu avais répondu
@Anouk Perry , alors merci, ton message m'a fait grave plaisir
Pour le coup, ça n'a jamais été une revendication ou un cheminement donc je ne me suis jamais beaucoup posé la question.
Au collège, j'ai eu quelques remarques désagréables mais il y avait tout un package et ce n'étaient pas mes poils qui me traumatisaient le plus (coucou mes seins qui ont décidé de pousser à 18 ans
), et comme j'étais intello + rousse + solitaire + gaulée comme une fillette + pas à la mode, mes poils étaient clairement le dernier de mes soucis (même si "pour rentrer dans le moule", j'épilais mes aisselles).
Après, la flemme a surtout dominé
Et ça a dépendu de mes partenaires aussi : s'ils préféraient que ce soit assez entretenu, je faisais un effort (du moment qu'eux aussi faisaient un effort pour moi), s'ils s'en foutaient, j'en faisais moins
Et j'ai eu la chance d'avoir une mère tip-top là-dessus (et flemmarde du poil), qui m'a déconseillée de le faire au collège quand j'avais plus un duvet que des poils vraiment, qui ne m'a jamais fait de remarques sinon pour se moquer mutuellement l'une de l'autre et qui pense qu'après tout ça me regarde et que si ça ne gêne pas mon amoureux, ça ne devrait pas la déranger non plus
Mais du coup, comme j'ai les poils très clairs et que je dois épiler certaines zones, au final, de l'extérieur, ça donne l'impression que je cède à cette pression, alors que ça ne se voit pas chez moi !