J'ai testé pour vous... être dépressive

25 Janvier 2011
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PARIS
J'aime Madmoizelle pour ce genre d'articles ! Merci pour ton témoignage, j'espère en tout cas que tu trouveras les moyens de t'épanouir sans trop subir cette fichue dépression.

Chez moi, je n'appelle pas ça une dépression, bien que je connaisse la définition et les symptômes, mais c'est une question de principe qui me permet de m'accrocher. Au fond, je sais que c'est une dépression mais je préfère croire que l'enfance que j'ai eu m'as donné une forme qui n'est pas adaptée au système dans lequel je vis, je ne rentre pas dans la boîte pour le moment.
Si je n'ai pas admis l'idée du mot "dépression", j'ai admis celle d'aller voir une psy. La aussi, par peur de regarder l'évidence, je ne dit pas "ma psy" à mon entourage mais "la Madeleine" ( petite ref à Proust, en passant).
Je ne prendrai pas de médicaments, je ne le veux pas. J'aimerai pouvoir dire que j'ai sorti la tête de l'eau à la seule force de mes bras. Parfois, le crops craque. L'angoisse , l'air qui manque, les tremblements, les plaques d'urticaire qui pointent le bout de leur nez, les vomissements et autres mésaventures nocturnes. Mais, pour en avoir déjà pris quelques mois, mon corps ne supporte pas l'état dans lequel les antidépresseurs le mette, et je voudrais régler ce problème mère /fille que je rencontre et qui concerne tellement de jeunes filles et de femmes. En plus des moments difficiles que j'ai vécu avec les hommes dans ma vie, je crois que c'est une façon de vivre que je dois trouver et non un moyen de calmer mon corps par des molécules que je ne connait pas personnellement :)

Je dis ça, mais j'ai deux amies qui sont sous traitement et c'est tant mieux pour elles. Notamment l'un d'elles qui a deux enfants et doit pouvoir "sauver les apparences" pour des bébés de 2 et 4 ans.c'est leurs situation, leur contexte... Comme l'une des Mad a dit, chacun est différent et aborde ces douloureuses périodes de la façon la plus adapté à leur personnalité et de l'ampleur de ses souffrances. Malheureusement, nous trouveront toujours bien plus malheureuses que nous, et les gens qui se permettent de juger les autres sur leur capacité à gérer leur émotions sont de profonds idiots.

A toutes celles qui traversent ces instant durs, je vous souhaite très bon courage !
 
5 Mars 2011
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Paris
ultrairina.tumblr.com
@Alunaline : merci pour ton témoignage. Tu m'as redonnée espoir. Il faut s'accepter mais que c'est difficile de le faire...
J'ai vu un peu le synopsis du livre dont tu parles et c'est tout à fait pour moi!
Même mon ex me disait : "tu réfléchis trop. Tu vis dans le passé, essaye de profiter du moment présent". Avec lui, j'y arrivais à profiter du moment présent mais depuis qu'on s'est quitté (depuis un mois), j'ai beaucoup plus de mal. C'est par périodes, je dirai.
 
8 Juin 2007
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courage je suis aussi passée par la casse antidépresseurs avec au début en plus des anxiolitiques.

Comme toi l'avant coureur de l'adolescence avait commencé à pointer son nez. Comme toi la peur des médicamments.

Il faut se dire qu'ils sont la comme une attèle, une béquille. Ils ne guériissent pas mais aident à avancer.

J'ai finis au urgences psy avant de commencer à en prendre et même si le sentiment d'échec et de culpabilité est là, ce n'est pas notre faute.

Je prends encore un antidépresseur à la plus petite dose, j'aimerais arrêter, c'est à l'ordre du jour mais mon médecin souhaite qu'on y aille le plus doucement possible.

Contrairement à toi j'ai vu un psy mais je n'ai pas eu l'impression que ça m'aidait beaucoup donc j'ai arrêté.

Est-ce qu'on en guéri? je ne peux pas te le dire puisque je suis encore sous antidépresseurs.

En revanche, je comprends ta peur par rapport au mari ou aux enfants mais si on apprend à déceller les symptomes le plus tot possible et à prendre les mesures qu'il faut, on peut, j'espère, apprendre à vivre avec cette épée de damoclès.
 
4 Novembre 2011
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paris
Je suis dépressive.

En lisant cet article, je me suis rendue compte que ça dure depuis bien plus longtemps que le moment où mon généraliste l'a diagnostiqué il y a trois ans. Ça date aussi de l'adolescence parce que j'ai reconnu les "symptômes" décrits. La culpabilité aussi. A l'époque, ma mère se remettait de son premier cancer, tout le monde se faisait un sang d'encore pour elle et le fait que je me sente mal, que tout le monde me déteste à l'école (parce que j'étais bouc émissaire, la bouseuse, la fille de pauvres, celle qui crèvera d'un cancer comme sa mère si elle ne se suicide pas avant), c'était pas grave. J'ai porté ce poids sur mon dos pendant des années et, après mon diplôme de libraire et un stage avec un patron dont l'attitude s'apparentait à du harcèlement moral, je me suis retrouvée au chômage. Quelques crises d'angoisse ultra-violentes (pleurs hystériques, cris, arrachage de cheveux, limite je me roulais par terre) plus tard, mon père m'envoie chez le médecin. Dépression, médicaments.

Alors le traitement, il a fallu trouver le bon. J'en suis à mon troisième. Le premier était superfort mais il me donnait des cauchemars, ce qui fait que j'avais peur d'aller me coucher le soir. Le deuxième a convenu jusqu'à la rechute, quand une ancienne amie a essayé de séduire le garçon dont j'étais amoureuse en connaissance de cause. Depuis, ça va. Le traitement convient, je navigue entre chômage et petits boulots, c'est la crise qu'ils disent. Et je ne fais aucun commentaire sur le fait que je prends des médicaments, mes meilleurs amis le savent mais quand je dois les prendre alors que je ne suis pas chez moi, je me planque dans un coin sombre pour avaler le machin.

Ensuite, il y a eu la psychiatrie. Mais je pense que pour ça, comme pour les médicaments, le gynéco et le prince charmant, faut trouver le bon. Le mien n'a pas assuré une caouète. Il était persuadé que mes troubles venaient de ma petite enfance (qui fut très heureuse, tout a basculé quand j'avais dix ans et ça n'a eu aucun rapport avec mes parents), et que les symptômes ont été renforcés lors du décès prématuré de ma mère quand j'avais 25 ans. J'ai eu beau lui parler de mon adolescence et des traumas qui vont avec, il a pris ça par dessus la jambe. J'ai laissé tomber au bout de neuf mois en me disant que ça m'avait coûté assez de larmes et d'argent comme ça.

J'obtiens, petit à petit, des réponses à mes questions, des causes à mes traumatismes. Si chercher du boulot me terrifie, si je n'ai jamais eu de mec à 31 ans, c'est à cause de la peur de l'abandon. J'ai connu un abandon à l'âge de dix ans et c'est pour ça que ça déconne depuis sous ma perruque. Si je n'ai jamais couché avec personne et si je déteste mon corps à ce point, surtout à la mauvaise période du mois, c'est à cause d'une époque où un membre de ma famille m'a seriné que mon corps était "sale" et disait à qui voulait l'entendre que je ne me lavais jamais parce que pour elle, un ado, c'est dégueu.

Je sais mais je cherche encore les solutions pour voir au-delà.

La dépression, on fait avec. Les gens comprennent ou pas. Ceux qui ne comprennent pas sont des blaireaux. Nous portons tous des valises et nous sommes inégaux devant la capacité à le faire. Je pars du principe que c'est comme ça et que c'est avec l'aide des bonnes personnes, des déclics survenus aux bons moments, qu'on peut s'en sortir.

Voilà.
 
27 Novembre 2011
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POITIERS
CeNedra;2721913 a dit :
J'ai entrepris un lourd travail sur moi-même.
Ca a eu de gros effets positifs sur les problèmes associés à la dépression, mais pas sur le sentiment constant, omniprésent de ne pas être à ma place, de ne pas réussir à trouver le bonheur, d'être sans cesse déçue de tout... Avec en arrière-plan ces questions qui n'en sont presque pas, implacables : Et s'il n'y avait aucune place pour moi? Et si je ne devenais jamais heureuse?

Puis je suis tombée enceinte, et comme l'auteur de l'article, je me suis dit que je ne voulais pas que mon enfant subisse mes problèmes.

J'ai réentrepris un travail sur moi.
Je trouve que je vais mieux.
Mais peut-être n'est-ce à nouveau qu'une phase du cycle, peut-être que dans quelques mois, je n'irai à nouveau pas bien... Peut-être suis-je toujours en train de me voiler la face.

Mille encouragements à toi, Madmoizelle... J'espère que ta démarche de prise en charge va t'aider, vraiment...

Je suis dans le même cas...
Dépressive chronique, dans les phases du cycle infernal, j'ai longtemps repoussé l'idée d'avoir un enfant tant que je ne serai pas "guérie".
J'ai apprivoisé l'idée que je devrais "vivre avec", tout comme l'hypertension, ou les yeux marrons... Mais je connais les gens qui peuvent m'aider, j'ai quelques béquilles sous le coude, et voilà.
Bien sûr, c'est souvent difficile.
J'ai mis presque 2 ans à tomber enceinte.
C'est le tout début, forcément je m'interroge, mais... une chose à la fois. Je profite de chaque petit bonheur (et il y en a beaucoup quand on regarde bien !)

Bon courage à toutes celles et tous ceux qui souffrent, la souffrance morale due à cette maladie est indicible, mais il ne faut jamais perdre espoir. Jamais.
 
6 Décembre 2011
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Toulouse
Ma mère est dépressive chronique. Ça a commencé quand elle était ado, et on lui a fait prendre des antidépresseurs. A ce moment là, la médecine tatonnait encore dans le traitement de la dépression et les dosages étaient parfois approximatifs. Elle a arrêté pendant un moment, en a repris après la naissance de mon grand frère, à nouveau arrêté... Je me souviens aussi d'une époque où elle devait prendre des cachets pour dormir qui la rendait somnambule ; mon père a déjà dû se lever pour éteindre les lumières refermer les portes, nettoyer les céréales renversées ou la confiote étalée sur le plan de travail.

Mon père ne pouvait pas vraiment la soutenir psychologiquement parlant. Parce qu'il ne comprend pas la dépression qui ressemble pour lui à un mot bizarre et totalement insensé. D'ailleurs, encore aujourd'hui, la psychologie lui semble être une science étrange et nébuleuse dont il n'arrive que vaguement à comprendre l'intérêt.

Et pourtant, ma mère, à presque 60 ans, là, elle est heureuse. Elle n'a pas peur de vieillir, elle est bien dans ses baskets et elle a surmonté la dépression. Elle a totalement arrêté les antidépresseurs et les somnifères, elle est plus motivée, elle fait ce qu'il lui plait. Elle a décidé de prendre des cours de solfège et elle est contente parce que ça faisait des années qu'elle en avait envie.

Tout ça pour dire que non, la dépression n'est pas une fatalité, un genre de fardeau à porter toute sa vie. On peut s'en remettre, on peut le surmonter, et oui c'est difficile, mais c'est possible. Mais il faut parfois savoir reconnaître que l'on a besoin d'aide et se décider à aller voir un psy, quite à en essayer plusieurs si le premier ne nous convient pas. Parce que la dépression n'est pas une punition, une tare ou quelque chose contre laquelle on ne peut rien faire : c'est une maladie. Plus sournoise que la gastro ou la grippe, mais une maladie. Qu'on peut essayer de soigner, de traiter. Parfois avec des antidépresseurs, parfois avec d'autres médicaments, mais le plus souvent avec un bon psy qui peut aider à comprendre les angoisses qui bloquent et montrer comment les affronter.
Alors ouais, ma mère est dépressive chronique, mais elle se soigne. Elle a un psy très bien, et elle prend plus de médocs contre ça. Et ça ne l'a pas empêché d'être femme, mère, épouse, salariée ou bénévole pour des assos'.

Alors je me rends bien compte que c'est loin d'être évident. Que bien souvent, les gens ne comprennent pas ce qui t'arrive. Comme si la dépression, c'était pas une maladie. Comme si c'était un genre de secret honteux qu'il faut soigner à coup de Prozac. Alors que ça suffit pas, c'est loin d'être suffisant. Et ces médecins français qui te refilent des médocs plus vite que leur ombre en oubliant consciencieusement de te dire qu'avec un suivi psychiatrique, c'est quand même vachement plus efficace, n'aident définitivement pas (j'trouve pourtant ça pas compliqué : t'as le vagin qui te démange, tu vas voir le gynéco. Ben là, c'est pareil : si tu te sens mal psychologiquement parlant, le plus efficace, c'est encore d'aller voir quelqu'un qui s'y connait en matière de psycho).

En bref, la dépression n'est pas une fatalité. Si on la reconnaît, qu'on accepte d'avoir besoin d'aide, qu'on accepte qu'il s'agit d'une maladie, ça peut se soigner avec des médiacaments, un psy, des personnes prêtes à vous soutenir ou que sais-je encore.

Bon courage à tous.
 
2 Janvier 2012
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Nîmes
www.kkrystaaal.net
je me reconnais bien dans cet article mis à part que en + je faisais de la spasmophilie ce qui n'arrange rien.

Pour ma grosse dépression il a fallu plus un an entre le diagnostic et la vraie prise en charge.
et c'est arrivé juste après la naissance de ma fille.
Les médicaments, ok, c est utile en cas de dépression mais ce n'est qu' une béquille et ne résout pas le problème. Pour s'en sortir, i est nécessaire je pense être suivi par un psychologue ou psychiatre qui te convienne. Alors oui le chemin est long parsemé d?embûches, je vais beaucoup mieux depuis mon divorce le père de ma fille ne m a jamais soutenu malgré la maladie + dépression,
et même avec les épreuves que je vis actuellement je tiens le choc, je m?effondre un jour ou 2 pas plus après c'est reparti !

Alors oui tu peux t'en sortir, avec de l'aide, j'en suis sure.
 
22 Novembre 2011
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Bollène
agathe_;2770163 a dit :
Face à toutes les madz' qui témoignent en parlant de leur état dépressif, des médicaments, de l'aide recherchée et trouvée, ou pas, j'ai un peu l'impression d'être "mademoiselle chochotte qui se plaint d'être juste-un-peu dépressive de temps en temps", mon cas parait (et est) bien moins "grave" que certains

Non, il ne faut pas dire ça. Toute souffrance, quelle qu'elle soit, même minime, même passagère, doit être prise en compte. Nous ne sommes pas là pour juger. Un forum, c'est fait pour échanger.

Il faut en parler, parler de ce qu'on ressent, de ce qu'on vit. Avec des personnes qui sont proches, ou avec des amies virtuelles. Ou même sur un journal intime (bien que l'inconvénient, c'est qu'il ne vous répondra pas). C'est ce que j'ai fait en écrivant ce témoignage. Quelques mois plus tard, et en relisant ce soir les commentaires, je suis vraiment heureuse de l'avoir fait, à tous niveaux.

D'abord, parce que l'écrire m'a réellement soulagée, et m'a permis de faire le point. Et puis parce que j'ai atteint le but que je m'étais fixé : montrer à celles qui vivent la même chose qu'elles ne sont pas seules.

Actuellement, je vais beaucoup mieux, je me dis que c'est un répit, et j'en profite. En ce moment, ce qui me fait tenir, c'est de faire don de ma personne. Bénévolat, dons de sang, don de moelle osseuse... J'ai besoin de me sentir utile à la société.

Malheureusement, mon copain, lui, en est atteint. Trop de portes claquées au nez ces dernières années, il n'arrive pas à remonter la pente. Et vous savez quoi ? Je me sens stupide. Parce que je comprends ce qu'il vit, mais je suis incapable de l'aider. Bien sûr, je lui montre mon soutien, mais il ne me parle pas, il n'arrive pas à mettre de mots sur ce qu'il ressent, et je sens qu'il s'enfonce, qu'il perd pied, et je n'arrive pas à faire quoi que ce soit, à part le tenir par la main, et essayer de garder sa tête hors de l'eau de toutes mes forces.

Bref, merci encore à toutes celles qui ont témoigné ou encouragé.

Courage.
Bises.
 
N

ninie-pouce

Guest
Merci pour ce témoignage. J'ai vécu la même chose à l'adolescence sans pouvoir mettre un nom dessus, de peur que ce ne soit qu'une comédie que je me faisait dans la tête. Et puis, de rechute en rechute à ne plus vouloir sortir de mon lot, j'ai commencé à consulter mais je n'ai jamais trouvé le psychiatre qu'il me fallait, ils étaient juste bons à me filer des médocs qui ont fonctionné sur peu de temps mais pas envie d'être dépendante.
Et là, je me retrouve à presque 30 piges à toujours me poser les même questions, à subir les même descentes de moral et de procrastination, à ne toujours pas avoir confiance en ma pomme. Il faudrait que je trouve un bon psychologue qui m'aide à devenir une adulte (sans engloutir mon PEL ^^). Je pense que le 1er pas coûte mais qu'après, on ne peut qu'avancer avec tout de même cette épée de Damoclès de "la rechute".

La dépression, fléau des temps modernes...
 
Ne t'inquiète pas pour ton avenir. Je suis dépressive depuis l'âge de 13 ans, j'ai fait une dépression qui a duré 7 ans et j'ai été sous anti-dépresseurs pendant 5 ans. Je ne pense pas qu'on puisse guérir de cette maladie car malheureusement quand on est hyper-émotif, on l'est toute sa vie. Mais ça n'empêche pas d'être heureux :) Je me suis mariée l'année dernière et j'accouche dans 3 semaines alors que j'étais persuadée, tout comme toi que je ne pourrais apporter que du malheur ou de la tristesse dans la vie d'autrui. Mais quand tu rencontres quelqu'un avec qui tu es bien, les choses se font naturellement. Tu prends confiance en qui tu es. J'ai peur aussi de ne pas être une bonne mère bien sûr, de faire subir mes instants de dépression à mon enfant mais quelle mère saurait être parfaite ? Je pense que si tu lui expliques bien les choses et que tu lui donnes tout ton amour (la seule chose dont il aura réellement besoin), ton enfant fera avec le reste. Et puis il te ressemblera sûrement donc il comprendra forcément ce que tu es ;) Courage !
 

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