patatelalex;4195228 a dit :
@Rosaly- Merci pour ton commentaire qui m'apporte vraiment une nouvelle perspective.
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Ahah heureusement c'était assez peu fréquent
« Il n'y a pas de petite claque » : stop à la violence éducative
- Initiateur de la discussion Clemence Bodoc
- Date de début
Ahah heureusement c'était assez peu fréquent
Une claque quand c'est mérité c'est pas de maltraitance c'est du recadrement et ça ferais pas trop de mal au jeunes d'aujourd'hui ...
Mes amis avec qui j'ai discuté du sujet et moi meme sommes d'accord pour dire que on à pris une baffe quand on l'avais bien mérité et c'est tout on est pas morts ni traumatisés.
Il y a une grande différence avec un enfant battu.
Je suis pour la pédagogie l'explication ect et pas une baffe direct comme ça mais quand t'as expliqué X fois et ect et que l'enfant se fous ouvertement de ta gueule ou te manque de respect ...
Mes amis avec qui j'ai discuté du sujet et moi meme sommes d'accord pour dire que on à pris une baffe quand on l'avais bien mérité et c'est tout on est pas morts ni traumatisés.
Il y a une grande différence avec un enfant battu.
Je suis pour la pédagogie l'explication ect et pas une baffe direct comme ça mais quand t'as expliqué X fois et ect et que l'enfant se fous ouvertement de ta gueule ou te manque de respect ...
Je n'ai jamais été claquée, ni même bousculée pendant mon enfance, c'est bien, mais je reste très sceptique quand même par rapport à ces lois, à ces changements.
Certains parents ne donnent pas une fessée pour faire mal à leur enfant, mais pour exprimer une colère, pour montrer une limite. Je n'ai pas l'impression qu'hurler toute la journée, insulter, punir son enfant soit moins "violent".
Pour moi, la vraie limite, c'est vraiment la force ; que la "tape" ne soit pas forte, et qu'elle ne soit pas au visage.
Je trouve que c'est un petit peu extrême, et que ça ouvre la porte à des punitions qui peuvent s'avérer vicieuses et vraiment méchantes.
Certains parents ne donnent pas une fessée pour faire mal à leur enfant, mais pour exprimer une colère, pour montrer une limite. Je n'ai pas l'impression qu'hurler toute la journée, insulter, punir son enfant soit moins "violent".
Pour moi, la vraie limite, c'est vraiment la force ; que la "tape" ne soit pas forte, et qu'elle ne soit pas au visage.
Je trouve que c'est un petit peu extrême, et que ça ouvre la porte à des punitions qui peuvent s'avérer vicieuses et vraiment méchantes.
Ben moi je me suis pris des claques et j'ai jamais trouvé ça traumatisant. Faut dire que j'étais quand même hyper insupportable comme gamine, je comprends que mes parents aient été à bout à un moment. Je me prenais des tapes sur les mains, des petites baffes, jamais de choses violentes non plus. Franchement, ça me choque pas. Y'a quand même un monde entre une petite gifle et des coups de ceinturon.
Je suis totalement opposée à toutes formes de violence contre un enfant et contre n'importe qui d'ailleurs. Pour moi la claque, la féssée sont des actes de violence un point c'est tout !
Et je trouve que l'argument "mes parents m'ont donné des fessées et je vais bien" totalement nul ! Serieusement, si tout le monde ce dis ça on est pas prés de s'arreter. Certes une majeur partie des gens vont bien aprés ça, mais quand il etait enfant, n'ont ils pas eut peur, ne se sont ils jamais sentis hummilié, et n'ont ils pas ressentis de l'incomprehension face à cet acte ?
De plus il a des punitions et des façons d'expliquer à un enfant qu'il a fait quelque chose de mal beaucoup plus efficace et saine.
Un exemple trés simple, on parlais de nos enfances respectives avec une amie. Elle me disait qu'enfant elle avit trop peur de son pere. Pourtant ce dernier ne l'avais giflé que 2 fois. Elle me disait qu'elle ne comprenait simplement pas pourquoi il fesait preuve de violence brusquement comme ça. Elle à du attendre d'voir 12 ans avant d'arriver à reparler à son pere sans le craindre.
De plus parfois ces simples féssées ou claques qui sont sençés etre justifiées et utilisées pour punir seulement dans des cas plutot extreme peuvent rapidement devenir banale. Et ce transformer en violence abusive. Et transformer des parents en monstres. Certes je parle plutot de mon cas là. Mais je ne suis pas la seule pour qui c'est arrivé.
La violence n'a de plus jamais eut aucun effet éducatif. La comprehension, aide à apprendre, à évoluer. La violence, elle, ne fait que perturber l'enfant.
Et je sais que jamais, je ne frapperais qui que ce soit. Mes futurs enfants, ou bien mes animaux.
Rien que les mots féssées et claques me donnent envie de vomir :sick2:
Et je trouve que l'argument "mes parents m'ont donné des fessées et je vais bien" totalement nul ! Serieusement, si tout le monde ce dis ça on est pas prés de s'arreter. Certes une majeur partie des gens vont bien aprés ça, mais quand il etait enfant, n'ont ils pas eut peur, ne se sont ils jamais sentis hummilié, et n'ont ils pas ressentis de l'incomprehension face à cet acte ?
De plus il a des punitions et des façons d'expliquer à un enfant qu'il a fait quelque chose de mal beaucoup plus efficace et saine.
Un exemple trés simple, on parlais de nos enfances respectives avec une amie. Elle me disait qu'enfant elle avit trop peur de son pere. Pourtant ce dernier ne l'avais giflé que 2 fois. Elle me disait qu'elle ne comprenait simplement pas pourquoi il fesait preuve de violence brusquement comme ça. Elle à du attendre d'voir 12 ans avant d'arriver à reparler à son pere sans le craindre.
De plus parfois ces simples féssées ou claques qui sont sençés etre justifiées et utilisées pour punir seulement dans des cas plutot extreme peuvent rapidement devenir banale. Et ce transformer en violence abusive. Et transformer des parents en monstres. Certes je parle plutot de mon cas là. Mais je ne suis pas la seule pour qui c'est arrivé.
La violence n'a de plus jamais eut aucun effet éducatif. La comprehension, aide à apprendre, à évoluer. La violence, elle, ne fait que perturber l'enfant.
Et je sais que jamais, je ne frapperais qui que ce soit. Mes futurs enfants, ou bien mes animaux.
Rien que les mots féssées et claques me donnent envie de vomir :sick2:
Je n'ai jamais reçue de claques de ma vie, mes parents trouvent ça trop humiliant. Par contre, j'ai déjà reçue des fessés. (Et la je viens de me rappeler que si j'ai reçue une claque dans ma vie, je n'avais pas écouté ma mère qui m'avais dit de la suivre et je me suis perdue à la Tour Eiffel 
, une fois retrouvé j'ai reçue une claque et quand j'ai demandé pourquoi elle m'a dit : mais je t'ai dis de regarder ou tu va, bon aujourd'hui ça me fait rire et je comprend qu'elle étais angoissé, mais sur le coup j'ai pas rit).
Et oui gros cliché mais je vais bien (enfin je dis ça surtout par rapport à l'article qui nous explique que les enfants ayant reçus une fessée finissent alcoolique, drogué, et autres ).
La question de la fessée c'est surtout une question de patience et de résistance du parent. Il m'est déjà arrivé de garder des gosses qui étaient tout simplement affreux. Il m'a bloqué dans un ascenseur et m'a planté la pour s'enfuir (devant la nationale) , le deuxième s'est enfuie de chez moi a fait le tour du quartier en courant (quartier qu'il ne connaissait pas et traversé par la même nationale sinon ça serait trop simple ). Et ben franchement, quand j'ai réussi a les récupérer ces deux zigotos, j'avais envie de leur en foutre une. Pourquoi ? Parce qu'ils m'avaient soulés, parce que la patience n'est pas ma vertu et que je déteste que l'on me fasse perdre mon temps. En gros , des raisons liés à moi. Mais surtout, ces enfants couraient un danger dont ils n'avaient pas conscience, et c'est ce qui m'a le plus énervé. Bon je l'ai pas fait parce que ce n'étais pas mes gosses, a y réfléchir, je ne sais pas ce que j'aurais fait si ça avaient été les miens. Mais je pense qu'en les choppant je leur auraient tellement criés dessus et fait la morale que leurs oreilles s'en souviendraient pendant des siècles .
Et enfin, et quid de la violence verbale ? Je suis plus choquée par une femme qui appelle son fils "clochard, batard, connard" (et l'enfant a tellement l'habitude qu'il répond au doux nom de clochard) que par une femme qui devant un gosse incontrôlable finit par craquer et lui donner une fessée.
Une femme ou un homme d'ailleurs, un parent quoi !
, une fois retrouvé j'ai reçue une claque et quand j'ai demandé pourquoi elle m'a dit : mais je t'ai dis de regarder ou tu va, bon aujourd'hui ça me fait rire et je comprend qu'elle étais angoissé, mais sur le coup j'ai pas rit).Et oui gros cliché mais je vais bien (enfin je dis ça surtout par rapport à l'article qui nous explique que les enfants ayant reçus une fessée finissent alcoolique, drogué, et autres ).
La question de la fessée c'est surtout une question de patience et de résistance du parent. Il m'est déjà arrivé de garder des gosses qui étaient tout simplement affreux. Il m'a bloqué dans un ascenseur et m'a planté la pour s'enfuir (devant la nationale)
, le deuxième s'est enfuie de chez moi a fait le tour du quartier en courant (quartier qu'il ne connaissait pas et traversé par la même nationale sinon ça serait trop simple ). Et ben franchement, quand j'ai réussi a les récupérer ces deux zigotos, j'avais envie de leur en foutre une. Pourquoi ? Parce qu'ils m'avaient soulés, parce que la patience n'est pas ma vertu et que je déteste que l'on me fasse perdre mon temps. En gros , des raisons liés à moi. Mais surtout, ces enfants couraient un danger dont ils n'avaient pas conscience, et c'est ce qui m'a le plus énervé. Bon je l'ai pas fait parce que ce n'étais pas mes gosses, a y réfléchir, je ne sais pas ce que j'aurais fait si ça avaient été les miens. Mais je pense qu'en les choppant je leur auraient tellement criés dessus et fait la morale que leurs oreilles s'en souviendraient pendant des siècles .Et enfin, et quid de la violence verbale ? Je suis plus choquée par une femme qui appelle son fils "clochard, batard, connard" (et l'enfant a tellement l'habitude qu'il répond au doux nom de clochard) que par une femme qui devant un gosse incontrôlable finit par craquer et lui donner une fessée.
Une femme ou un homme d'ailleurs, un parent quoi !
Dernière édition :
trigger;4195309 a dit :elwingrocks;4195267 a dit :
Moi de mon temps les filles ne sortaient pas le soir et ne se maquillaient pas, c'est pas comme les jeunes d'aujourd'hui qui sont completement depraves. Un bon cout de badine ca vous remet les idees en place ma bonne dame.
Ça serait sympa qu'on puisse discuter sans tentative de Troll
. Même quand on trouve x ou y arguments ridicules.trigger;4195342 a dit :lamina;4195325 a dit :trigger;4195309 a dit :elwingrocks;4195267 a dit :
Moi de mon temps les filles ne sortaient pas le soir et ne se maquillaient pas, c'est pas comme les jeunes d'aujourd'hui qui sont completement depraves. Un bon cout de badine ca vous remet les idees en place ma bonne dame.
Ça serait sympa qu'on puisse discuter sans tentative de Troll
Mais parfois c'est tellement dur de resister
Je compatis
Il faut distinguer la gifle justifiée et la grosse baffe complètement démesurée sans aucune explication derrière, c'est à dire la maltraitance.
D'ailleurs, si aujourd'hui des centaines de personnes bien éduquées, ayant réussi leur vie et étant en bons termes avec leurs parents disent ne pas avoir mal vécu les gifles, je pense que cela prouve qu'une gifle justifiée ne fait pas d'un enfant un traumatisé à vie.
Après je n'aime pas cette condescendance envers les parents soi-disant incompétent qui ne voient pas d'autres solutions que la ""violence"" pour parvenir au respect. Déjà, je suppose que la plupart d'entre vous n'ont pas d'enfants, donc même si vous vous connaissez, vous ne savez pas comment vous réagirez. Ce n'est pas forcément la meilleure solution je vous l'accorde et dès que l'on peut faire autrement, c'est bien mieux.
Mais vous oubliez que certaines personnes ont une autorité naturelle ou alors savent naturellement comment faire les choses et d'autres non, ce qui ne fait pas d'eux de mauvais parents, seulement des personnes au caractère différent : je suis sûre que ce sera le cas de certaines d'entre vous, peut-être le mien et à ce moment on aura deux solutions : ou se laisser dépasser ou gifler, à condition que ce soit exceptionnel et justifié pour que ce soit efficace.
Et honnêtement, je préfère largement un parent qui a su se faire respecter par ses enfants par le biais d'une petite gifle lorsque cela était nécessaire qu'un parent amateur de psychologie et d'éducation à la Dolto et qui se fait insulter et traiter comme un chien à longueur de temps (c'est une caricature).
Après chaque enfant est unique, et certains sont beaucoup plus sages que d'autres, donc les parents n'en arrivent jamais là.
A partir du moment où l'enfant, en âge de comprendre évidemment et pas avant, a été averti, qu'il y a eu une gradation, que la gifle est exceptionnelle et totalement justifiée, qu'il y a eu une explication et qu'elle ne laisse pas de marques sur le visage ou les fesses, je ne vois pas la gravité.
D'ailleurs, si aujourd'hui des centaines de personnes bien éduquées, ayant réussi leur vie et étant en bons termes avec leurs parents disent ne pas avoir mal vécu les gifles, je pense que cela prouve qu'une gifle justifiée ne fait pas d'un enfant un traumatisé à vie.
Après je n'aime pas cette condescendance envers les parents soi-disant incompétent qui ne voient pas d'autres solutions que la ""violence"" pour parvenir au respect. Déjà, je suppose que la plupart d'entre vous n'ont pas d'enfants, donc même si vous vous connaissez, vous ne savez pas comment vous réagirez. Ce n'est pas forcément la meilleure solution je vous l'accorde et dès que l'on peut faire autrement, c'est bien mieux.
Mais vous oubliez que certaines personnes ont une autorité naturelle ou alors savent naturellement comment faire les choses et d'autres non, ce qui ne fait pas d'eux de mauvais parents, seulement des personnes au caractère différent : je suis sûre que ce sera le cas de certaines d'entre vous, peut-être le mien et à ce moment on aura deux solutions : ou se laisser dépasser ou gifler, à condition que ce soit exceptionnel et justifié pour que ce soit efficace.
Et honnêtement, je préfère largement un parent qui a su se faire respecter par ses enfants par le biais d'une petite gifle lorsque cela était nécessaire qu'un parent amateur de psychologie et d'éducation à la Dolto et qui se fait insulter et traiter comme un chien à longueur de temps (c'est une caricature).
Après chaque enfant est unique, et certains sont beaucoup plus sages que d'autres, donc les parents n'en arrivent jamais là.
A partir du moment où l'enfant, en âge de comprendre évidemment et pas avant, a été averti, qu'il y a eu une gradation, que la gifle est exceptionnelle et totalement justifiée, qu'il y a eu une explication et qu'elle ne laisse pas de marques sur le visage ou les fesses, je ne vois pas la gravité.
Je suis incapable de me projeter en tant que mère, du coup je ne sais pas du tout si j'éradiquerai la fessée ou non pour mon enfant (commentaire pertinent, kikoo).
Je n'ai jamais reçu de 'grosse' correction, jamais de fessée, juste quelques tapes sur la main étant toute gamine pour des bêtises d'enfant et une seule gifle quand j'étais ado (crise de nerfs mutuelle entre ma mère et moi, qui a eu le 'mérite' de nous calmer toutes les deux). Du coup je ne suis pas une traumatisée de la violence physique, mais faut dire que j'avais apparemment bon caractère petite.
En revanche, je suis bien certaine qu'il y a quelque chose que je ne ferai jamais subir à mes éventuels gamins: aller jusqu'aux insultes pour des histoires de résultats scolaires (et aller jusqu'aux insultes tout court d’ailleurs). Ma mère avait un intérêt disproportionné, presque malsain pour mes notes qui me rendait malade. Du coup j'ai été beaucoup plus marquée par les insultes parentales qu'on a pu m'adresser, qui étaient sans doute jetées sous le coup de la colère mais que je n'ai jamais digéré.
C'est affreux, il y a trop de moyens de traumatiser un enfant. Je n'en veux pas, c'est beaucoup trop de responsabilités
Je n'ai jamais reçu de 'grosse' correction, jamais de fessée, juste quelques tapes sur la main étant toute gamine pour des bêtises d'enfant et une seule gifle quand j'étais ado (crise de nerfs mutuelle entre ma mère et moi, qui a eu le 'mérite' de nous calmer toutes les deux). Du coup je ne suis pas une traumatisée de la violence physique, mais faut dire que j'avais apparemment bon caractère petite.
En revanche, je suis bien certaine qu'il y a quelque chose que je ne ferai jamais subir à mes éventuels gamins: aller jusqu'aux insultes pour des histoires de résultats scolaires (et aller jusqu'aux insultes tout court d’ailleurs). Ma mère avait un intérêt disproportionné, presque malsain pour mes notes qui me rendait malade. Du coup j'ai été beaucoup plus marquée par les insultes parentales qu'on a pu m'adresser, qui étaient sans doute jetées sous le coup de la colère mais que je n'ai jamais digéré.
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Tout de suite les grands mots... Il y a des limites à ne pas franchir, d'en faire pas assez et pas trop!
Exemple de ma vie: j'ai fais parfois de grosse bêtise(que quelques une) et c'était une fessé! Le martinet à du être utilisé une fois, donc 3 chatiment corporelle dans ma vie, et je n'en suis pas traumatisé.
MAIS, j'ai un exemple qui est vraiment exagéré...
Une personne que je ne citerais pas, avait coup de ceinture, des deux coté, martinet, et ceux, sur tout les ecarts...:
tu travail mal, ceinture, tu ne comprend pas ton devoir, ceinture, tu as renversé quelque chose, ceinture... Et ça finissait par chercher la merde(foot dans la maison...). Et par la suite, echec scolaire... Donc pour moi, la publicité devrait montrer:
-l'enfant qui fait n'importe quoi, qui reçoit la fessé
-l'enfant qui est sous une autorité stricte, qui n'a droit à aucun écart...
Voilà, quand je voie des enfants mal polie, arrogant, et eux même violent, eux même disent n'avoir jamais eu de punissions(pas tous, mais ils le disent d'eux même "elle a qu'à essayé!")
Après, part contre, la claque je trouve ça violent, alors que la fessé, ça calme(pour ma part).
Voilà mon avis!
Exemple de ma vie: j'ai fais parfois de grosse bêtise(que quelques une) et c'était une fessé! Le martinet à du être utilisé une fois, donc 3 chatiment corporelle dans ma vie, et je n'en suis pas traumatisé.
MAIS, j'ai un exemple qui est vraiment exagéré...
Une personne que je ne citerais pas, avait coup de ceinture, des deux coté, martinet, et ceux, sur tout les ecarts...:
tu travail mal, ceinture, tu ne comprend pas ton devoir, ceinture, tu as renversé quelque chose, ceinture... Et ça finissait par chercher la merde(foot dans la maison...). Et par la suite, echec scolaire... Donc pour moi, la publicité devrait montrer:
-l'enfant qui fait n'importe quoi, qui reçoit la fessé
-l'enfant qui est sous une autorité stricte, qui n'a droit à aucun écart...
Voilà, quand je voie des enfants mal polie, arrogant, et eux même violent, eux même disent n'avoir jamais eu de punissions(pas tous, mais ils le disent d'eux même "elle a qu'à essayé!")
Après, part contre, la claque je trouve ça violent, alors que la fessé, ça calme(pour ma part).
Voilà mon avis!
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