@Ariel du Pays Imaginaire je ne pense pas qu'il faille nier les circonstances atténuantes ou les conditions de légitime défense, je pense simplement qu'elles sont protectrices face à une dérive possible des homicides et l'invocation parfois abusive de la légitime défense comme un droit à tuer. Je parle ici en terme général parce que s'agissant de ce cas précis, je trouve justement incompréhensibles les raisons pour lesquelles les conditions de légitime défense n'ont pas été reconnues dans le jugement et que, comme tu le dis ou comme @Mayushi le dit, elles ne sont ici pas pertinentes pour apprécier juridiquement une situation de violence conjugale où l'emprise et le huis clos sont des facteurs essentiels.
J'espère que j'ai mieux formulé mon propos, il n'est pas ici question de dire que la légitime défense ne pourrait pas s'appliquer, simplement que les conditions pour l'invoquer ne sont pas appropriées aux violences conjugales et que pour autant, je considère indispensable que ces conditions soient le plus strictes et précises possibles pour ne pas devenir un permis de tuer. Donc qu'un travail soit fait pour que les violences conjugales soient mieux appréhendées dans la jurisprudence liée aux homicides dans le cas de violences conjugales est une étape indispensable. Et si ce cas-là ne fait pas jurisprudence en ce sens, je dois avouer que j'en suis un peu étonnée parce que je ne saisis pas les raisons juridiques précises ayant permis d'exclure la légitime défense.
(je m'exprime de manière super brouillon, désolée).
J'espère que j'ai mieux formulé mon propos, il n'est pas ici question de dire que la légitime défense ne pourrait pas s'appliquer, simplement que les conditions pour l'invoquer ne sont pas appropriées aux violences conjugales et que pour autant, je considère indispensable que ces conditions soient le plus strictes et précises possibles pour ne pas devenir un permis de tuer. Donc qu'un travail soit fait pour que les violences conjugales soient mieux appréhendées dans la jurisprudence liée aux homicides dans le cas de violences conjugales est une étape indispensable. Et si ce cas-là ne fait pas jurisprudence en ce sens, je dois avouer que j'en suis un peu étonnée parce que je ne saisis pas les raisons juridiques précises ayant permis d'exclure la légitime défense.
(je m'exprime de manière super brouillon, désolée).