Diagnostic littéraire à l'aveugle

[lemorallent]

Antigone d'Anouilh ?

 

[nyz]

Enfin un extrait que je connais qui me permet de participer à ce super topic!

Antigone, de Jean Anouilh?

Edit: grillée!

 

[nyz]

Je reste à l'affût!

 

[lemorallent]

Nyz On était vraiment coordonnée !
Pour une fois que je trouve la réponse je suis contente ! Et sinon :

"Dis Sophie, qu'est ce qui ne va pas chez moi ? Suis-je trop difficile ? Je n'ai aucune envie de me marier pour me marier. Passer le restant de mes jours avec un être à qui je n'aurais rien à dire, ou pire, avec qui je ne pourrais pas partager de silences ? Je n'imagine pas d'existence plus solitaire".

Voilà un petit extrait d'un de mes romans favoris.

 

[Volver]

@Nyz On était vraiment coordonnée !
Pour une fois que je trouve la réponse je suis contente ! Et sinon :

Voilà un petit extrait d'un de mes romans favoris.

Heu, c'est pas un roman mais ça me fait penser au Jeu de l'amour et du hasard de Marivaux ?...

Edit : bon, j'viens de regarder l'article wiki à son propos, y a pas de Sophie dedans, donc c'est réglé

 

[-Albertine-]

Le monde de Sophie ? :-D

 

[lemorallent]

Non raté !
Allez je mets un autre extrait plus explicite :

Cher Sidney
J'ai tant de choses à te raconter. Je ne suis pas à Guernesey que depuis 20 heures, mais elles ont été si remplies de nouveaux visages et d'idées que je pourrais en écrire des tartines. Tu vois comme la vie insulaire est stimulante. Victor Hugo en est la preuve vivante. Il se pourrait fort que je devienne prolifique si je passais un bout de temps ici.

Voilà c'est un roman traduit de l'américain, récent (2011), écrit sous forme épistolaire.

 

[lemorallent]

lenjomineuse Tout juste ! à toi !

 

[Mandorle]

lenjomineuse : là comme ça, l'histoire du roi qui sort de son corps me fait penser à l'Assassin Royal !

 

[lemorallent]

LillyDarma Est-ce que l'extrait vient de ce livre là : Le Dieu des Petits Riens ?

 

[lemorallent]

Bon, je reposte alors !
Un petit extrait assez facile je crois :

La voix provenait d’une plaque de métal
oblongue, miroir terne encastré dans le mur de droite. Winston
tourna un bouton et la voix diminua de volume, mais les mots
étaient encore distincts. Le son de l’appareil (du télécran,
comme on disait) pouvait être assourdi, mais il n’y avait aucun
moyen de l’éteindre complètement. Winston se dirigea vers la
fenêtre. Il était de stature frêle, plutôt petite, et sa maigreur
était soulignée par la combinaison bleue, uniforme du Parti. Il
avait les cheveux très blonds, le visage naturellement sanguin, la
peau durcie par le savon grossier, les lames de rasoir émoussées
et le froid de l’hiver qui venait de prendre fin

 

[lemorallent]

LillyDarma Oui ! Bien entendu