Beh j'pense pasmadouc;4821568 a dit :Ou alors le mot apparaît deux fois et tu n'en as corrigé qu'une?fab;4821483 a dit :Tu as raison, c'est modifié, mercizoharit;4821478 a dit :
, t'as bien actualisé la page ?
Celui qui... ne voulait plus faire d'effort
- Initiateur de la discussion Une madmoiZelle
- Date de début
, t'as bien actualisé la page ?
La vision des relations amoureuses a bien changée en moins d'une génération (merci téléréalité ou magazine people...) Du coup on aurait plus tendance à aller vers ce genre de relation plus vraiment intéressée 
Je peux aussi répondre au J’aimerais bien des explications sur ce qu’il se passe après le : « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Par curiosité…
avec Paint
Je peux aussi répondre au J’aimerais bien des explications sur ce qu’il se passe après le : « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Par curiosité…
avec Paint
Je comprends tellement l'article et je me pose plus ou moins les même questions, sauf que moi, si je vois que ça va pas dès le début, je m'accroche pas, j'y vais pas.
Tellement que je me met à douter de mes capacités à faire des efforts. Est-ce que je suis trop chiante ? Trop difficile pour pas vouloir tenter le coup et faire des efforts ? Ou juste lucide et que je n'ai pas eu la chance de rencontrer quelqu'un avec qui ça colle vraiment ?
Car pour moi, une relation ça demande des efforts, oui, pour éviter d'aller dans le faussé pour des raisons à la con : orgueil, incompréhension, besoin de se retrouver etc. Mais le reste ? Est-ce qu'il faut faire des efforts pour aider l'autre ? Pour faire que ça "colle" ?
J'ai envie de dire non, et pour moi une relation ne devrait pas avoir le terme "effort" associé avec. Il peut y avoir des moments difficiles mais il ne faut pas se forcer
J'ai l'intime conviction qu'une fois qu'on s'est guéri de ses maux (si on a besoin) et qu'on a trouvé une moitié qui a fait de même, la relation est une vrai relation et plus une béquille relationnelle, alors s'il y a de l'amour et de la complicité, cela suffit à être une relation sur le long terme. C'est tout. Toutes les autres relations "béquilles" servent à nous construire et à reconnaître ce qui n'est pas une béquille...
Avec ma première relation, je me suis posé la question d'est-ce qu'on aurait pu durer plus longtemps ? Je sais maintenant que la réponse est "probablement" si on avait été assez mature pour communiquer sur ce qui n'allait pas.
Je suis peut-être utopiste mais pour moi le mot "effort" n'est pas "requis" pour une relation, il peut y avoir des difficultés, des heurts, des virages difficiles mais pas "d'efforts" car cela implique de se renier et on peut pas être dans une relation saine en se reniant... Peut-être que Fab ou @Bonne à nez pourront confirmer ?
Tellement que je me met à douter de mes capacités à faire des efforts. Est-ce que je suis trop chiante ? Trop difficile pour pas vouloir tenter le coup et faire des efforts ? Ou juste lucide et que je n'ai pas eu la chance de rencontrer quelqu'un avec qui ça colle vraiment ?
Car pour moi, une relation ça demande des efforts, oui, pour éviter d'aller dans le faussé pour des raisons à la con : orgueil, incompréhension, besoin de se retrouver etc. Mais le reste ? Est-ce qu'il faut faire des efforts pour aider l'autre ? Pour faire que ça "colle" ?
J'ai envie de dire non, et pour moi une relation ne devrait pas avoir le terme "effort" associé avec. Il peut y avoir des moments difficiles mais il ne faut pas se forcer
J'ai l'intime conviction qu'une fois qu'on s'est guéri de ses maux (si on a besoin) et qu'on a trouvé une moitié qui a fait de même, la relation est une vrai relation et plus une béquille relationnelle, alors s'il y a de l'amour et de la complicité, cela suffit à être une relation sur le long terme. C'est tout. Toutes les autres relations "béquilles" servent à nous construire et à reconnaître ce qui n'est pas une béquille...
Avec ma première relation, je me suis posé la question d'est-ce qu'on aurait pu durer plus longtemps ? Je sais maintenant que la réponse est "probablement" si on avait été assez mature pour communiquer sur ce qui n'allait pas.
Je suis peut-être utopiste mais pour moi le mot "effort" n'est pas "requis" pour une relation, il peut y avoir des difficultés, des heurts, des virages difficiles mais pas "d'efforts" car cela implique de se renier et on peut pas être dans une relation saine en se reniant... Peut-être que Fab ou @Bonne à nez pourront confirmer ?
Incroyable. J'aurais pu écrire cet article de toutes pièces. Mon histoire s'est terminée il y a une semaine (sur ma décision, par contre) après 5 ans à essayer et à se voiler la face et à tenter d’être heureuse malgré tout.
Merci infiniment, je me sens moins seule. Vraiment.
Merci infiniment, je me sens moins seule. Vraiment.
Super article, merci!
je me demande de plus en plus les raisons qui nous poussent à vouloir être en couple ( en sachant bien que ces raisons évoluent), en en parlant autour de moi je me rends compte qu'on a tous des visions bien différentes du couple et du sens qu'on veut y donner, c'est super intéressant comme sujet je trouve, car en plein changement dans notre société (comme l'évoque la rédactrice de l'article d'ailleurs^^)!
je me demande de plus en plus les raisons qui nous poussent à vouloir être en couple ( en sachant bien que ces raisons évoluent), en en parlant autour de moi je me rends compte qu'on a tous des visions bien différentes du couple et du sens qu'on veut y donner, c'est super intéressant comme sujet je trouve, car en plein changement dans notre société (comme l'évoque la rédactrice de l'article d'ailleurs^^)!
Je trouve l'article très bien écrit, mais terriblement triste....et les commentaires n'arrangent pas tellement les choses (mis à part @Fab et ses 30 ans restants et @Bonne à nez et son bonheur).
Je suis actuellement en couple depuis quasiment 5 ans, et je suis partiellement d'accord avec @KBi sur le fait "de ne pas faire d'effort". Je m'explique :
Je pense qu'il existe une certaine limite de tolérance à l'effort. Pour moi, il y a des efforts que je considère comme acceptables, et d'autres qui ne le sont pas. Reste à savoir comment les definir...
Je suis qqn qui attends bcp de moi même, donc j'ai beaucoup de mal à admettre que j'ai raté qqch. Avant notre couple, je n'admettais mes echecs et me les pardonnais peut-être 5 ans après les evenements (et certains echec bien plus !). Pourtant, je comprends et je trouve acceptable que je ne puisse pas faire ça dans notre couple. Si je fais une erreur, c'est mon devoir de l'admettre pour qu'il puisse me pardonner. Ca m'a demandé énormément d'efforts pour changer ce trait de personnalité... mais je considère ces efforts comme acceptable, puisque c'est bien de moi que vient le problème ... et que ce pb pourrait arriver avec n'importe qui, c'est donc un peu comme si je faisais des efforts pour moi-même, en les faisant pour notre couple : ce type d'efforts sont nécessaires selon moi, parce que sinon on se retrouve dans une relation sans échanges.
Par contre, certains efforts ne sont pas tolérables. Je pense par exemple au fait que ça le gène que je parle de lui "dans son dos" avec mes parents (c'est obvious que je ne ferai pas l'effort), mais aussi pour des choses plus simple, par exemple, dans ma chambre, le lit doit être fait...Je ne veux pas changer ça, donc je ne le changerai pas !
En fait, c'est assez simple : avant de faire un effort, je me demande si cet effort va être bénéfique au couple uniquement, ou a moi aussi (pour mon développement perso) via le couple. Comme si c'était une motivation pour changer les choses qu'on aime pas trop chez soi ! Si je fais les efforts pour changer, mon couple en profitera
. Enfin, du coup on peu se poser la question de l'humilité (quand est-ce que ce que je suis n'est pas bien ?), mais j'ai déjà écrit un roman...
Je ne sais pas si c'est la solution (5 ans, c'est rien), mais pour l'instant, pour nous, ça marche plutôt pas mal
Désolée pour le pavé, mais ça me rendais tristoune de ne pas voir plus d'espoir... j'espère en avoir apporté un peu !
Je suis actuellement en couple depuis quasiment 5 ans, et je suis partiellement d'accord avec @KBi sur le fait "de ne pas faire d'effort". Je m'explique :
Je pense qu'il existe une certaine limite de tolérance à l'effort. Pour moi, il y a des efforts que je considère comme acceptables, et d'autres qui ne le sont pas. Reste à savoir comment les definir...
Je suis qqn qui attends bcp de moi même, donc j'ai beaucoup de mal à admettre que j'ai raté qqch. Avant notre couple, je n'admettais mes echecs et me les pardonnais peut-être 5 ans après les evenements (et certains echec bien plus !). Pourtant, je comprends et je trouve acceptable que je ne puisse pas faire ça dans notre couple. Si je fais une erreur, c'est mon devoir de l'admettre pour qu'il puisse me pardonner. Ca m'a demandé énormément d'efforts pour changer ce trait de personnalité... mais je considère ces efforts comme acceptable, puisque c'est bien de moi que vient le problème ... et que ce pb pourrait arriver avec n'importe qui, c'est donc un peu comme si je faisais des efforts pour moi-même, en les faisant pour notre couple : ce type d'efforts sont nécessaires selon moi, parce que sinon on se retrouve dans une relation sans échanges.
Par contre, certains efforts ne sont pas tolérables. Je pense par exemple au fait que ça le gène que je parle de lui "dans son dos" avec mes parents (c'est obvious que je ne ferai pas l'effort), mais aussi pour des choses plus simple, par exemple, dans ma chambre, le lit doit être fait...Je ne veux pas changer ça, donc je ne le changerai pas !
En fait, c'est assez simple : avant de faire un effort, je me demande si cet effort va être bénéfique au couple uniquement, ou a moi aussi (pour mon développement perso) via le couple. Comme si c'était une motivation pour changer les choses qu'on aime pas trop chez soi ! Si je fais les efforts pour changer, mon couple en profitera
. Enfin, du coup on peu se poser la question de l'humilité (quand est-ce que ce que je suis n'est pas bien ?), mais j'ai déjà écrit un roman...Je ne sais pas si c'est la solution (5 ans, c'est rien), mais pour l'instant, pour nous, ça marche plutôt pas mal
Désolée pour le pavé, mais ça me rendais tristoune de ne pas voir plus d'espoir... j'espère en avoir apporté un peu !
La réflexion de cette madmoizelle est vraiment très très intéressant (Ouiii un débat ! 
)
Dans ma famille il n'y que très très peu de divorces alors j'ai un peu chercher pourquoi chez nous, l'amour dure autant.
Voici ce qu'il faut à un couple pour qu'il dure, selon Idun : (PS : Je ne suis pas la science infuse alors prenez cette liste avec du recul, hein :3 )
- Savoir faire des concessions sans ruminer dans son coin
- Savoir communiquer au moindre doute, à la moindre déception : ça permet d'éviter les quiproquo et de se monter la tête dans son coin
- Prendre soin de l'autre. ça, c'est la neurologie qui le dit : Plus on prends soin de quelqu'un, plus on va créer de la dopamine dans notre cerveau et plus on sera heureux d'être avec cette personne. Puis prendre soin de quelqu'un ça insiste cette autre personne à prendre soin de soi. Et ça c'est cool.
- Ne se poser que les bonnes questions (ça doit être le conseil le plus compliqué car j'ai bien du mal à l'appliquer moi même
) : Ne remettre en question la relation QUE lorsqu'il y a réellement besoin (attentes différentes (Si vous ne voulez pas d'enfants et que lui/elle, oui... ça ne sert à rien de se forcer au risque de le regretter)
- Faire des projets qui nous plaisent et suivre ses rêves à deux.
Bien sûr cette liste n'est pas exhaustive, ce n'est pas une recette magique, elle regroupe les conseils de ma grand mère, ma mère, mes tantes, ...
)Dans ma famille il n'y que très très peu de divorces alors j'ai un peu chercher pourquoi chez nous, l'amour dure autant.
Voici ce qu'il faut à un couple pour qu'il dure, selon Idun : (PS : Je ne suis pas la science infuse alors prenez cette liste avec du recul, hein :3 )
- Savoir faire des concessions sans ruminer dans son coin
- Savoir communiquer au moindre doute, à la moindre déception : ça permet d'éviter les quiproquo et de se monter la tête dans son coin
- Prendre soin de l'autre. ça, c'est la neurologie qui le dit : Plus on prends soin de quelqu'un, plus on va créer de la dopamine dans notre cerveau et plus on sera heureux d'être avec cette personne. Puis prendre soin de quelqu'un ça insiste cette autre personne à prendre soin de soi. Et ça c'est cool.
- Ne se poser que les bonnes questions (ça doit être le conseil le plus compliqué car j'ai bien du mal à l'appliquer moi même
) : Ne remettre en question la relation QUE lorsqu'il y a réellement besoin (attentes différentes (Si vous ne voulez pas d'enfants et que lui/elle, oui... ça ne sert à rien de se forcer au risque de le regretter)- Faire des projets qui nous plaisent et suivre ses rêves à deux.
Bien sûr cette liste n'est pas exhaustive, ce n'est pas une recette magique, elle regroupe les conseils de ma grand mère, ma mère, mes tantes, ...
L
lolhamoon
Guest
Article très intéressant et qui souligne une chose que je trouve bien triste... la méritocratie...
De mon point de vue : donner pour recevoir est un échec assuré... pour soi même.
Dans une relation quelle qu'elle soit, vivre dans l'attente nous déçoit et nous blesse forcément, car la réponse apportée ne sera jamais celle que l'on attend on imagine.
Donner (temps, amour etc) se fait pour le plaisir de donner et de faire plaisir à autrui et non dans l'attente d'être récompensé.
Bien sur ça c'est l'idéal... notre cerveau et nos névroses sont bien plus compliqués et cette notion de don volontaire et gratuit est plus difficile à concevoir et à mettre en place, surtout face à une société qui nous agresse perpétuellement et qui nous vide et nous prive de ce qui devrait nous construire.
De mon point de vue : donner pour recevoir est un échec assuré... pour soi même.
Dans une relation quelle qu'elle soit, vivre dans l'attente nous déçoit et nous blesse forcément, car la réponse apportée ne sera jamais celle que l'on attend on imagine.
Donner (temps, amour etc) se fait pour le plaisir de donner et de faire plaisir à autrui et non dans l'attente d'être récompensé.
Bien sur ça c'est l'idéal... notre cerveau et nos névroses sont bien plus compliqués et cette notion de don volontaire et gratuit est plus difficile à concevoir et à mettre en place, surtout face à une société qui nous agresse perpétuellement et qui nous vide et nous prive de ce qui devrait nous construire.
L
lolhamoon
Guest
dounie;4822287 a dit :Pourquoi vouloir être en couple ? Sujet intéressant ! Je vote pour un méga débat !
Une réponse d'un film, mais j'avais trouvé la réplique très intéressante.
«Nous avons besoin d'un témoin de notre vie. Il y a un milliard de personnes sur de la planète, notre petite vie ne pèse pas lourd dans la balance.... Mais dans le mariage, vous promettez de partager la vie de l'autre, le quotidien, les peines, les bonheurs, les malheurs, les coups durs. Toute une vie vous êtes là, vous devez tout gérer. Et vous vous entendez dire : «ta vie mon amour ne passera pas inaperçu parce que je serais la pour la reconnaitre, ta vie ne sera pas das l'obscurité parce que je suis là pour éclairer ton chemin"
Un témoin... l'être humain est angoissé par cette facette si éclair de notre passage sur terre (croyance, religion, angoisse de mort etc etc etc), le fait d'être deux... permet (entre autres choses que personnellement je trouvent géniales) de dire "j'existe", "je compte pour quelqu'un", "on reconnait mon existence et mon importance", "je suis davantage qu'une poussière dans l'univers", "je suis la chose la plus importante pour quelqu'un" etc etc etc
@Lolhamoon : point de vue très intéressant, je vais prendre soin d'y penser de cette façon.
Seulement je trouve cette vision assez proche de l'amour qu'on peut avoir pour n'importe quelle membre de la famille proche... ce qui me fait penser que, peut-être, le fait de vouloir être en couple est un moyen de s'assurer le pouvoir de construire une famille, et ainsi atteindre ce dont tu parles, avec la satisfaction de se sentir exister. (/!\ Je ne parles que de mon point de vue, cf cet article)
Du coup, "pourquoi le couple" ? Je crois que mes pistes de réponses seraient :
-- parce que dans un couple on trouve qqn qui n'a pas l'autorité parental mais qui nous juge pour notre bien (et je crois que c'est mon point le plus fort)
-- parce que c'est plus facile d'avancer à deux dans les coups durs ('faut trouver un pas trop mauvais "deux" quand même
)
Et après, je pense aussi à :
-- parce que l'amant-e, c'est à la fois un-e meilleur-e ami-e, un parent et un point de repère.
-- pour se rassurer sur soi-même (on rejoint la même idée que tout à l'heure).
-- par peur de se retrouver seul-e
?
Seulement je trouve cette vision assez proche de l'amour qu'on peut avoir pour n'importe quelle membre de la famille proche... ce qui me fait penser que, peut-être, le fait de vouloir être en couple est un moyen de s'assurer le pouvoir de construire une famille, et ainsi atteindre ce dont tu parles, avec la satisfaction de se sentir exister. (/!\ Je ne parles que de mon point de vue, cf cet article)
Du coup, "pourquoi le couple" ? Je crois que mes pistes de réponses seraient :
-- parce que dans un couple on trouve qqn qui n'a pas l'autorité parental mais qui nous juge pour notre bien (et je crois que c'est mon point le plus fort)
-- parce que c'est plus facile d'avancer à deux dans les coups durs ('faut trouver un pas trop mauvais "deux" quand même
)Et après, je pense aussi à :
-- parce que l'amant-e, c'est à la fois un-e meilleur-e ami-e, un parent et un point de repère.
-- pour se rassurer sur soi-même (on rejoint la même idée que tout à l'heure).
-- par peur de se retrouver seul-e
?
L
lolhamoon
Guest
dounie;4822356 a dit :@Lolhamoon : point de vue très intéressant, je vais prendre soin d'y penser de cette façon.
Seulement je trouve cette vision assez proche de l'amour qu'on peut avoir pour n'importe quelle membre de la famille proche... ce qui me fait penser que, peut-être, le fait de vouloir être en couple est un moyen de s'assurer le pouvoir de construire une famille, et ainsi atteindre ce dont tu parles, avec la satisfaction de se sentir exister. (/!\ Je ne parles que de mon point de vue, cf cet article)
Du coup, "pourquoi le couple" ? Je crois que mes pistes de réponses seraient :
-- parce que dans un couple on trouve qqn qui n'a pas l'autorité parental mais qui nous juge pour notre bien (et je crois que c'est mon point le plus fort)
-- parce que c'est plus facile d'avancer à deux dans les coups durs ('faut trouver un pas trop mauvais "deux" quand même
Et après, je pense aussi à :
-- parce que l'amant-e, c'est à la fois un-e meilleur-e ami-e, un parent et un point de repère.
-- pour se rassurer sur soi-même (on rejoint la même idée que tout à l'heure).
-- par peur de se retrouver seul-e
Je ne le rapproche pas de la famille proche car celle ci nous est imposée... là c'est une personne que l'on estime et que l'on choisit... ce qui nous aide a construire également notre amour propre, et son affection nous est d'autant plus constructive, importante et significative.
Et les autres arguments que tu cites sont je pense issus de notre nature même (sauf exceptions bien sur) d'animal grégaire... mais qui du coup pourrait être tout a fait combler par un noyau familiale.
Et quant à l'idée de construire une famille... si on parle enfant etc... pourquoi? car certains n'en éprouve pas l'envie ni le besoin et reste un couple sans enfants.
Je pense aussi que l'autre dans le couple, nous permet de nous dévoiler, d'être nous sans peur. La société ne le permet et les masques sont nécessaires pour survivre... là c'est une zone neutre, soi même dnas tous les domaines, amitié, sexe etc
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