Célibattantes !
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@Clorinthe :
@Pouquette :
Merci pour vos messages en tout cas, et câlins si vous en voulez
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@Pouquette :
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Bon le crush revient lundi de ses 3 semaines de vacances et je sens qu'il va toujours rien se passer, je pense même qu'on peut passer la journée à ne pas s'adresser la parole 
@Pouquette Du coup je peux intégrer votre club d'éternelle célibataire trentenaire ?
Parce que moi c'est pareil, je ne rencontre jamais personne, je me demande comment des gens font pour enchainer les relations et tout même par sites de rencontres alors que moi j'ai rencontré un mec dans ma vie
@Pouquette Du coup je peux intégrer votre club d'éternelle célibataire trentenaire ?
Parce que moi c'est pareil, je ne rencontre jamais personne, je me demande comment des gens font pour enchainer les relations et tout même par sites de rencontres alors que moi j'ai rencontré un mec dans ma vie
@MorganeGirly
@Slaw
Je pense que mon message initial n'était peut-être pas très clair.
Je n'ai pas dit que ce garçon ne m'intéressait pas. Je n'ai pas suffisamment discuté avec lui pour savoir s'il me plaisait ou non et je pense aussi que je n'étais pas disponible émotionnellement pour y prêter attention.
Je pense que c'est quand mon amie m'a dit que je lui plaisais que je me suis plus ou moins souvenue de lui.
Pour faire une allégorie, c'est comme si j'étais dans un magasin de glaces et que je ne savais pas quel parfum choisir. J'ai pas spécialement envie de glace et là on amie me dit : "tu sais le sorbet pamplemousse c'est délicieux. Toi qui aimes le sorbet citron, je pense que ça te plairait."
Je repars sans rien mais mon amie m'a mis en tête cette histoire de glace au pamplemousse. Je fais des recherches sur Pinterest et je trouve plein de belles images de glace au pamplemousse. Puis je lis un article qui me dit que la glace au pamplemousse c'est la star de l'été et qu'elle rafraîchit.
Soudainement, je suis intriguée par ce parfum et j'ai envie d'en savoir plus.
J'ai rarement des coups de coeurs pour les gens. J'ai l'impression que ça doit mûrir dans mon esprit.
Le fait qu'il ait été attiré par moi (si c'est vrai) est flatteur, mais ça me permet aussi de m'intéresser à lui. Si elle ne m'avait rien dit ou bien s'il avait été en couple, j'aurais jamais regardé ses (rares) photos sur Facebook.
Ce qui me fait peur dans l'échec c'est de me ridiculiser. Même si personne d'autre n'était au courant, je le vivrais quand même mal.
La comparaison avec la mer n'est pas similaire pour moi car je n'ai pas peur d'avoir froid, j'ai peur d'avoir honte.
Je pourrais tenter de me baigner dans une eau froide, mais affronter un rateau... ça non
Je sais que je me ferme beaucoup de portes comme ça.
Autrement, je pense aussi qu'inconsciemment j'essaye de gagner un peu de temps. J'ai également pris du poids après le confinement et je ne suis plus à l'aise avec mon corps.
J'espère presque qu'il ne me relancera que quand j'aurais tout perdu mais quelle idiotie, non?
@Slaw
Je pense que mon message initial n'était peut-être pas très clair.
Je n'ai pas dit que ce garçon ne m'intéressait pas. Je n'ai pas suffisamment discuté avec lui pour savoir s'il me plaisait ou non et je pense aussi que je n'étais pas disponible émotionnellement pour y prêter attention.
Je pense que c'est quand mon amie m'a dit que je lui plaisais que je me suis plus ou moins souvenue de lui.
Pour faire une allégorie, c'est comme si j'étais dans un magasin de glaces et que je ne savais pas quel parfum choisir. J'ai pas spécialement envie de glace et là on amie me dit : "tu sais le sorbet pamplemousse c'est délicieux. Toi qui aimes le sorbet citron, je pense que ça te plairait."
Je repars sans rien mais mon amie m'a mis en tête cette histoire de glace au pamplemousse. Je fais des recherches sur Pinterest et je trouve plein de belles images de glace au pamplemousse. Puis je lis un article qui me dit que la glace au pamplemousse c'est la star de l'été et qu'elle rafraîchit.
Soudainement, je suis intriguée par ce parfum et j'ai envie d'en savoir plus.
J'ai rarement des coups de coeurs pour les gens. J'ai l'impression que ça doit mûrir dans mon esprit.
Le fait qu'il ait été attiré par moi (si c'est vrai) est flatteur, mais ça me permet aussi de m'intéresser à lui. Si elle ne m'avait rien dit ou bien s'il avait été en couple, j'aurais jamais regardé ses (rares) photos sur Facebook.
Ce qui me fait peur dans l'échec c'est de me ridiculiser. Même si personne d'autre n'était au courant, je le vivrais quand même mal.
La comparaison avec la mer n'est pas similaire pour moi car je n'ai pas peur d'avoir froid, j'ai peur d'avoir honte.
Je pourrais tenter de me baigner dans une eau froide, mais affronter un rateau... ça non
Je sais que je me ferme beaucoup de portes comme ça.Autrement, je pense aussi qu'inconsciemment j'essaye de gagner un peu de temps. J'ai également pris du poids après le confinement et je ne suis plus à l'aise avec mon corps.
J'espère presque qu'il ne me relancera que quand j'aurais tout perdu mais quelle idiotie, non?
@Dragonfena : C'est toi qui sait, au fond. 
Je me reconnais beaucoup dans ce que tu dis au sujet de ton physique. Pour le coup, je n'ai rien contre les applis de rencontres (et je développerai peut-être là dessus, je trouve intéressante la distinction qu'on fait entre la volonté de rencontrer l'amour au détour d'un rencontre fortuite VS le site de rencontre qui ressemblerait à un supermarché (et après tout, c'est exploité dans le marketing desdits sites!)).
Je me rends compte si je n'avais pas été piquée au vif par une rupture douloureuse, je n'aurais peut-être jamais franchi le pas de la rencontre via une appli. J'avais déjà crée deux profils mais n'étais pas allée plus loin (je devrais voir comment les supprimer, d'ailleurs.
). Et c'est en partie parce que je trouvais que je devais d'abord régler ceci (ma coupe de cheveux, l'état de ma peau), ensuite cela (tonicité musculaire), et puis... avant de me lancer. J'attendais le moment (et travaillais dessus aussi) où je serais suffisamment désirable pour aller à la rencontre d'inconnus.
Post-rupture, j'étais dans un tel état d'énergie colérique que je suis passée outre mes réserves (se déshabiller devant un inconnu dans un contexte sexuel, je ne trouve pas ça anodin, pareil pour apprivoiser un nouveau corps, des désirs et des façons de faire différentes de celles que je connais). Je ne pense pas être capable de la légèreté tant célébrée en matière de rencontres éphémères.
Et puis au final, je me suis surtout rendu compte que :
Je trouve par ailleurs que ça vaut le coup de se poser la question "est-ce que je sortirais avec moi si j'étais qn d'autre ?", "Est-ce que je suis en mesure d'être une bonne partenaire amoureuse ces jours-ci ?" et de voir comment on y répondrait. Moins pour ce qui est du physique que de l'attitude, la disponibilité émotionnelle, et aussi le fait de pouvoir alimenter une conversation pertinente (qui, pour moi, passe par le fait de m'intéresser au monde qui m'entoure et de m'y engager, d'être en mesure de faire un retour dessus). Il y a sans doute la question de l'estime de soi qui joue mais je pense qu'il est possible d'objectiver certaines données (team #romantique).
Je me reconnais beaucoup dans ce que tu dis au sujet de ton physique. Pour le coup, je n'ai rien contre les applis de rencontres (et je développerai peut-être là dessus, je trouve intéressante la distinction qu'on fait entre la volonté de rencontrer l'amour au détour d'un rencontre fortuite VS le site de rencontre qui ressemblerait à un supermarché (et après tout, c'est exploité dans le marketing desdits sites!)).
Je me rends compte si je n'avais pas été piquée au vif par une rupture douloureuse, je n'aurais peut-être jamais franchi le pas de la rencontre via une appli. J'avais déjà crée deux profils mais n'étais pas allée plus loin (je devrais voir comment les supprimer, d'ailleurs.
). Et c'est en partie parce que je trouvais que je devais d'abord régler ceci (ma coupe de cheveux, l'état de ma peau), ensuite cela (tonicité musculaire), et puis... avant de me lancer. J'attendais le moment (et travaillais dessus aussi) où je serais suffisamment désirable pour aller à la rencontre d'inconnus.Post-rupture, j'étais dans un tel état d'énergie colérique que je suis passée outre mes réserves (se déshabiller devant un inconnu dans un contexte sexuel, je ne trouve pas ça anodin, pareil pour apprivoiser un nouveau corps, des désirs et des façons de faire différentes de celles que je connais). Je ne pense pas être capable de la légèreté tant célébrée en matière de rencontres éphémères.
Et puis au final, je me suis surtout rendu compte que :
- je plaisais : on m'a complimentée, j'ai renvoyé l'ascenseur (et ce que je disais était toujours vrai, j'espère qu'ils étaient tout aussi sincères).
- les mecs que j'avais en face avaient aussi des complexes et des défauts, même si certains étaient vraiment bien foutus : du ventre, la peau qui pendouille après une perte de poids, un corps considéré comme trop maigre ou trop petit, de l'eczéma, des boutons, un début de calvitie, une pilosité trop fournie ou pas assez, des mollets de coq... C'était très divers. Certains en parlaient frontalement ("j'aimerais perdre du poids", "c'est de l'eczéma", "j'essaie de prendre du muscle, tu trouves que ça se voit ?" ), peut-être pour désamorcer quelque chose. Certains n'ont rien dit.
(Pour autant, j'ai bien conscience du fait que ces injonctions sont moins sévères que celles dont on est l'objet). - que je pouvais moduler mon regard, sur moi et sur les autres : être ultra sévère et tout passer aux rayons X ou trouver du charme à une asymétrie, du réconfort à une bedaine, etc.
Ca sort d'ailleurs du cadre de la rencontre amoureuse : j'essaie de travailler mon jugement. Au lieu de me dire "tiens, on voit sa cellulite", "tiens, on voit ses bourrelets", "tiens, on voit la marque de sa culotte", "tiens, il flotte dans sa chemise", "tiens, il a vraiment des cannes, lui!", j'ai essayé de remplacer ce monologue intérieur par, au pire, une onomatopée, mais de ne plus le verbaliser (mentalement, hein, je n'ai jamais fait de remarques à qui que ce soit). Et aussi d'essayer de regarder ce qui est sympa dans une tenue ou une personne (sinon la réalisation, au moins le geste, le désir qu'il y a derrière).
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Je trouve par ailleurs que ça vaut le coup de se poser la question "est-ce que je sortirais avec moi si j'étais qn d'autre ?", "Est-ce que je suis en mesure d'être une bonne partenaire amoureuse ces jours-ci ?" et de voir comment on y répondrait. Moins pour ce qui est du physique que de l'attitude, la disponibilité émotionnelle, et aussi le fait de pouvoir alimenter une conversation pertinente (qui, pour moi, passe par le fait de m'intéresser au monde qui m'entoure et de m'y engager, d'être en mesure de faire un retour dessus). Il y a sans doute la question de l'estime de soi qui joue mais je pense qu'il est possible d'objectiver certaines données (team #romantique).
Dernière édition :
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Bon, premier jour hier avec le retour du crush, pour une fois il était là toute la journée et comme il y a personne on a bien parlé et rigolé mais bon c'était avec une autre collègue et les conversation n'avaient rien de très spécial,
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@Zelda Zonk
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